La fille d'un Dieu pas comme les autres Tome 1 Kycrow

Chapitre 34

Tout avait disparu autour de nous et un noir complet nous entourais, je lançais un regard inquiet à mon père;

- Qu'est-ce qu'il ce passe?

- Il n'y à rien d'important à voir pour le moment, c'est comme ''avance rapide'' dans un film si tu préfères. Je fis mine d'acquiescer, mais cela m'intriguais vraiment, mais alors que je croyais qu'il n'y aurait plus rien, un paysage magnifique apparu devant nous. Nous surplombions l'océan et le reflet du ciel rose orangé dans l'étendu d'eau, qui s'étendais à perte de vue, était magnifique. Ma mère était près de nous et semblais pleurer, une voix familière nous fis nous retourner en même temps ;

- Je te trouve plus jolie lorsque tu souris. Mon père ce trouvais derrière nous, en tournant la tête pour voir regarder mon père (du présent) je vis qu'il avait disparu. Je n'eus pas vraiment le temps de réfléchir car ma mère parla d'un ton sec.

- Qu'est-ce que tu fais ici?! Ça doit faire un an que je ne t'ai pas vue.

- J'étais occupé. Mais j'ai beaucoup pensé à toi. Elle se força à ne pas sourire mais ses yeux la trahissaient, ses yeux noisette qui brillaient en le regardant.

- Tu sors ce discourt à toutes les femmes que tu rencontres? Je ne veux pas de problème avec un homme marié, saches-le! J'en ai déjà assez... Elle ce retourna pour regarder de nouveau le ciel.

- Tu comptes partir comme ça? Tu crois vraiment que c'est la meilleure solution?

- Qu'est-ce que ça peut te faire?! En plus je ne me souviens pas que nous nous tutoyions! Elle semblait à bout de force, épuisée, je vis même qu'elle avait beaucoup maigris, ses cheveux tiraient désormais davantage sur le blanc même si elle avait fais une teinture noire.

- C'est vrai, pardonnez moi. Mais je pense toujours que ce n'est pas une bonne solution.

- Allez-vous-en! Elle avait hurlé à travers le vent, les larmes aux bords des yeux. Elle voulait en finir, mais pourquoi?

- Qu'est-ce qu'il vous est arrivé pour vouloir ça? Elle baissa la tête, sans doute lassée. Son corps et son esprit étaient épuisés, ses jambes lâchèrent et elle s'effondra au sol en pleurant.

- Je veux seulement mourir en paix, pouvez-vous comprendre ça?! Juste pour une fois dans ma vie faire un choix intelligent et que je ne regretterais pas! Mon père ne dis rien, il s'approcha d'elle et s'assis à ses côtés. Avez-vous déjà rencontrez une personne que vous aimez si fort, au point de tout lâcher pour elle?! Au point d'avoir sans cesse mal en sachant que jamais vous ne pourrez la changez, car cette personne sais qu'elle vous fait de mal mais qu'elle ne fait rien pour améliorer ça?! Se sentir tellement stupide de l'aimer, alors qu'il ou elle ne le mérite pas?! Elle parlait d'un ton dévaster, jamais je n'avais vue ma mère dans cet état, jamais je n'aurais pensé qu'elle aurait voulu mettre fin à sa vie.

- Je vous mentirais si je vous disais que je l'ai vécu. Mais je pense que ce n'est pas une raison suffisante pour mourir. Elle leva ses yeux humides pour le regarder et parla d'une voix tremblante.

- Pourquoi arrivez-vous toujours dans les pires moments? Mon père se mit à rire et soupira.

- Aucune idée, mais j'essayerai d'y répondre si vous me jurez de ne pas mourir. Elle esquissa un sourire et je vis que mon père était rassuré. J'aimerais vous emmenez loin de cette colline mais si je fais ça, je devrais vous suivre partout pour être sur que vous ne retentiez pas d'y retourner. Elle lui donna un petit coup sur l'épaule et soupira.

- Vous êtes un ange ou quelque chose de ce genre?

