GOLD

XXV

J'ai du mal a courir ainsi pied nu et je suis sur que je suis en train de me faire plus de mal qu'autre chose, mais je n'en est cure. Je ne peux pas passer a coté de cette opportunité de m'enfuir, et s'ils me rattrapent, j'aurais essayé, je n'aurais pas de regret. 

Je ne prend pas la route d'ou l'on est venu en jeep et je préfère prendre des petits chemins sinueux a travers la roche et même grimper sur des parties de murs pas trop raide pour essayé de distancé le maigre, et si possible trouver un endroit ou me cacher. 

Je me coupe a plusieurs reprise sur la pierre orange et je sais que mes genoux souffre de plusieurs égratignure a force de glissé sur le terrain. Je regarderais et soignerais mes blessures plus tard, quand je serais enfin en sécurité, ou du moins, cacher. 

J'entend les pas du maigre derrière moi, même alcoolisé il court vite et essaye de me rattraper. Il est vrai qu'avec des chaussures, il a un avantage. 

Entre deux pentes raide, j'atterrie sur un petit chemin en terre qui monte doucement sur les hauteurs du canyon, j'essaie de courir le plus vite que mes pieds me le permette. Un morceau de bois, des petits gravier me rentre dans la plante de mes pieds. Quand j'arrive tout en haut, horreur. C'est un cul de sac. J'ai juste pris de la hauteur. Le soleil commence a se levé, et je me rend compte que je me trouve dans un labyrinthe de roche rouge a perte de vue. Même si j'arrive a me débarrasser de mes agresseurs, je ne sais pas si je retrouverais mon chemin un jour. 

Les rayons de soleil qui émerge réchauffe ma peau et m'éblouie un instant, je me retourne pour voir arrivé l'homme maigre et je me rends compte que je suis bien positionner. Dans se sens, le soleil qui arrive est dans mon dos, mon agresseur, lui, est ébloui. 

- Tu vas le regretté. 

La course lui a permis de reprendre ses esprit et il est moins alcoolisé que toute a l'heure, ou alors, c'est l'adrénaline qui lui permet d'être plus stable sur ses pieds car il semble plus vif. 

- Je ne suis pas un de ses foutu traqueur ! Mon chef me paye pour te ramener auprès de lui, en un seul morceau ! Maintenant, que tu t'es blesser en essayant de t'enfuir, on ne verra pas la différence si j'en profite un peu ! Dit'il en se jetant sur moi. 

Je met directement en pratique se que Ashe ma appris. Je ne lui laisse pas le temps de prendre son souffle. Je frappe, des poings, des jambes, je vise le nez, la tête et la pomme d'Adam ainsi que l'entrejambe. Je vois a son regard qu'il est étonner que je sache me défendre mais il redouble de fureur et me frappe plus fort. Je fini par tomber au sol, lui sur moi qui essaye de me plaquer, mais je continue de me défendre jusqu'à épuisement. Il essaie de m'assommé. Ma main se referme sur un bout de bois, je le frappe avec, le bois trop vieux se brise en deux. Je suis a court de souffle. Je n'en peux plus. Il va finir par réussir a me prendre ma virginité. Je ne veux pas. Je cris et tape n'importe comment. Une chaleur m'envahis. Le soleil ? Les rayons ? Je hurle. 

Le morceau de bois qui me reste dans la main s'enlourdi tout a coup. Pèse dans ma main, mon poignet, mon bras. Devient lisse et chaud sur ma peau. Un coup d'œil dessus et je constate qu'il brille. Le soleil se reflète dessus. Vu la lourdeur de celui-si malgré que je ne comprend pas se qu'il se passe, je frappe de toute mes force l'homme maigre sur la tête. Il se recule rapidement, se tenant le crane en sang. 

- Qu'est ce que ? 

Il regarde sa main en sang et essuie sa tête. 

- Qu'est se que tu m'as fais sale pute !

Je me redresse. Je regarde le morceau de bois dans ma main. Un lourd morceau en or. Je reste immobile et silencieuse trop étonner pour esquisser le moindre geste. L'homme maigre est lui aussi étonné et ne bouge pas. Soudain, la rage s'empare de lui, il est énervé, apeuré et me regarde avec un mélange de haine et d'envie. 

- Tu es une étincelle. 

- Une quoi ? 

- Une étincelle ! Tu as un don ! On se fais arnaqué par le chef, tu vaut plus cher ! Et ont aurais du avoir du matériel pour te maîtrisé !

- Je n'ai pas de don !

- Et ça c'est quoi l'Eldorado ? 

Je regarde ma main qui tiens le morceau de bois en or sans rien dire. Je ne sais pas se qu'il se passe. L'homme devant moi fais les cents pas. 

- C'est de l'or ? Dit il soudain avec envie. 

- Je n'en ai aucune idée. Se n'est pas moi. 

- Tu ne savais pas que tu avais un don ? C'est donc cela...

- Je n'ai PAS de don !

- Avec toi... plus besoin de travailler... Je suis un homme riche ! 

- Quoi ? 

Je plisse les yeux. Je sent l'horreur venir. 

- De l'or...  Dit'il avant d'éclater de rire. 

Il rigole et il est hideux. 

- Je vais faire de toi ma femme et je serais riche et intouchable avec ton don de défense ! Je pourrais me payer tout se que j'ai envie ! Maison, domaine, garde du corps, pute et plein d'autres femmes, j'aurais une descendance ! Je vais devenir un homme puissant ! Il rigole encore plus d'un rire machiavélique. Fini le travail de merde ! Fini de m'abstenir de toucher ! 

Il rigole encore quand la jeep fais éruptions et que c'est collègue sorte et s'avance vers lui. 

- Qu'est ce qui c'est passé ? Lance le plus musclé. 

- Elle c'est échappé ? Demande le trapus. 

- Impossible qu'elle est défais ces liens, c'est moi qui lui est fais avant de me coucher, c'est toi qui as fais quelques chose ! Tu l'as toucher ? Si a cause de toi on est pas payé tu auras a faire a moi ! Dit le chauve. 

- On se calme !  Déjà il l'a rattraper ! Dit le chef en s'avançant vers lui. On verra les détails plus...

Avant qu'il n'est fini sa phrase l'homme maigre lui tranche rapidement la gorge avec un canif sortie de sa poche. Ses deux autres collègues reste sous le choc sans rien dire. 

- Mais qu'est ce qui te prend ? Dit le chauve. 

- Elle est a moi ! 

Ses deux collègue se regardes un instant avant de lui sauté dessus et de le rué de coup. 

Je les regardes se battre et me recule jusqu'à être au bord du précipice. 

Je suis perdu. Je ne sais pas se qu'il se passe et se retournement de situation me sidere. Même avec ces collègues, il a retourner sa veste rapidement. Dans quel monde vit on ? 

Je veux profiter de cette bagarre pour partir mais quand je me relève. L'homme maigre tombe au sol dans un bruit sourd et ne bouge plus. 

Deux hommes mort gise a mes pieds. Deux. Et c'est la première fois de ma vie que je vois un mort de mes yeux.