Fatima: femme africaine. Tome 2

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 Point de vue de Fatima:

-" je vais retourner au travail!" affirme-je 

-"ah oui?" dit- Housman un peu désorienté

 Je sors toutes les informations que j'ai obtenue à la clinique de Pooja, l'une des mère a mon centre qui est docteur. L'idée m'est venue ce matin lors de ma séance avec les autres mères.

Flashback:

Je suis arrivée un peu en avance ce matin afin d'avoir un peu de temps seul avec Wango et afin de pouvoir être plus relaxe avant la classe vue que la dernière fois je suis arrivée en regard et stressée. 

Je bois tranquillement mon café de Tims en regardant le soleil se lever complètement lorsque je suis interpellée par Pooja.

-" Salut " commence-t-elle avec un sourire amical

-" oh salut" dis-je avec bonne humeur, heureusement surprise par sa présence dans le parking au même moment que moi.

Elle aussi a un café à la main et un bébé dormant dans la voiture. Nous parlons pendant une bonne quinzaine de minute avant de se mettre en route pour la classe, vue que toutes les autres mamans sont toutes déjà la. Lorsque l'on rentre dans la classe l'ambiance est un peu bizarre,  Ophélie la maman de Mia est en pleure, Ophélie est dans les bras de la directrice... plus ou moins mode crise.

Ophélie nous explique a quel point c'est difficile de gérer son enfant maintenant qu'elle est divorcé. Malheureusement Filipe n'est pas le père biologique de Mia et par conséquent ne veut rien a faire avec elle... la raison pour le divorce. Elle n'est pas entrée en grand détail en ce qui concerne toute l'histoire, ce qui est plus que correct, cela ne nous concerne pas... même si j'aurai trop aimé savoir pour une certaine raison.

Bref, la séance a finit pas être une séance de support pour Ophélie, on lui a donné des suggestions dont bien évidement trouver le père de Mia et lui faire part de ses responsabilité: l'une des choses qu'elle n'a pas faite. Elle prétends qu'il est un très mauvais père et qu'il ne pourra pas être la pour elle et je lui ai recommandé qu'il l'aide au moins financièrement, afin qu'elle puisse mettre sa fille dans une garderie ou payer une babysitter quand les jours sont intense et qu'elle a besoin d'une pause. Etant en pause maternité non payé ce n'est vraiment pas évident pour elle et je le comprends tout à fait.

Après une bonne demi heure de conversation, on a finalement annulé la classe et on a décidé de prendre un jours de récréation afin qu'Ophélie puisse se détendre et la directrice a généreusement offerte une semaine de garderie afin qu'elle puisse laisser Mia en sécurité et aller se gâter un peu.

Au final j'ai suivi Pooja a son lieu de travail afin qu'elle puisse prendre rendez vous pour les immunisations de son fils Jahed qui a 4 mois bientôt tout comme mon petit chéri Wango. Et biensure j'ai demandé de regarder autour, j'ai fait une petite visite de 15 minutes, tout en portant Wango qui ne veut pas dormir sur ma poitrine. J'ai vue juste 5 des blocs de l'hôpital mais j'ai trouvé  le peut que j'ai vue absolument intéressant, je ne suis pas allée trop loin afin d'éviter de contaminer Wango car les hôpitaux ne sont pas toujours propres et au final j'ai vraiment eu un grand sentiment de nostalgie... et c'est a ce moment la que je me suis rendue compte que j'avais envie de retourner au travail!

En retournant vers la réception Pooja est prête a partir, je lui demande des renseignements sur les critères requis pour travailler dans l'hôpital etc, ce qui lui fait plus que plaisir et qui m'encourage d'avantage a organiser comment je vais faire afin de travailler et être maman en même temps etc... 

L'idée, excitante  me donne beaucoup d'anxiété tout d'un coup. Justifié étant donné que ce n'étais pas une considération dans le plan qu'Housman et moi avions pour l'année... et je me souviens instantanément que j'ai a en parler avec Housman d'abord de toutes les façons avant de même considérer cette option. Donc! En attendant je vais simplement me concentrer sur l'excitation au lieu de l'anxiété. J'éspère vraiment que ce sera une bonne décision pour nous et que cet hopital soit un bon lieu de travail.