𝓒𝓱𝓪𝓹𝓲𝓽𝓻𝓮 ᶜᵉⁿᵗ ᵛⁱⁿᵍᵗ ᵉᵗ ᵘⁿ

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Shoto qui était face au blond et dos au mur se retourna et croisa le regard de son frère rempli de sous-entendus.

– J'hallucine. Il est carrément en train de nous observer comme un gros pervers.

– Ouais c'est ce que je disais.

Au loin, Touya lui fit comprendre en un regard d'aller profiter de son mari et qu'en attendant, il s'occuperait de ses gosses.

– Il s'en occupe, on monte.

– Hein ? Mais quand est-ce que t'as compris ça ?

– Laisse tomber, ça marche qu'entre frère ce truc là.

– Si tu le dis.

Il ne perdit pas un instant et le souleva par dessus son épaule, une main sur son dos et l'autre sur ses fesses afin de le maintenir.

– Je peux marcher tu sais.

– Peut-être mais j'aime bien te soulever.

Vraiment très bizarre comme phrase. Même si celle-ci était sur le point de se réaliser.

Le mi-roux sourit et se laissa porter jusqu'à l'étage.

Avant même d'arriver dans leur chambre, ils se déshabillèrent partiellement, enlevant mutuellement leur veste de costard tout en continuant de s'embrasser. Shoto se décolla et dit :

– C'est dommage quand même, je te trouvais particulièrement attirant dans ce costume.

– Si c'est que ça, je le remettrai quand tu veux.

Il replaqua ses lèvres contre celle de son mari tandis que celui-ci le souleva par les cuisses pour le plaquer contre un mur du couloir. Sa bouche parcouru son cou qu'il parsema de baisers puis sa clavicule qu'il mordilla faisant gémir son mari.

– Rentrer dans la chambre c'est trop te demander ?

– C'est loin.

Le blond continua ses baisers en même temps qu'il arrachait presque la chemise de son homme.

– À ce rythme tu vas la déchirer.

– T'es peut-être beau avec mais c'est putain de chiant à enlever.

– Ça c'est uniquement parce que t'es pas patient.

– Bien sûr que si je sais l'être.

– Si tu l'étais on serait déjà dans la chambre. Juste par précaution.

Le blond jura et lâcha un "tch". Il le maintint dans ses bras et alla quelques mètres plus loin jusqu'à leur chambre puis referma la porte avec son pied.

Une fois tous les deux dépourvus de leur chemise, le bicolore attira son mari vers lui en le tirant par la cravate qu'ils avaient tout deux gardée et plaqua ses lèvres contre les siennes.

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Snif snif... vous sentez ? Ça sent la citronnade 😏🍋.
2 chapitres pour le prix d'un comme j'étais occupée hier 🤡. Puis c'est mieux du coup pour le Lemon.

La bise 🧸🤍.

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꧁ 𝕿𝖔 𝖙𝖍𝖊 ☾︎ 𝕸𝖔𝖔𝖓 𝖆𝖓𝖉 𝕭𝖆𝖈𝖐 ♥︎ ꧂Where stories live. Discover now