𝓒𝓱𝓪𝓹𝓲𝓽𝓻𝓮 ˢᵒⁱˣᵃⁿᵗᵉ-ᵈⁱˣ-ˢᵉᵖᵗ

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– A-.. ATCHOUM !

Cet éternuement suivi d'un long soupir était au moins le quatrième de la soirée.

– Je te l'avais dit. Je suis malade maintenant. Comment je vais faire pour demain ?

– Comme pour n'importe qui d'autre. Tu vas simplement rester chez toi et te reposer.

– Mais je peux pas laisser les clients juste pour Izuku...

– Dis donc, tu peux t'arrêter de penser au boulot ? Juste le temps d'un instant ?

– Désolé... c'est juste que... j'ai commencé ce job y a à peine un mois et je voudrais pas le perdre juste à cause d'un coup de froid de rien du tout. Pfff de toute façon je vais bien, regarde.

Il sortit du gros plaid qui trônait sur la canapé et se releva tentant de garder l'équilibre. Malheureusement, un nouvel éternuement lui fit perdre son faible équilibre retombant de nouveau sur le sofa.

– Petit A, tu te fatigues. Petit B, tu tiens à peine debout. Et petit C, quoi que tu dises ou quoi que tu fasses, il est hors de question que tu ailles travailler demain.

– Je suppose que ça sert à rien de négocier... Tenta-t-il.

– Oh bah, tu peux toujours essayer. Mais saches que tu perds ton temps.

– Ok... j'ai compris.

– Et si ça va pas mieux, j'appellerais un médecin.

– Tu t'inquiètes trop. C'est juste un rhume passager. Ça va passer en un rien de temps.

– Rappelle moi qui est resté alité pendant plus de deux semaines à cause d'une grippe ?

– Ça remonte à y a 3 ans ça. T'abuses. Pourquoi tu t'en souviens aussi ? Et c'était pas aussi long.

– Pardon ? Je m'en souviens comme si c'était hier. Je t'avais jamais vu aussi capricieux.

– Bah là c'est juste un rhume je te dis. Tu verras, demain, j'irais mieux et mardi je pourrai reprendre le boulot.

– Ah vraiment ? Tu veux parier ?

– Avec toi ? Jamais.

– Ouh... Le petit Todoroki Shoto aurait-il peur du grand Bakugo Katsuki ?

– Tout d'abord, je suis plus grand que toi.

La triste réalité lui tombant dessus, le blond serra les dents. Il détestait cet aspect de sa taille. Visiblement, même les cieux ont voulu lui faire ravaler sa fierté en le mettant à quatre •petits mais cruciaux• centimètres en-dessous de son tout premier rival.

– Je t'emmerde. Vraiment. Je te déteste. Toi et tes fucking quatre centimètres en plus.

– Moi aussi je t'aime Mini Katsuki. Et pour en revenir à ce que je disais, en plus d'être plus grand •bien sûr•, je parie pas avec toi. Plus maintenant. Plus jamais.

– Mon dernier pari t'as traumatisé ?

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Il reste qu'une semaine de vacances 😭 c'est déjà fini 😔. Allez go le suicide 🥲🪓.

Bisous 🧸🤍.

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꧁ 𝕿𝖔 𝖙𝖍𝖊 ☾︎ 𝕸𝖔𝖔𝖓 𝖆𝖓𝖉 𝕭𝖆𝖈𝖐 ♥︎ ꧂Où les histoires vivent. Découvrez maintenant