𝕔𝕝𝕖𝕗 𝕖𝕥 𝕒𝕤𝕔𝕖𝕟𝕤𝕖𝕦𝕣

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Pdv Marjorie
La fin de la journée sonna. J'ai remplis tout les dossiers et je me suis même avancée pour demain. J'ai tellement peur de rentrer chez moi. Il est actuellement vingt et une heures, je prends mon manteau et remets mes chaussures. Bah quoi ? Travailler sans chaussures à talon qui te font mal, c'est la vie que j'ai décidée de mener! Du coup pédicure impeccable !
une pierre de coup! J'enfile mon manteau au ralentir, toujours cette peur au ventre. Après l'épisode du fleuriste il n'a plus essayé de me faire bien comprendre que je dois aller à l'étage zéro.

à demain Britanie. »
-«  à demain patron. » répond la voix stridente de blonde numéro cent soixante. J'ai juré, ici elles sont toutes blondes! Je n'ai rien contre ça ! Mais je me sens un peu seule avec ma tignasse brune.

Un bruit sourd résonne dans la pièce. J'en déduis vite que c'est quelqu'un qui frappe à ma porte.
entrez ! » dis-je.
mademoiselle Benvenuto ? Que faites vous encore la ? »
Ne fais pas genre que tu es surpris de me voir. Tu as vu la lumière et tu as délibérément toqué à ma porte.
j'ai terminé de triller l'entourage de Charlotte Lucchini et j'ai commencé à retracer son emploie du temps de ce macabre jour. » dis-je simplement.
-«  rentrez chez vous et tachez de vous reposer ! »
-«  bonne soirée. »
-«  merci vous aussi. »
Il part. Je reposes le dossier que j'ai délibérément prit dans mes mains pour le montrer à gros ours mal léché. Mais bon.

Je marches pas la porte. Lorsque tout à coup je marchais sur quelque chose. Une clef. Abasourdie, je regarde attentivement la clef. Aucuns doutes, c'est celle de l'ascenseur ! Monsieur Calvet a dû la faire tomber! Je trouve ceci très étrange mais soit! La chance me sourie peut être? Qui sait ?

Je suis seule. Britanie étant partie. Les portes se verrouillent automatiquement à vingt-trois heures. Je prends l'ascenseur. J'insère la clef. Soudain les lumières de l'ascenseur devinrent rouges. Et une voix robotisé de femme dit:
bonjour monsieur Calvet. Le mot de passe? » le malin. Je savais qu'il n'y avait pas que ça. Dans son bureau, l'autre jour j'ai vu lorsque il tapait à l'ordis. Ensuite tous ces tableau dans le bureau porte un seul et même nombre.
cinquante-six. » comme l'étage cinquante-six.
Les lumières passent au vert.
L'ascenseur descend.
étage zéro. » annonça la voix de l'ascenseur.
Les portes s'ouvrent. Je ne m'attendais pas du tout à ça! Mais vraiment pas.
Tout est nickel. La pièce est assez lumineuse. De plus il y'a des tableaux. Un piano. Il est magnifique.
Cependant, je trouve ça un peu trop facile d'avoir réussis à descendre comme ça. Et la clef. Je trouve cela très très louche.

Je m'approche du piano. Une partition est posée dessus. Au bout de onze années de piano, on sait lire des partions.
Donc voyons voir. Clef de sol. Croche croche:  noir, noir. Soupir.
Mes mains se mirent à pianoter sur le piano et une lumière aveuglante tourbillonna autour de moi.

Pdv Lucien
Enfin! Je suis libre. Encore une journée éreintante!
Cheriiii, c'est moi! » dit une voix suraiguë, que je connais très bien.
Cristal apparu devant moi, en nuisette rouge transparente.
qu'est-ce que tu fais là Cristal ?  Comment tu es rentrée ? »
-« bah mon amour, tu m'as donné les clefs! Puis je me suis dis que la petite surprise te ferais plaisir. » dit elle en coulant un regard langoureux sur moi. Il est vrai que peut être, possiblement j'ai dû lui passer le double de mes clefs après une nuit ou une après-midi de passion.
pas ce soir Cristal et rend moi mes clefs. Et ne revient plus jamais sans mon autorisation! Compris ? »
-« Ah ! C'est bon, depuis que on est ensemble officiellement monsieur se croit tout permis ! » dit elle sa voix partant dans les aiguës encore plus que d'habitude.
-« Cristal, nous ne somme pas ensemble! De plus nous ne le seront jamais ! Ensuite j'ai eu une longue journée. Donc tu vas prendre tes talons de trente centimètres, et tu vas gentiment sortir d'ici. Merci. Et rend moi les clefs! Maintenant. »
Elle souffle et me rend mes clefs.
tu ne sais pas ce que tu perds Lucien. »
-« serait-ce une menace? »
-« Non, une promesse. N'oublis pas que je sais des choses compromettantes sur toi.» dit-elle en claquant la porte.

Enfin seul! Je pars me coucher! Demain j'aurais certainement un autre dossier à confier à mademoiselle Benvenuto . Elle avance plutôt bien sur l'enquête Luchini. Rien à redire.

L'alarme de ma maison se met alors à sonner. Je me précipite vers mon bureau.
L'écran de surveillance n'indique rien. Pourtant l'alarme a sonnée,étrange. L'étage zéro est bel et bien vide.

Enquête parallèleHikayelerin yaşadığı yer. Şimdi keşfedin