Sérénité

16.

!¡PDV IRÈNE

              J'étais rentré chez moi et ça me faisais toujours bizarre de me retrouver seule après partis quelques jours entourer. Mon sentiment de solitude n'allait pas duré longtemps, parce que Léna et Solène avaient décidé de me rendre visite.

— Irène !
s'exclama Solène en me prenant dans ses bras.

Léna nous rejoignit dans notre énorme câlin. Puis elles finirent par me lâcher. J'avais un truc à leur dire qui me donnait légèrement la boule au ventre.

— Ça fait longtemps qu'on s'était pas vu, ça va ?
questionna Solène.

— Très bien et vous ?
répondis-je.

— Nickel. C'était bien Marseille ?
demanda Léna.

— C'était génial même. L'arrivé de Squeezie était incroyable quand même et on s'est beaucoup amusé.
racontai-je en m'asseyant sur le canapé.

On avait continué à parler, puis fus le moment où je devais leur annoncer très clairement pourquoi je les avais invité.

— J'ai un truc à vous dire aussi.
commençai-je.

— On t'écoute ?

— Je viendrais pas à Los Angeles.
leur annonçai-je.

— Bah... pourquoi ? T'as un empêchement ?
questionna Léna.

— Enfaite... Maxime il est en Corse et Djilsi et Manas y vont demain. Et il se trouve que...

— On va t'arrêter parce que tu vas nous faire un long discours, juste pour nous dire que tu pars en vacances avec ton copain.
m'interrompit Léna.

Je me sentais trop mal de ne pas venir voyager avec Léna et Solène. En sachant que Solène je ne la voyais pas souvent. Mais j'avais l'impression de décevoir vraiment Maxime.

— Ça vous dérange pas ?

— Bien sûr que nous. Si tu veux passer plus de temps avec Maxime on va pas t'en empêcher.
fit remarquer Solène.

— Promis je serais là pour les vlogs d'août.
promis-je.

— T'as intérêt, mais en tout qu'à profite bien de tes vacances en Corse.
me souhaita Léna.

Des amies comme Léna et Solène, ils n'y en avaient pas beaucoup. J'les aimais trop de ne pas m'en vouloir de ne pas venir à la dernière minute.

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— Dépêche toi sinon on part sans toi !
me prévint Djilsi.

J'étais entrain de faire ma valise à la dernière minutes. J'étais toujours comme ça à faire le plus important en dernier.

Djilsi m'attendait devant l'entrée de chez moi. Manas lui était déjà en bas. Je rejoignis Djilsi après avoir fermer ma valise et être sur que je n'avais rien finis.