Chapter 40 :

163 4 7
                                    

TW (petite) torture :

toi : maintenant Clary.
J'attends qu'elle me réponde.
clary : c'est bon.
J'appuie un peu plus sur ma dague. Il grimace légèrement, Clary n'émet aucun bruit j'en déduis que ma rune fonctionne.
jonathan : tu joue à quoi là t/p.
toi : jusque là, je ne pouvais pas te toucher mais maintenant c'est différent. maintenant tu es vulnérable.
Je place ma dague sur sa joue et lui fais une petite ouverture. Quelques gouttes de sang tombent.
toi : alors maintenant tu vas gentiment me dire ce que tu sais.
jonathan : sinon ?
Je lui envoie un coup de pieds dans le ventre. J'ai oublié de préciser mais il est bien évidemment attaché. Il se plie légèrement sur lui même.
jonathan : tu as perdu la raison.
toi : j'en ai juste marre que tu viennes me pourrir la vie en permanence.
Je lui attrape les cheveux et le redresse.
toi : parle maintenant.
jonathan : tu sais que tu plairais encore plus à Esteban comme ça.
Je lui colle mon point encore une fois dans le ventre. Je me rapproche un peu plus de lui.
toi : c'est ta dernière chance après je me casse. que sais tu sur Esteban ?
jonathan : qu'il a était former par le meilleur c'est à dire moi et qu'il est encore plus fou que moi.
toi : tu te fous de ma gueule ?
jonathan : Esteban est mon double, il va mener ses affaires puis finir les miennes.

Fin TW :

Je le regarde de haut en bas et sors. Payton se précipite sur moi et m'emmène dans une pièce vide. Bordel pourquoi faut il toujours qu'on me prenne entre quatre yeux !?
payton : tu as perdu la raison ?
toi : je n'ai pas besoin que tu ne répète ce qu'il m'as dit.
payton : quand tu étais avec Jonathan, je ne t'ai pas reconnu. même à moi tu fesais peur.
Je fronce les souris, pas sur de bien comprendre ce qu'il me dit.
toi : tu ne me reproche tout de même pas ce que je viens de faire ?
payton : ce n'est pas toi t/p !
Je me dégage de son emprise.
toi : alors qu'est ce qui est moi ?
payton : ne me fais pas croire que tu es ce monstre que j'ai vue il y a 5 minutes.
"Ce monstre", ces mots résonnent dans ma tête c'est donc comme ça qu'il me voit maintenant. Un monstre.
toi : détrompe toi, c'est bien moi.
Je le regarde au bord des larmes et sors de cette pièce. Je vais directement dans la salle d'entraînement. Il faut que je me défoule sinon tu vais tuer quelqu'un. Je sors mes dagues et enchaîne les mouvements, sans réfléchir, sans m'arrêter et sans me soucier de ce qui m'entoure. D'un coup, quelqu'un me désarme et me fait tomber au sol. Je me retrouve allongé sur le dos avec Payton assit à côté de moi, une main sur mon ventre pour m'empêcher de me relever.
toi : je croyais que je te fesais peur.
Je dégage énergétiquement sa main et me relève.
payton : t/p.
Je ramasse mes dagues et m'apprête à sortir d'ici.
payton : t/p !
Je me dirige vers la porte.
payton : T/P BORDEL !
Il m'attrape de poignée et me colle contre son torse.
toi : tu m'excuse mais j'ai un vrai monstre à arrêter. tu sais celui qui nous a kidnappé ?
payton : arrête ça t/p, tu sais très bien que ce n'est pas ce que je voulais dire.
toi : et pourtant tu la dis.
Je baisse le regard. Il me redresse immédiatement la tête et replonge son regard dans le mien.
payton : s'il te plaît. j'ai juste dis que ça ne te ressemblait pas.
toi : j'en ai marre Payton.
payton : ça va aller.

TW suicide / mort :

toi : non tu ne comprends pas. on va tous finir pas péter un plomb. cette putain de vie va finir par nous tuer, tous un par un.
payton : ne dis pas n'importe quoi !
toi : je n'en peux plus, je suis née la dedans. j'aimerais juste pour une fois pouvoir vivre normalement. je n'ai que 18ans et ma putain de vie est déjà gâcher.

Fin TW :

Je m'effondre en larmes, j'avais vraiment besoin de vider mon sac. Payton me prend dans ses bras et essaie de me calmer.
payton : viens on rentre.
Je prends mon sac et me dirige vers la voiture avec Payton. Nous rentrons, je vais directement dans ma chambre et m'étale sur mon lit. Payton entre quelques minutes après, il s'assoit à côté de moi et ce racle la gorge.
payton : pourquoi tu ne m'en as pas parlé avant ?
toi : je ne sais pas, je ne m'en étais pas rendu compte. c'est arrivé d'un coup.
Il s'allonge et m'ouvre les bras, je m'y réfugie volontier.

À suivre...

changes 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant