Chapitre onze

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(Point de vue de Jimin)

J'ai assisté à ta chute, j'ai contempler d'un œil interdit ta douce décadence. Chaque jours, j'ai vue ton monde s'écrouler sous tes pieds sans la moindre once de protestation de ta part, tu n'étais plus que du vide. Plusieurs fois, j'ai essayer d'aller vers toi, arraché la souffrance qui entravais ta joie de vivre qui te rendais misérable aux yeux de tous. Mais gouverné par ma propre lâcheté je suis rester de marbre face a tes appels aux secours. Je suis venu vers toi, j'ai essayé mais trop encré dans ton malheur tu n'a pas prit cette main que je te tendais, cette main qui ne désirais que de te sortir de là. Pourtant, ses bleus que tu dissimulais sur l'ensemble de ton épiderme avec honte, je les ai vue. Je les ai vue mais je n'es rien fait. Rien. Comment ? Pourquoi je n'est pas réagi plus vite ? Pourquoi je ne suis pas venu te sauvé plus vite ? Je ne suis qu'un lâche, j'ai honte...si honte. Si tu savais a quel point je t'aime. Si tu savais a quel point cet amour me rend fou, me rend dingue et la cruauté que tu a vécu me détruit d'avantage. J'ai honte...je t'aime.

Mes yeux me piquaient, assis depuis des heures sur une chaise peut confortable mes muscles engourdis part cette posture me criaient de douleurs mais peut m'importais je restais là sans cillé. Mon envie de demeuré à ses côtés avait prit le pas sur la fatigue et tout autre chose qui aurait pu me faire abandonné l'idée de rester. Et dans cette pièce morne aux murs blanc avec pour seule décorations que celle d'un tableau dépeignant une mer bleutée seul le bruit régulier des machines médicales venaient ternir ce silence pesant. Les bip cadencés me rassuraient, il était vivant. Il était vivant. Je ne savais plus depuis combien de temps je pleurais et mes paupières se creusaient de minutes en minutes formant des ombres noirs qui encerclaient mes orbes teintés de désespoirs. Soupirant dans une forme de lassitude et d'inquiétude je reportais mon attention sur l'être frêle couvert d'hématomes ensevelis sous une montagne de perfusions et d'un respirateur avec tristesse. Son état était des plus préoccupant et l'idée qu'il ne se meure là dans cette chambre d'hôpital me rendais fébrile.

Deux semaines qu'il était ainsi, deux semaines qu'il était plongé dans un sommeil lourd. Les médecins nous avaient parler de coma , j'en était mortifié. La tournée mondiale annulé, ont s'étaient empressés de rentrés en Corée pour confié le noiraud aux médecins spécialisés du grand hôpital central de Séoul. Hina avec l'aide du staff avait déployés les grands moyens en prenant un avion médicalisé et en privatisant tout une aile de l'hôpital. Intérieurement je priais le ciel qu'elle soit a nos côtés dans cette terrible épreuve. Elle s'était occupée avec hargne de s'assurer que ses quatre bourreaux qui avaient osé agressés Yoongi resteraient derrières les barreaux pour un bon bout de temps.

Les médecins n'étaient ni optimistes ni pessimistes sur l'état de notre ami. Il avait plusieurs séquelles, sont corps était parsemés de bleus aux traces violines et bleutées, sa chute vertigineuse dans les escaliers lui avait causée un traumatisme crânien dont on ignorait encore les répercutions sur son état de santé générale. La seule chose qu'ont savaient c'était qu'il était plongé dans un coma depuis sa chute et qu'il ne se réveillais toujours pas. Et chaque jour, j'étais là assis dans cette chambre d'hôpital a le surveillé à espéré qu'un miracle ne vienne. J'attendais qu'il se réveil enfin. Le plus souvent je restais seul avec lui seulement entrecoupé par les visites régulières des infirmières. Les autres venaient mais leurs présences autour du rappeur était moins importantes que la mienne.

Kojiro notre manager se démenait pour limiter les apparitions d'articles dans la presse a scandale, Seokjin et Taehyung s'occupaient de Jungkook qui ne cessait de pleurer imaginant le pire. Il était inconsolable et les rares fois où il se rendait dans cette chambre tout de blanc vêtue il en ressortait de la même façon,les larmes aux yeux,le souffle saccadé, les bras accrochés au cou de son vis-à-vis favori tant l'émotion trop forte pour ses épaules le submergeait. Kojiro avait même du faire appel à un psychiatre pour lui administré des anxiolytiques afin qu'il se calme et qu'il dorme un peut... sans succès. Il pleurait et réclamait sont hyung dans des hurlements qui déchiraient les cœurs de ceux qui restaient avec lui. Son mal être faisait hélas écho à nos pires craintes. Quand a Namjoon et Hoseok ils harcelaient les médecins pour avoir plus amples d'information sur l'avancer des traitements que recevait mon petit ange a la chevelure d'ébène. Hoseok avait éplucher avec intérêt tout les livres médicales traitant du coma et espérait trouver un moyen, une solution de le sortir de là mais il n'étais pas médecin et ses recherches n'aboutissaient a rien de plus qu'on ne savait déjà. L'attente nous étaient interminable et cette rude épreuve auquel ont étaient tous malgré nous plongé dedans devenait terrible. Un jour, alors que je me rendais vers la machine à café pour me prendre une boisson chaude seule chose que mon estomac pouvait supporter, javais assister avec regret a une discutions plus que houleuse entre le leader de notre groupe et le médecin. La porte rester entrebâiller m'avait laisser voir un Namjoon au bord de l'implosion prêt a réduire le bureau en champs de ruine. L'homme en blousse blanche venait de lui révéler ce qu'ont avaient tous apprit aux comptes gouttes. Yoongi avait été violé. Son corps lui avait été dépossédé pour subir pareille sentence. Et sous les hurlement de mon hyung qui venait d'apprendre la pire chose au monde, mes larmes avaient repris leurs chemins brouillant ma vue d'amertume.

Dear diary (Yoonmin ) //Terminé //Hikayelerin yaşadığı yer. Şimdi keşfedin