Chapter 44 :

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Nous venons de rentrer à l'Institut, vous vous doutez bien que nous n'avons rien trouvé. Nous sommes donc encore une fois autour de la table de contrôle à attendre que quelqu'un daigne prendre la parole.
toi : on va se regarder encore longtemps dans le blanc des yeux comme ça ?
alec : elle a raison, il faut que l'on-
Il se fait couper par un appel sur son téléphone.
alec : oui.
...
alec : où ?
...
alec : on arrive.
Il raccroche et se précipite vers le garage en criant.
alec : on sait où il est.
Nous nous précipitons à notre tour vers le garage et remontons en voiture. Alec nous envoie l'adresse.

Ok donc il est chez les voisins de la famille Moormeier ? pas du tout flippant c'est cool.
payton : bordel ils ont tous des problèmes avec ma maison et les alentours.
toi : et encore une fois plus vite on commence plus vite on finit.
J'attends qu'Alec donne ses ordres mais ça ne vient pas.
toi : Alec ?
alec : c'est ton coup.
toi : ok. Jace, Alec par la porte de derrière. Clary, Isa je vois une porte fenêtre sur le côté ouverte. Payton et moi par la porte d'entrée.
Ils hochent la tête et vont se mettre en place. Je regarde Payton.
toi : prêt ?
payton : toujours.
Il donne un coup dans la porte pour l'ouvrir. Nous entrons et faisons le tour, il n'y a rien en bas. Je me dirige vers l'escalier suivie de Payton. Nous montons et faisons encore une fois le tour. Il n'y a rien. Nous redescendons et rejoignons les autres qui son dans le couloir.
jace : je croyais qu'il était ici.
alec : il est censé y être.
Je regarde au tour de moi et remarque une porte qui n'a pas l'air d'avoir été ouverte.
toi : vous êtes allés voir derrière cette porte ?
Ils stoppent leur conversation et regarde la porte que j'indique.
jace : non.
clary : non plus.
Je m'approche de cette porte et l'ouvre, il y a des escaliers qui descendent. Je commence la descente suivie des autres. La pièce est dans le noir, je ne vois rien. Je sors une lampe de poche tout en continuant à tenir mes dagues en position d'attaque. Je fais le tour de la pièce avec ma lampe torche. Il y a des cages avec des créatures maléfiques que l'ont pourrait presque califier de montres à l'intérieur. Putain mais où est-ce qu'on a mis les pieds ?! Une voie s'élève du haut de l'escalier. Il faut croire que finalement il est là.
esteban : vous avez mis moins de temps que prévu pour arriver à moi dit donc.
toi : il faut croire que tu nous as sous estimé.
esteban : t/p ! tu m'as manqué.
toi : j'aurais été ravie de te répondre que toi aussi mais non.
Esteban claque des doigts et, encore une fois, ses hommes de mains apparaissent. Ils sont beaucoup plus par contre. Je dirais six mais il y en a peut-être d'avantage.
esteban : débarrassez moi d'eux, je ne veux pas qu'ils soient un problème.
alec : et si tu nous expliqué plutôt ce que tout cela signifie.
esteban : une armée, voilà ce que cela signifie.
Super on est avancé avec ça. Les hommes d'Esteban descendent, il y en a bien six. Un chacun, ça devrait être faisable. Un colosse vient vers moi et tend la main pour m'attraper comme si je n'allais pas bouger. Mais... il est con ou il vit dans le monde des bisounourses lui. J'esquive sa poingne et avance mes dagues vers lui.

Et voilà, ils sont tous répartis là queue entre les jambes comme des bons chiens qu'ils sont. Nous nous précipitons dans l'escalier et remontons. Et merde il est parti.
alec : on rentre.
Nous sommes dans le bureau d'Alec ce qui signifie : réunion de crise.
alec : nous savons au moins ce qu'il prépare.
toi : oh bah oui tiens savoir qu'il prépare une armée nous aide beaucoup merci !
Dis-je sur un tont des plus sarcastique.
isa : t/p s'il te plaît.
toi : quoi ? c'est vrai, ok il constitue une armée mais pour viser qui, quoi, où et comment ?!
payton : joker.
jace : je confirme.
Nous nous regardons tous.
alec : ok tu as raison mais nous savons ce qu'il veut et c'est toi donc on peut peut-être penser qu'il nous vise.
toi : seulement des suppositions.
tous sauf Payton et moi: les suppositions ne constituent pas des preuves assez solides on sait.
Je rigole, Payton nous regarde sans comprendre.
toi : juste quelque chose qu'on nous apprend lors de notre formation.
payton : je me disais aussi.

À suivre...

C'est bon je suis rentrée donc je reprends vraiment mon rythme.

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