Il fait froid. La petite cellule dans laquelle je me trouve est exposé à la nuit, au froid et à la pluie. J'aimerais sortir, crier et retrouver ma liberté passé. Mais je ne peux pas...
J'ai faim et j'ai soif mais je ne peux manger qu'une fois par jour si je pouvais sortir j'aurais mangé le lapin blanc qui est passé hier !
Alors j'enlace mes genoux et me remets à pleurer. Mais famille me manque, l'ai frais du matin, la chaleur du soleil sur mon corps quand j'ouvre la fenêtre. Alors comme je n'ai pas d'autres solutions, je ferme les yeux et plonge dans un léger sommeil.
Une goutte de pluie me tire de mes cauchemar. La nuit à été courte, entrecoupée de réveil, je n'ai pas pu me reposer. Je m'étire dans mon petit espace et une douleur effroyable me parcours le dos : une fissure m'a griffé le dos et je saigne. Ce minuscule trou pourrait me permettre de retrouver ma liberté alors j'en profite.
Je me glisse avec difficulté dehors et je peux enfin respirer l'air frais. Je sens l'herbe fraîche sous mes pieds nus. Un ruisseau coule pas très loin. Je cours et goûte une poignée de l'eau pure.
Je me jette dans le gazon et réfléchi : j'ai enfin retrouvé ma liberté, elle m'avait tant manqué !
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Échos de consciences inconnues
Poetryrecueil participatif d'écrits libres "les pensées tournent, les mots dansent, et sur ce rythme furieux les esprits inconnus partagent les échos de leurs nouveaux maux"
