QUI ES-TU ? °•○● ᵐᶦⁿˢᵘⁿᵍ

°○●Chapitre 4●○°

Message à la fin du chapitre !! A ne pas manquer !
Kisses🌷

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PDV : JISUNG.

- Monsieur Han ? Demande la prof de sociologie.
- Oui madame ?? Je demande surpris qu'elle m'ai interpellé.
- Vous savez, les professeurs parlent pendant les pauses...Elle commence d'une voix douce.
Je comprends vite où elle veut en venir et la coupe en plein élan.
- Oui, j'ai séché le cours d'amphithéâtre de ce matin. Et même tous mes cours juste avant, je me fiche de ce que vous avez entendu, vous êtes profs de sociologie non ? Alors faîtes votre travail et laissez moi en paix.
- Jisung ! Me crie-t-elle alors que je suis déjà bien loin du couloir dans lequel j'étais.

J'arrive dans ma chambre universitaire de couleurs Grise et Bordeaux. Je pose mes affaires au sol, me déchausse rapidement et plonge sur mon lit avant de prendre mon téléphone dans la poche droite de mon jean. Je parcourt les réseaux sociaux que je possède. Aucun ne m'intéresse vraiment jusqu'à voir un snap de mon pote BamBam. Je me redresse en posant mon dos contre la tête de lit. Je cherche mes contacts et trouve rapidement celui du chatain.
- Salut Bambie. Je dis fier de ma blague.
《- Salut J-One.》 Dit-il exprès pour m'énerver.
Et il a raison, car je déteste qu'il dise mon nom de scène en public, surtout si il y a une fête chez lui. Seulement Chan et BamBam sont au courant de mon identité en temps que rappeur, même ma meilleure amie Naomie ne le sait pas et pourtant elle sait tous de moi...Et de ma vie.
- Ferme-la connard ! J'espère que tes seul. Dis-je sur les nerfs.
《- Mais t'inquiète pas ! Je sers des verres. Sinon pourquoi tu m'appelles ?》 Demande-t-il, je suis certain qu'il roule même des yeux.
- Je voulais savoir si je peux venir à t'a fête...Je reprends très hésitant.
《- Non.》 Il me répond fermement.
- BamBam...S'il te plait, je te promet, je finis pas bourrer.
《- T'avais déjà dis ça la dernière fois.》
- Je ne me chouterai pas non plus.
《- T'avais déjà dis ça la fois encore avant.》
- Je ne coucherai pas alors...
《- Et ça la fois encore d'avant. Écoute Jisung, je vais être franche, je ne veux plus que tu te mutile, sinon t'auras rien.》
- Qui...Je sais, mes bras...Mais, tu sais que c'est pas quelque chose que je peux stopper. J'y peux quoi moi ? Je ne peux pas vivre, sans une lame. C'est ça qui me tiens en vie ! Franchement, tu préfères que je me suicide ou que je me mutile ?! Alors, je ten supplie, ne me demande pas ça. Tu sais que je peux pas. Jamais...Même si je le désire.
《- Laisse tomber mec, c'est dans ta tête que tu te dis de pas lâcher cette putain de lame, et puis tu sais quoi, tu comprends rien.》
- NON, NON. C'est toi qui comprends rien. Chaque jours, je rêve, d'un truc dont tu ne peux pas t'imaginer. Chaque putain de nuits je rêve de ma putain d'enfance où j'ai vécu avec un mec dont je ne me rappelle plus parce que j'ai perdu la mémoire. Alors comment je fais moi ?! Tu peux me trouver une solution ? Non parce que je sais pas si t'es au courant, mais quand je rêve, ce mec, je me rappelle de lui. C'était quelqu'un de proche, voire plus. Je connais que son surnom, et sa tête d'enfant. Mais le pire dans tous ça, c'est que je sais même pas si il existe réellement, je ne sais rien sur cette vie que j'ai pu avoir. C'est que des rêves, ouais peut être que c'est seulement des rêves, mais chaque jour je crève d'envie de savoir pourquoi lui, pourquoi cette période et qu'est qu'il met arrivé bordel. Si je me mutile, à ton avis c'est pour quoi connard ? JE SAIS RIEN. Comment tu veux rester calme face à ça ? Je me sens faible, je veux être vivant et retrouver le bonheur ! BORDEL...JE VEUX SAVOIR QUI IL EST...C'est tous ce que je veux. Savoir la vérité et le connaître. Je crache, les larmes aux bord des yeux.
《- Jisung viens s'il te plait.》Me dit une autre voix.
- Chan ? Pourquoi t'as le tel à BamBam ?? Je demande surpris.
《- Je t'expliquerai quand tu seras là. Mais je veux te voir, maintenant. Alors lève ton cul et viens. Par contre je te préviens : Tu ne bois pas et te drogue pas. 》Me menace-t-il.
- Je me change et j'arrive. Je dis en coupant l'appel.
Je vais à la douche, et reste planter dans celle-ci, même si ce n'est qu'un petit instant, un souvenir reviens...