OS n°10 - MinaShina

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OS n°10- MinaShina

** Commande de @RolieTetsuAkashi **

La vie est injuste, et on me l'a enseigner depuis mon plus jeune âge. Je n'est jamais fait partie des personnes que la société qualifie de " normal ".

Je ne suis jamais aller dans un quelconque bâtiment scolaire, je n'ai jamais eu de " chez moi " - tout du moins, pendant un temps -, non, ma mère n'a jamais eu assez d'argent pour tout ça.

Ma mère m'a eu très jeune, mais il y a eu une série d'événement bien pire que ça. Pour commencer, mon père m'a clairement renier et a rompu avec ma mère par la même occasion. Ensuite, ma mère était plus ou moins orpheline : son père est mort avant sa naissance, puis sa mère c'était retrouvé un petit copain qui à vite considérer ma mère comme sa fille. Mais, comme on le dit si bien, il y a toujours une ombre au tableau, n'est ce pas ?

Ma grand mère mourut à ses sept ans, et son beau père, à commencer à la battre. Ma mère est donc partit de chez elle à ses treize ans. Une fois que mon père l'est renié, elle n'avait ni job, ni endroit ou loger. Alors, pour pouvoir m'assurer une vie plus ou moins correcte, elle a commencer à se prostituer. Pour moi, pour que je survive. Rien que d'y penser, j'ai honte, honte que ce soit à cause de moi qu'elle ait dû vendre son corps.

Je l'ai donc suivis partout, même chez ses clients. Ils m'enfermaient toujours dans une pièce insonorisé - ou le plus éloigner possible de l'endroit où ... - et me donnait de quoi jouer. Un de ses clients était ... Comment dire ? Différent ? Il ne faisait rien avec ma mère, mais il la payait comme même. Tout ce qu'il fallait faire reposait sûr mes épaules, mais je ne le savais pas encore. Tout les jours, quand je venais ici, pendant que les adultes parlaient ensemble, je jouait avec la fille de cet homme.

Elle ne pouvait pas bouger de son lit, d'après ce que j'avais compris, elle était trop faible pour pouvoir se lever, et ce à cause de sa maladie. Ne bougeant pas de sa chambre, elle ne voyait pas grand monde : son père, son infirmière et moi. J'étais la seule personne de sa tranche d'âge à la voire. Son père avait bien remarqué que sa fille se sentait seule, et il avait tout essayer pour la revoir sourire, et j'avais été sans le savoir la seule et unique chose qui lui redonnait le sourire.

J'ai donc continué pendant des années à venir la voire chaque jour, je lui parlait de dehors, de ma maigre expérience du monde extérieur en temps qu'adolescent. Et ça la faisait sourire. Se sourire, il restera gravé dans ma mémoire jusqu'à ma mort, j'en suis certain. C'est en parti son sourire qu'y m'a fait tombé amoureux d'elle. Oui, j'étais tombé amoureux d'elle, de son sourire, de son regard, ses mimiques, sa douceur et sa naïveté. J'en ai presque oublié l'injustice de la vie, mais, on ne tarda pas à me la rappelé de manière violente, presque cruelle. Non, pas " presque ", c'est cruelle.

Je l'ai fut mourir à petit feu, essayant de me caché sa mort imminente dernière ses sourires. Mais je n'étais pas dupe, j'ai bien vu que quelque chose n'allait pas. Et je n'ai rien dis, si elle avait décider de ne pas m'en parler, je respecterais son choix. Mais à partir du moment où j'ai su, j'ai vécu chacun de nos moments comme si c'était le dernier, profitant à chaque fois de sa présence ô combien rassurante.

Et un jour d'hivers, alors que j'étais plus que content de la revoir pour pouvoir lui montrer qu'il neigeait, j'ai reçu la pire des nouvelles possibles : elle avait été transférer d'urgence à l'hôpital le plus proche. Je savais ce que ça signifiait, elle allait bientôt mourir.

J'ai passé toutes mes journée avec elle, allant de la première heure des visites à la dernière. Et un matin, quand je suis entré dans sa chambre, son lit était fait, ses draps changer, les machines débrancher de son corps. Cependant, sur sa table de chevet, tronnais une lettre, une lettre m'étant adresser.

***

Cher Minato,

Si tu cette lettre, c'est que les infirmières on bien voulu la laissé sur ma table de chevet jusqu'à ta visite journalière et que, malheureusement, comme tu as pus le comprendre par toi même, que je ne suis plus de ce monde.

Je suis désolé si tu pleures par ma faute mais l'on savait tout deux que ce jour arriverait. J'aurais voulu plus de temps et, j'imagine que toi aussi. Comme tu le dis si bien, la vie est injuste. Alors ne pleure pas, ne lui montre pas qu'elle à gagner. Soit fort et profit de la vie. Pour moi. Je t'en pris Minato, fais le pour moi. Ne fais pas comme moi si c'était toi qui serait mort.

Je sais que, tu étais au courant que ma maladie s'aggravait, mais que tu n'as rien dis, merci. Je t'en suis reconnaissante, pour avoir respecter mon choix mais aussi pour tout. Je sais que, ce que je m'apprête à dire est sans doute très niais et digne d'un film tragique mais, merci de m'avoir sauvé la vie. Sans toi j'aurais abandonner le combat depuis longtemps.

Je t'aime Minato, sache le. Je regrette de ne pas te l'avoir dis de mon vivant, mais, j'avais peur. Pardonne ma lâcheté. Mais, quoi qu'il en sois, on se revoit là-haut, okay ?

Je t'y attendrais, mais, avant ça, je veillerais sur toi. Je serais en quelques sortes ton ange gardien. Je t'aime Minato et désolé pour tout.

- Kushina.

***

Voilà, j'espère que cette OS t'as plus ! N'hésita pas à demander si tu en veux un autre !

Imagine & Préférence - NarutoWhere stories live. Discover now