- Loin de là, je serai plutôt le diable en personne. Elle lui lança un regard suspicieux et soupira.

- Si le diable est aussi gentil que vous, je veux bien allez en Enfers de suite.

- Attendons pour ça, ce n'est pas encore l'heure pour vous.

- Qu'est-ce que vous en savez?

- Je suis le diable je vous rappel. Elle se mit enfin à rire et mon père l'aida à ce redressé. Laissez-moi-vous offrir un repas. Elle hocha la tête et je me retrouvais soudain près du bar, toujours seule, où ils s'étaient quittés avant que mon père ne retourne aux Enfers.

- Votre femme va vous détestez lorsque vous rentrerez.

- Je n'en ai plus et d'ailleurs je n'en ai jamais eu, c'était, comme vous dites les mortels? Une petite amie.

- Les mortels? Mon père piqua un fard mais ma mère haussa les épaules. Je n'ai pas vraiment envie de tout savoir tout de suite, je pense avoir deviné, mais pour le moment, je préfère rester dans l'ignorance, et tutoyions nous désormais. Mon père hocha la tête et ils restèrent un long moment à se regarder.

Une main se posa soudain sur mon épaule, en me retournant je vis mon père.

- Où tu étais passé?!

- C'est un secret. Je n'insistais pas et il poursuivie. Maintenant que tu as vue ce que je voulais te montrer, voila comment ça c'est passer ensuite. Plusieurs images défilèrent devant mes yeux, de nombreux endroits différents où mes parents riaient et s'amusait ensemble, soudain une image apparu ce qui me donna l'envie de sourire et de la faire passer vite devant mes yeux, (oui vous avez deviné leurs premier baiser), puis je vis ma mère et lui voyager un peu partout, je reconnu la Grèce, l'Italie, la France, New York et je vis soudain le ventre de ma mère qui avait grossi.

- Ma petite Macaria... Nous nous trouvions désormais dans une chambre, j'étais bébé, ma mère caressait ma tête, soudain un bruit assourdissant ce fis entendre derrière nous, je me retournai et vis Perséphone, elle se tenait sur le seuil de la porte, le visage déchirer par la haine, elle hurla à ma mère;

- Tu m'as volé mon future, alors je vais te prendre le tiens! Elle dirigea sa main vers mon berceau et des flammes gigantesques en sortirent, mon père s'interposa entre nous mais les flammes serpentèrent entre lui et se dirigèrent vers ma mère mais alors que tout semblai perdu, le bébé hurla et un mur de flammes nous protégea ma mère et moi. Mon père leva la main et Perséphone disparu, avalée par des flammes noires. Tremblante, ma mère se retourna vers mon père;

- Nous savions qu'un jour cela arriverais, tu sais ce qu'il nous reste à faire? Mon père hocha la tête et la pris amoureusement dans ses bras, l'embrasant passionnément.

- Macaria ne doit jamais connaître ses origines.

- Tu sais bien qu'elle sera obligé de le savoir un jour ou l'autre.

- Pas temps que Perséphone n'est pas en mesure de vous atteindre, déménager dès que Macaria utilisera ses dons, puis vous l'enverrez à Kycrow, la directrice suivra son parcours tôt où tard. Mon père s'approcha de moi et caressa ma tête. Je t'aime ma fille, vie heureuse et prends bien soin de ta maman. Des flammes engloutirent soudain mon père et je vis ma mère tomber à genoux au sol, dévastée, le sol trembla et de nouveau comme si la scène prenais feu elle fut remplacé par le salon.

Je lançais un regard à mon père qui semblais épuisé, je ne pu m'empêcher de me jeter dans ses bras en pleurant.

- Je suis tellement désolée! Il caressa ma tête avec douceur et posa un baiser sur mon front.

- Tu n'as pas à l'être Macaria. Perséphone payera pour ses actes lorsque je l'aurais retrouvé.

- Si je ne l'a retrouve pas avant toi. Grognais-je.

à suivre...