PROSTITUÉ MALGRÉ ELLE

alexandre

Chant d'oiseau brise matinale au dehors, mon regard restait figé vers le plafond . Imaginant toute sorte de films dans ma tête j'ai passé toute la nuit éveillé à attendre un appel de sa part( rien) à prié: ( moi : un non croyant absolu entrain de passer la nuit à prié pour qu'un indice me soit envoyé de part de Dieu à fin de la retrouver.) Hélas rien . Je pensais pensais et repensait sans réponse palpable.

- pourquoi es-ce que mon amour pour elle n'a pas été suffisant? Dit Alexandre fatiguée mentalement. Il n'y a pas que moi que tu es entrain de blessé mayra. Hier encore j'ai échappé belle au questionnement de metcha à ton sujet. Aujourd'hui s'il elle revient avec les mêmes questions que lui dirais je?

- toc toc toc toc( coucou mayra la tante de shefalie nos voisins de l'a autre côté de la rue nous invite à une sortie entre grande sœur petit soeur) disait metcha derrière la porte de la chambre. Alexandre plongée dans ses pensées ne comprenais rien. Metcha lassé de toqué sans réponse ouvrit la porte. Yeux baladeur elle regarda partout surprise de voir Alexandre toujours à la maison aussi tard s'exclama:

Metcha: al... ?

Alexandre: mayra ... T'es la?

Metcha: non ... C'est moi metcha. Qu'est ce qu'il se passe avec mayra? Elle n'est pas du tout là? Et toi? Il est presque 10 h tu n'as pas travaille aujourd'hui?

Alexandre: oui oui bonjour petite princesse metcha merci pour ce bonjour très spécial.

-je vais bien et toi? Très tôt le matin comme ça tu viens me bombarder des questions ainsi je sens que ma journée promets hein! . Ainsi Alexandre pris control de la situation avec sarcasme absolue

metcha: je suis désolé Alexandre pour mon impolitesse c'est juste que je suis trop excité car la tante de shefalie notre voisine de la rue d'en face nous a invité à une sortie grande sœur petite sœur voilà pourquoi tu me vois de bonheur devant la porte de votre chambre. Alors elle est où Mayra?

Alexandre : je ne sais vraiment pas trop. mais je pense qu'elle est partie acheter du pain pour le déjeuner ,"enfin je pense "quant à moi je me sens pas très bien pour aller au bureau ce matin .

Metcha: du pain pour le déjeuner? pourtant tout à l'heure j'ai vu tante Odette préparer le déjeuner toutes contente.

Alexandre: ah oui...? Je vois on va faire ceci tu iras dans avec ta copine et vous passerez la journée ensemble quand mayra rentrera nous viendrons là-bas OK?

Metcha: d'accord super à plus tard alors

Alexandre: ( sourire... ) À plus tard. Mensonge après mensonge Alexandre ne se sait d'accumuler des mensonges sans se rendre compte il était devenu un menteur ambulant et cela toujours par ma faute.

Metcha, parti , il reprit la lettre l'ouvrit la parcoura encore à fin de trouver un petit indice sur les motifs de son départ où encore le lieu où elle pourrait résidé actuellement .

* Il y pensait sans arrêt quand la voix de metcha résonnait dans sa tête : << tante Odette préparait le petit-déjeuner ce matin toute contente>> " maman toute contente? Sa reste à vérifier" Pensait-il en parcourant la lettre quand il tomba sur une phrase dans la lettre <<Ton père a bien raison>> papa avoir raison? que voulait-elle dire par là? sur quoi avait-il raison à propos de toi mayra ? . Repensant ainsi et encore à la phrase de metcha qui disait tantôt << tante Odette préparait le petit-déjeuner tout contente>>

Alexandre: je le savais s'est-il exclamé furieux tout en sortant de sa chambre dans de haussement de voix : maman! Papa criait il avec la lettre à la main.

Odette: qu'y a-t-il avec le temps d'écrire Alexandre? As-tu oublié tes bonnes manières?

Alexandre: bonne manière? Je parlais de bonne manière vous n'avez même pas réfléchi à deux fois avant de mettre cette femme que j'estime de toute mon cœur à la porte.

Odette: pauvre Alexandre si tu savais... si tu savais...( Laisse moi rire) cette femme que tu dis aimer le tout ton cœur a choisi partir avec le chèque que ton père lui a remis pour se reconstruire. Ainsi elle n'avait rien à faire avec toi ni de sa petite sœur aussi il parait la laissant ainsi sans remords pour être libre de ses faits et gestes . Alexandre arrête de soutenir l'insoutenable . Laisse tomber cette erreur et concentre-toi sur ton futur là au moins je pense qu'il y a de l'avenir.

Laurent: arrête ça tout de suite Odette!. S'il te plaît...

Perdu dans les dires de sa mère il tourna le visage vers son père. Par une 'une voix très fine il dit "papa." Des larmes sur le point de coulés

-Je t'en supplie dis-moi que ce que raconte maman n'est pas la vérité s'il te plaît!

- dis-moi que tu ne l'as rien dit de telle, demande de t-il à deux doigts du craquage

Laurent: ( silence)

- je t'en prie papa dit moi la vérité. ne me tu pas avec ton silence.

* Perdus dans la patience,il mît tout sans dessus dessous dans les pleurs et les cris. lassé de voir ce spectacle de honte que donnait son fils . Monsieur Laurent cria de toute ses forces:

- oui oui je lui ai remis un chèque en blanc afin d'inscrire la somme nécessaire pour sa reconstruction! Mais quoi ?...

Alexandre: mais ... mais ... mais quoi papa pourquoi as tu eu recours à cette bassess ? Je suppose qu'elle t'a tendu.

Cet instant absolu de doute. d'un côté madame Odette qui a menti en ce qui concerne la réception du chèque en blanc offerte. Et de l'autre coté il y'avait moi .

Vers qui devait-il se tourner ? qui allait-il soutenir la vérité ou la fourberie? c'était plus qu'évident la famille reste la famille " non " à t-il dit il sans peur ni remords.

Alexandre: quoi ... Quoi? Non? Que veux-tu dire par là?

- elle a pris se chèque avant de prendre la route. Cependant je lui ai suplié de laissé metcha .car je connais à quel point tu l'affection. Je lui ai donné ma parole de prendre sa petite sœur comme ma propre fille à moi. Je suis désolée Alexandre pour tout ça .

Alexandre: comme ça elle a pris le chèque et en prime vous avez suplié de laissé metcha par la suite! Vous pensez que je vais vous croire?Papa, maman je ne savais pas que vous irez aussi loing

- je connais mayra comme personne papa,maman .je sais de quoi elle est coupable. Je suis déçu par vous.

À suivre