chapitre 5 corrigé/modifié

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Pdv Wilhelm :

Je me réveille doucement, les souvenirs de la veille me revenant petit à petit en tête. Bon, le lycée c'est mort pour aujourd'hui. Je me lève et enfile un jogging avant de descendre pour aller manger un bout .

- C'est mieux mais t'as encore oublié un petit truc .

Je rigole face à cette remarque et il se contente de sourire légèrement .

- Je pensais que torse nu c'était acceptable.
- Aller vas y reste comme ça , ça ne gêne pas.
- Que de bonté.
- C'est surtout que je pense qu'on va y avoir le droit souvent.

Je m'assois en face de lui après avoir pris de quoi manger. On reste dans le silence pendant un moment avant que ma sœur et Aloïs arrivent, en même temps, qu'elle synchronicité.

- Ça va mec ?  On se fait un tchèque.
- Au poil, par contre je te laisse montrer le lycée a ma sœur j'ai interdiction d'aller en cours .
- Pas de soucis.

Je finis donc de manger tranquillement avant d'aller prendre une douche. Une fois ma douche prise je me rends compte que j'ai, bien évidemment, oublié mais affaires. Je sors donc de la salle de bain une serviette autour de la taille et c'est, évidemment, à ce moment précis que Louis décide de passer dans le couloir.

Il s'arrête et me scrute de haut en bas et je fais la même chose. Nous restons bloqués comme ça pendant un moment, jusqu'à ce que la voix d'Alice résonne dans la maison pour nous prévenir qu'ils partent au lycée nous sorte, en même temps,de notre léthargie. On rougis tous les deux avant de reprendre nos activités de base, c'est-à-dire aller s'habiller pour ma part .

---- ellipse de la matinée ----

Je me lève du canapé après avoir passé ma matinée dessus à absolument rien faire. L'ancien est parti plus tôt dans la matinée avec tous les jeunes pour aller à la bibliothèque. Il ne reste plus que moi et Louis dans la maison. Je m'étire les bras avant de me gratter le ventre faisant remonter mon tee-shirt et laissant ainsi apercevoir mon ventre.

Louis me regarde, ses yeux rouge traduisent une émotion forte ressenti. Il regarde dans les yeux et je sais pertinemment qu'ils sont beaucoup plus foncé que d'habitude. On s'observe pendant un long moment. Puis je perds le contrôle, et je crois que lui aussi. On se jette l'un sur l'autre comme des bêtes. Je ne contrôle absolument rien, comme hier et je sais que même si je voulais arrêter j'en serais complètement incapable.

Je plaque mes deux mains de chaque côté de son visage tandis que les siennes viennent prendre place sur mes reins. Je demande accès à sa bouche et il me donne l'autorisation sans plus de cérémonie. Un bal endiablé entre nos langues commence pour savoir qui aura le dessus dans notre échange. La chaleur dans la pièce augmente, ses mains finissent par passer sous mon tee-shirt se baladant sur ma peau. Prenant l'initiative je me décolle de lui et enlève mon tee-shirt, le balançant je ne sais où, très vite rejoint par le sien.

Nos lèvres se rejoignent brutalement comme si ça devenait vital de s'embrasser. Nos mains se baladent sur le corps de l'autre, découvrant chaque parti de peau libre. Mes mains parcourent sa colonne vertébrale pour arriver en bas de son dos , je ne me fais pas prier et les descends sur ses fesses, le rapprochant ainsi de moi. Un gémissement passe la barrière de sa bouche. Je me sépare de ses lèvres pour embrasser son cou, il frémi. Je remonte pour l'embrasser sous l'oreille, il  rejette la tête en arrière tandis que je souris contre sa peau .

Ne voulant pas lâcher non plus il dirige ses mains vers mon jogging. Il en  défait le nœud et le laisse glisser le long de mes jambes, je finis de l'enlever comme je peux avant de m'attaquer à mon tour au sien. Dans la précipitation j'ai du mal à défaire le bouton de son jeans .

- Tu veux de l'aide ?
- Ta gueule.

Ma réponse ne semble pas lui plaire puis ce qu'il me choppe brutalement le menton, me plaque au mur et m'embrasse tout aussi brutalement . J'arrive enfin à lui enlever son pantalon et comme moi précédemment, il finit de l'enlever difficilement. Je profite de cet instant pour le plaquer à mon tour contre un mur . Il pousse un gémissement de douleur, j'y suis peut-être allé un peu fort.

Je ne m'attarde pas plus sur ce détail et m'attaque, à nouveau, à son cou, laissant des marques a plusieurs endroits. Il me pousse à son tour pour reprendre le contrôle de la situation et me plaque contre le mur d'en face . Je me laisse faire, il m'embrasse brutalement avant de dévier vers mon cou puis vers mon torse faisant des allé retour entre les deux .

Le seul bout de tissus qui me reste commence à me faire mal tellement je suis serrer dedans. Je pose mes mains sur ses hanches et rapproche nos bassins afin qu'ils se touchent a travers notre dernière couche de vêtements . Il me plaque encore plus brutalement au mur se rapprochant de moi un maximum frottant nos bassins l'un a l'autre . Je ne peux m'empêcher de gémir.

Je grogne de frustration quand il s'arrête. Je passe mes bras autour de son cou, plongeant mon regard dans le sien empli de désir, nous ne mettons pas longtemps avant de nous jeter à nouveau l'un sur l'autre. Ses mains descendent le long de mon corps s'arrêtant sur l'arrière de mes cuisses, les pressant légèrement. Je comprends rapidement se qu'il veut alors  j'enroule une de mes jambes autour de sa taille avant de faire de même avec l'autre.

Je pose une de mes mains sur la sienne et la remonte vers mes fesses, il semble avoir compris puisqu'il fais de même avec sa deuxième main en souriant contre ma bouche. On se décolle enfin du mur, il me porte jusqu'à ce qui doit être sa chambre . Il l'ouvre en foutant un coup de pied dedans et la referme de la même façon avant de se diriger vers lit. On s'allonge sur le lit, lui toujours au dessus de moi.

Je prend l'initiative de lui retirer son dernier vêtements, il gémit quand je prend sa virilité en main. Il me libère très vite de mon caleçon faisant la même chose que moi . On continue à s'embrasser tout en faisant plaisir à l'autre, nos mains en parfaite harmonie.

La chambre n'est plus que chaleur, gémissement et grognements, nos corps sont transpirant, couvert de sueur. L'extase nous frappe en même temps et Louis s'écroule sur moi. Il a juste la force de nous essuyer tout les deux avec un mouchoir avant que l'on sombre dans les bras de Morphée .

fée et alpha Donde viven las historias. Descúbrelo ahora