L'enjeu d'un pari

Chapitre 18

Je sors de la voiture et un monsieur me demande de lui suivre, je doute un peu mais le suis quand même il m'amène où se trouve la mariée, Alice est entrain de se faire maquiller, le monsieur repart et me laisse donc avec ma belle-mère.

- Oh salut Eden.

- Salut Alice.

- T'es la première des demoiselles d'honneurs.

- Oh bah je ne sais pas quoi dire.

- Ne t'en fais pas tu n'étais pas obligé de répondre à ma réflexion.

- Tu as besoin de moi ?

- Euh oui, tu peux vérifier que la robe soit prête à l'étage.

- Bien sûr.

Je monte donc à l'étage, génial il y à plusieurs portes, j'ouvre la première et personne je ne pense pas que ce soit cette pièce, j'ouvre la deuxième et je vois plusieurs personnes autour de quelque chose, ça doit être là. Et j'ai raison puisque quand je rentre dans la chambre et m'avance je peux voir la robe.

- Je voudrais savoir si la robe est prête à être porter.

- Euh oui bientôt.

- Bientôt c'est-à-dire.

- D'ici cinq minutes, il reste un arrangement à faire.

- D'accord, merci.

Je sors de la chambre et descends les escaliers en descendant les escaliers mon regard s'arrête sur quelqu'un. Elle est... Elle est incroyable dans cette robe. Elle est resplendissante. Attendez mais qu'est-ce qu'elle fait là ? Je descends les escaliers et je vois qu'elle est entrain de faire un câlin à Alice.

Alice : Eden, je te présente madame Stuart et sa fille Emma.

Moi : Euh enchanté... C'est vous les autres demoiselles d'honneurs ?

Mme.Stuart : Non, je suis sa témoigne aussi.

Moi : D'accord.

Alice : Bon faut que je parle avec ta mère Emma, tu peux aller avec Eden vous pourriez faire connaissance comme ça.

Si seulement elle savait mais bon elle vient de me rendre un grand service. On s'éloigne avec Emma de la mariée, on décide de sortir du château pour prendre un peu l'air.

- Qu'est-ce que tu fais là ?

- C'est ma belle-mère.

- Oh donc ton père s'est remarié ?

- Ouais et on se reparle.

- C'est super pour toi.

- Ouais...

- Qu'est-ce qu'il y a ?

- C'est juste que c'est nouveau, il vient me reparler comme si l'histoire avec ma mère ne s'était jamais passée.

- Il fait juste son deuil à sa manière, il ne peut pas rester focalisé sur ce qui s'est passé avec ta mère il avance.

- Je sais mais on n'a même pas eu le temps de parlé de ce qui s'était passé avec ma mère alors qu'il m'en a voulu presque cinq ans pour ça.

- T'as envie de parler de ce qui s'est passé avec elle ?

- Non... Je...