Chapitre 14 "Naël"

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J'ai froid, très froid, mes parents étaient drôlement paniqué. C'est vrai pour eux, cela fait à peine 1 min que je suis dans ce état alors que moi, ils ne peuvent pas imaginer à quel point il me manquait et à quel point j'étais loin d'eux.

Prit d'un élan d'affection je pris ma petite famille dans mes bras et les serait très très fort contre mon coeur. Je les aime !

Je ne sais pas si je suis arrivé à la bonne conclusion mais je crois être capable d'aller dans tous les mondes. Il faut simplement que j'y pense très très fort. Cela me fait penser à mon enfance.

11 ans plus tôt

J'avais cinq ans, je me souviens bien comme si s'était hier.
C'était la veille de Noël, mes parents m'avais demander ce que je voulais pour qu'ils me rapporte.

Je n'avais pas hésiter une seconde, pour moi s'était l'essentiel

- une balle et une raquette de Tennis.

Ça les faisaient sourire, je ne savais pas pourquoi mais peut importait, ma mère me dit ceci avec un air de conviction absolue.

- ferme les yeux et pense très fort à une raquette et une balle de tennis et le père Noël te l'apportera.

- maman, le père Noël n'existe pas. On ne peut expliquer son existence scientifiquement parlant alors...

- oui mais si tu y pense de tout ton coeur alors ton souhait se réalisera.

J'étais très content, j'ai exécuter et le lendemain je l'ai avait, mes précieux cadeaux.

Je sais que ça n'a ni queue ni tête mais ça marche pareille avec les mondes parallèles.

J'avais décidé de faire une expérience, il fallait que j'aille chercher Aïna dans le monde des vampires. C'était cruciale pour moi, je ne savais pas comment mais j'avais une idée de comment vivre ensemble.
Il fallait simplement que mes théories soient vrai.

Je m'apprêtais à fermer ma chambre à double tour quand Dorine viens et me sert dans ses bras. Ça me surprend au début mais je me rends compte qu'elle pleurais.

- pourquoi tu pleure ma chérie ?

- pour toi, je sais que tu nous cache quelque chose de très important. Depuis quelques temps tu es perdu. Et je sais pas pourquoi mais j'ai l'impression que jamais plus je ne te rêverait.

- non bien sur que non je resterai toujours avec vous. Ne t'en fais pas.

- tu me mens dis moi s'il te plaît frérot.

- je ne te cache rien !

- alors dit moi ou est Aïna ?

- Aïna ?

- oui notre cousine !

- elle est retourné chez l'oncle et ma tante tu sais bien.

- non l'oncle Roland n'a pas d'enfant, sa femme est stérile tu le sais Naël. Tu ne peux pas oublié un truc aussi basique.
Cette fille et Gonel sont des mystères.

- Gonel ?

- oui tu sais avant de le rencontrer tu parlait parfois tout seul avec un Gonel qu'on avait pas encore rencontré. Tu ne trouves pas ça étrange.

- rien n'est étrange !

- par ce que tu trouve normal de parler seul ou de deviner la venue de quelqu'un alors que tu le connais même pas !

- depuis quand tu sais ça ?

- depuis que Aïna et Horchille ont soudainement disparu de la surface terrestre et toi tu n' en parle pas !

- pourquoi tu veux que j'en parle sœurette ?

- tu l'aimes !

- qui ?

- Aïna ! Sa disparition te fait souffrir et tu veux la rejoindre. S'il te plaît grand frère reviens nous dire au revoir. Nous allons être triste sans toi mais si tu es heureux tant mieux.

- je t'aime sœurette, je reviendrai promis et je vous dirai au revoir à bonne et due forme.

Nous nous faisons un gros câlin et elle me regarde disparaître.

C'est la première fois que je vois le trou noir qui nous sert de passage entre les mondes.

J'étais en effet apparu directement dans la maison d'Aïna enfin je crois et je l'espère. Je ne tiens pas particulièrement à me faire bouffer par un vampire.
Je sens son odeur, ça marché et mon sourire c'est tout de suite élargie.

Cependant, il fait sombre très sombre dans cette maison.
Je ne vois strictement rien et naturellement je n'ai pas pensé à prendre une lampe torche.

Je marche depuis environ trente minutes mais je ne rencontre personne.

Ce qui me surprend, c'est que je n'ai toujours pas prit quelques choses en pleine figure.

Je commence à me lasser de ce tour de passe passe quand soudain je me mets à voir claire. Pas parce que je voyais dans le noir mais seulement, la maison est éclairé.

Je suis surpris de se soudain éclairage. Je ferme les yeux, et l'ouvre doucement pour me familiariser avec la lumière.

Au début je continue à marché au bout d'un certains temps j'appelle, je crois que la reine Nancy avait nommé son père Gavin.
- Aïna ! Aïna ! Aïna ! Gavin ! Gavin !
- il y a quelqu'un, vous m'entendez ?
- oui comment on peut faire autrement ?
- Dieu soit loué. Ça fait maintenant presque une heure que je suis là. J'aimerai voir Aïna.
- Aïna ? C'est pas possible.

Je n'arrivait pas à comprendre le pourquoi de son hostilité. La première fois il était gentil alors que la, il semblait m'en vouloir.

Mais cela n'allait pas suffire pour me faire changer d'avis donc malgré la sensation de son regard perssant,je m'en sousignais que très peu. Je m'assie dans le fauteuil et posa cette question.

Ça le surprend cette lancer et le retournement de situation dont je fais preuve mais c'est ainsi, il faut faire avec.

- monsieur Gavin, pourquoi Aïna ne parle t-elle jamais de sa mère?
Ou est t-elle ? Pourquoi elle semble ne rien savoir sur sa propre mère ?

- en quoi cela te regarde ?

- sans vouloir vous vexer, essayons de nous entendre tous les deux. Et en plus, il n'y a aucune raison de votre agressivité. Par contre moi je peux vous reprocher d'avoir falsifié la mémoire des être qui me sont chère.
Alors répondez simplement à ma question.

- tu sais comment parler toi alors. Je vais te conter.
Quand j'étais plus jeune, je suis allé dans le monde des humains. J'ai rencontré une fille puis quelques temps plus tard, je suis tombé amoureux d'elle. Elle n'était pas une vampire, c'était une humaine...

Dès qu'il dit la dernière phrase Aïna débarque et la suite fuit un vrai désastre...

La Boîte De Pandore. (Terminée)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant