Chapter 39 :

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Mercredi 2 février :

pdv de Payton :

Je n'ai pas beaucoup dormi cette nuit, la simple idée qu'elle parte m'effraie horriblement. Elle, à l'air d'avoir plutôt bien dormi. Je n'avais jamais remarqué mais quand elle dort, elle ressert de temps à autre ses bras autour de mon bassin. Elle est aussi incroyablement belle. Je ne sais vraiment ce que je deviendrai si elle parlait. Bordel Payton elle n'est censée rester qu'un an. C'est débile de penser qu'elle va rester plus longtemps. Notez l'ironie de cette discussion avec moi même, c'est moi qu'il l'est convaincu de ce lancer avec moi en lui disant de me pas penser au futur et finalement c'est moi qui me torture l'esprit avec ça. Je sens qu'elle commence à bouger. Je la décale légèrement pour pouvoir me lever. J'attrape un tee shirt et l'enfile. Je descends, prends un plateau et prépare le petit-déjeuner. Je mets deux verres de jus d'orange et deux bolles de céréales dessus et remonte. Je pose le plateau sur le bord du lit et vais la réveiller lentement.

retour à ton pdv :

Je sens des lèvres parcourir mon visage, je sourie légèrement en imaginant la bouille du petit être qui doit ce trouver juste au dessus de moi. Ses lèvres devient dans mon cou et descendent vers ma poitrine. Elles parcourent cette dernière avant de finalement venir s'écraser contre les miennes. Il finit par relever la tête.
payton : bien dormi ?
toi : très bien et toi ?
payton : toujours.
Il se redresse et me tend un plateau.
toi : en quel honneur ?
payton : parce que je t'aime.
Je le regarde dans les yeux sans bouger ni répondre. J'ai vraiment de la chance de l'avoir. Je finis par lui sourie et répondre.
toi : je t'aime aussi Pay.
Il attrape mon ordi, lance Netflix, approche le plateau de moi et se cale sur ma poitrine. Une fois que nous avons fini de déjeuner, j'essaie de bouger mais Payton me retient.
toi : tu ne vas pas me faire le coup tous les matins quand même ?
payton : étant donné que mes jours avec toi sont peut être comptés, si.
Je prends sa tête et la dirige vers moi.
toi : je ne partirai pas.
Ma voie et strict. Je veux lui faire comprendre que ce n'est pas en option.
payton : ta mère a encore tous les droit sur toi tu sais ?
toi : non.
payton : mais tu n'es pas majeur !
toi : en France si, j'ai 18ans.
Il me regarde dubitatif et se décale. Je l'embrasse rapidement et vais me préparer. Une fois que nous sommes tous les deux prêts, nous partons en direction de l'Institut. Quand nous arrivons, un vacarme anormal règne dans les lieux. Je regarde Payton et me précipite dans la salle de contrôle. Nous tombons nez à nez avec Isa qui a l'air paniqué.
isa : vous tombez bien vous, suivez moi.
Elle se précipite vers l'escalier qui mène au sous-sol, autrement dit aux cellules.
toi : Isa tu nous explique ?
isa : vous allez voir par vous même.
Elle se dirige vers la cellule du fond, celle de Jonathan. Oh bordel pas lui encore !
payton : qu'est-ce qu'on fou là encore ?
Nous retrouvons Alec, Clary et pour mon plus grand malheur Jace qui sont devant la porte de la cellule de Jonathan.
toi : bon c'est quoi cette merde encore ?
alec : il répète depuis maintenant 2 heures qu'il sait comment arrêter Esteban, je ne sais même pas comment il le connaît.
jace : et il affaibli de plus en plus Clary avec toutes ses conneries.
toi : très bien il veut jouer ? et bien on va jouer.
Je ferme les yeux et dessine rapidement une rune sur le bras de Clary.
clary : c'est quoi ?
toi : tu ne peux l'utiliser qu'une seule fois, après elle disparaît. grâce à elle tu ne sentira pas la douleur de Jonathan. elle ne fonctionne que pendant 2 heures alors attend mon signal pour l'activer.
clary : tu es sûr de toi ?
toi : plus que jamais.
alec : ni pense même pas t/p.
J'appuie sur le bouton, entre dans la cellule et referme la porte. J'enclenche le micro.
toi : trop tard Alec.
Je me tourne ensuite vers Jonathan. Les autres peuvent toujours entendre ce qu'il se passe, ils peuvent même voir étant donné qu'il y a une grande vitre.
toi : alors Jonathan, qu'a tu as me dire ?
jonathan : tu ne penses quand même pas que je vais tout te dire sans rien attendre en échange ?
Je m'approche de lui et place une de mes dague sous sa gorge sans lui faire mal.
toi : tu n'es pas en position de force là je dirais.
jonathan : tu sais très bien que tu ne peux pas me toucher.
Son tont un peu trop sur de lui m'énerve au plus ou point.
toi : ah oui tu es sûr ?
Il fronce les sourcils, étonné de mon assurance.
toi : je serais à ta place, je ne serais pas aussi serein.

À suivre...

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