Chapter 2 :

681 17 3
                                    

J'entendis une porte s'ouvrir.
anna : non Payton je veux t/p.
payton : t/p amène toi.
toi : j'arrive.
Je me lève et monte dans la chambre de la petite. Payton est assis sur son lit. Je me mets à genoux au niveau de sa tête.
toi : je lui là.
anna : je pensais que tu étais partie.
Elle me dit ça avec une voix plutôt triste.
toi : je suis là ne t'inquiète pas.
Elle me tend ses bras, je lui fais donc un câlin.
anna : Payton pourquoi on dirait que tu n'aimes pas t/p ?
Perspicace la petite dit donc.
payton : je n'ai jamais dit que je ne l'aimais pas.
anna : en plus elle est trop belle.
payton : là on ne voit pas trop.
J'avais remis mon sweat et ma capuche avant qu'il arrive.
anna : ze peux enlever ta capuche ?
Je ne lui réponds pas et me penche simplement en avant. Elle m'enlève ma capuche, pose sa petite main sur ma joue et tourne ma tête vers Payton. Il ouvre grand les yeux quand il découvre mon visage pour la première fois.
payton : ok Anna tu as raison elle est belle.
anna : j'ai toujours raison.
Cette phrase fit rire Payton et moi.
toi : tu fais encore dodo ou tu descends avec nous ?
anna : je fais dodo.
Je lui dépose un bisou sur le front et sors de sa chambre. Payton sort à son tour.
toi : tu connais un endroit calme dans le coin ?
payton : tu en as déjà marre de cette maison ?
toi : non j'ai juste besoin de prendre l'air.
payton : je t'envoie l'adresse.
toi : merci.
Je vais dans ma chambre prends un sac avec mes affaires et sors de la maison. Je marche dans la rue cherchant l'endroit que Payton m'a indiqué. Une fois arrivé, je pose mes affaires et sors mes dagues.

Je n'en ai jamais parlé à personne mais je sais les utiliser depuis toute petite

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou télécharger une autre image.


Je n'en ai jamais parlé à personne mais je sais les utiliser depuis toute petite. Je commence donc à faire quelques mouvements. 30min plus tard, je suis toujours en train de m'entraîner quand je sens une présence derrière moi. Je finis mon mouvement de manière à placer une de mes dague sous la gorge de l'individu sans le toucher. Mes yeux s'arrondissent quand je remarque qu'il s'agit de Payton. Je baisse vite mon bras.
toi : mais qu'est-ce que tu fais là.
payton : je me suis dis que tu avais l'air bien mystérieuse, je voulais savoir ce que tu allais faire. il faut croire que j'ai bien fait.
toi : t'es totalement malade, j'aurais pu te tuer !
payton : mais tu ne l'as pas fait.
toi : j'aurais peut-être dû.
payton : bon je te ramène ?
toi : euh ouais.
payton : aller viens.
Je le suivis jusqu'à sa voiture et monte dedans. Il démarre et part en direction de la maison. J'ai peur de ce qu'il pourrait dire à Joanne, si j'ai ces dagues et que je sais m'en servir c'est pour une bonne raison et pas juste pour mon plaisir personnel !
toi : Payton ?
payton : quoi ?
toi : je ne veux pas que tu crois que je suis une vielle folle qui joue avec des armes.
payton : ne t'inquiète pas je ne dirai rien.
Je laisse échapper un soupire de soulagement. Nous arrivons, je récupère mes affaires et vais les ranger. Quand je ressors de ma chambre, Anna sort aussi de la sienne.
toi : eh coucou toi tu veux manger quelque chose ?
anna : oui je veux bien.
Elle est encore à moitié endormie. Je lui tend mes bras, elle saute dedans. Je descend dans la cuisine et la pose sur une chaise.
toi : tu manges quoi d'habitude ?
anna : des gâteaux.
Elle me montre du doigt un placard. Je l'ouvre et les lui tend.
anna : j'ai fini je peux aller jouer ?
toi : biensur.
Joanne rentre à ce moment, elle fait un bisou à Anna puis vient vers moi.
joanne : alors cette première après-midi ?
toi : parfait tout c'est bien passé.
joanne : tu as rencontré Payton ?
toi : oui il est rentré peu de temps après que tu sois parti.
joanne : et il a été comment dire gentil ?
C'est le moment que choisi Payton pour faire son entrée dans la cuisine.
payton : oui comme toujours.
Joanne me regarde pour voir si il dit vrai.
toi : ne t'inquiète pas ça été.
joanne : tant mieux, je vous laisse j'ai des choses à faire.
Elle monte dans sa chambre.
payton : c'est mal de mentir.
toi : c'est mal d'espionner les gens.
Sur ceux, je monte à mon tour dans ma chambre.

À suivre...

changes 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant