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Chapter 34 :

Payton dans ce clip ✋🏻

jace : Esteban est de retour.
Esteban... non c'est impossible.
toi : Jace pitié dis moi que c'est faux.
jace : crois moi, ça ne me fais pas plaisir non plus.
toi : tu sais ce qu'il viens faire ici ?
jace : du tout, je l'ai vue par hasard.
toi : rien n'est jamais par hasard avec Esteban tu le sais très bien.
jace : j'aimerais te dire le contraire.
Sur ceux, il raccroche. Et il manquait plus que ça. Esteban ! Oh oui, j'ai oublié de vous expliquer, Esteban est mon ex totalement taré. Je pense que vous n'avez pas besoin d'en savoir plus. Bon bref, du moment qu'Esteban n'entre pas en contact avec moi, ce n'est pas mon problème. Payton l'est par contre. Clary me laisse, remarquant que ce n'est pas le moment de me parler. Je remballe mes affaires et rentre chez moi. Je prends une douche rapide et vais dans la chambre de Payton. Je m'allonge et m'endors avec son odeur et beaucoup de larmes.

Samedi 22 janvier :

Ça fait maintenant 3 semaines que Payton a disparu. J'ai fouillé toute la ville en long, en large et en travers mais je n'ai trouvé aucune trace de lui. Honnêtement, je commence à désespérer. En plus, Esteban est venu me voir à l'Institut. J'ai encore oublié de préciser que c'est une shadowhunters. Malheureusement d'ailleurs. Jace, Alec, Isa, Clary et Magnus m'ont aidé à chercher Payton. Magnus ne voit toujours rien le concernant et franchement, c'est ce qui m'inquiète le plus. Je me lève encore une fois seule. Je descends, me prépare et vais encore une fois ratisser la ville.

pdv Payton :

Je ne sais pas depuis combien de temps je suis là, 3 semaines je dirais si j'ai bien compté le jour et la nuit. Esteban vient me voir deux fois par jour pour me donner à manger et à boire mais c'est tout. Tien d'ailleurs, le voilà. Il s'approche de moi, me dépêche les mains et attend que je mange. Il faut que j'essaie de m'échapper pendant qu'il m'a détaché les mains. Je vais essayer de le distraire.
payton : alors tes plans avec t/p, elle est retomber dans tes bras ?
esteban : pas encore mais j'y travaille.
payton : tu veux que je te donne des petites techniques ?
esteban : pourquoi tu ferais ça ?
payton : parce que tu as raison, elle t'est destinée.
esteban : dis toujours.
payton : approche.
Il s'approche de moi. Jusque là tout va bien. Je me penche un peu en avant pour pourvoir être prêt de son oreille. Je chuchote légèrement.
payton : va crever.
Je le pousse violemment et me lève. Il se redresse rapidement et m'affronte du regard avant de se rejeté sur moi. Je résiste et au début, j'ai le dessus. Mais bordel d'où il vient lui. En même temps, si c'est t/p qui l'a entraîner, on doit avoir plus ou moins les mêmes techniques. Son sourire me revient d'un coup en mémoire. Esteban en profite pour reprendre le dessus. Il me colle son poing en pleine tête et me rattache. Il reprend le plateau et sort sans me regarder. Elle me manque, horriblement. Je pense d'ailleurs que c'est le plus dur. Ne plus voir son visage, son sourire, ne plus pouvoir la prendre dans mes bras. Je me fais peur moi même. Je ne pensais pas être capable d'aimer à ce point. Mais avec elle ce n'est pas pareille.

retour à ton pdv :

Encore une fois, je rentre chez moi sans nouvelles de Payton. J'arrive devant la maison et sors de la voiture. Je lève les yeux et me rends compte que je suis face à quelqu'un, Esteban.
toi : qu'est-ce que tu me veux ?
esteban : doucement ma jolie, tu n'as pas l'air de bonne humeur.
toi : dégage tu veux ? tu n'as rien à faire ici.
esteban : je veux te voir moi.
toi : espèce de barge.
esteban : j'ai entendu dire que tu as un copain sinon.
Mon cœur me fait mal d'un coup, au sens propre. Je pose ma main sur ma potrine et me plie légèrement.
esteban : ça va ?
Je me redresse et le fusil du regard.
toi : ta gueule et va voir là bas si j'y suis.
esteban : tu devrais plus heureuse de me revoir.
toi : je ne serais jamais heureuse de te voir.
J'entre dans la maison sans lui laisser le temps de répondre. Je vais rapidement à la douche et, comme tout les soirs depuis 3 semaines, je vais me coucher dans le lit de Payton. Je ne mange plus grand chose donc non effectivement je ne prends plus la peine d'aller à table. Encore une fois, je laisse mes larmes coulées. Je ne me le pardonnerai pas si je ne le retrouve pas. Je finis par m'endormir avec son sourire en tête.

À suivre...