Chapitre 14

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J'ai une manie pour supprimer les chapitres et les refaire (bien sûr en plus long, juste le début qui est pareil) . Bref, donc voici la suite de cette ff. J'ai eu des messages de personnes lisant cette ff étant assez mal poli. 

Je suis humaine, tout comme vous, j'ai une vie en dehors de wattpad et des réseaux, donc la moindre des choses quand vous demandez quand sors un chapitre serait de dire "bonjour" et "s'il te plait" et non "sors un chapitre."

Merci beaucoup, en attendant, voir vos commentaires et vos messages me plait toujours autant. Bisous les amis.   

La vie n'est qu'un mensonge.

Je le sais depuis que je suis petit. Quand mon père allait en « voyages d'affaires », quand ma mère sortait avec ses « amis », quand mon professeur d'école regardait un peu trop Talia lorsqu'elle m'y amenait.

Ils m'avaient tous menti sur leurs actions. Fin Talia, c'était différent, mais elle m'avait dit de ne jamais m'inquiéter.

Sauf que le plus gros mensonge, c'était elle-même.

Mathias était là assis sur mon canapé, ses yeux rouges et gonflés.

Je fermai la porte de chez moi et m'avançai vers lui, il avait retiré son manteau et ses chaussures, ses cheveux étaient dans un état lamentable.

- Mathias, tu as bu ?

- Non. Il ne l'était pas.

- Que fais-tu ici ?

Il se leva et me regarda dans les yeux.

- Je dois voir un truc dans la chambre de Talia.

La chambre de Talia. Endroit que j'avais interdit à quiconque d'approcher depuis sa mort, j'y passais la plupart de mon temps quand je pensais à elle, quand je pleurais pour elle.

Je n'ai jamais vraiment fait mon deuil, je crois.

- Pourquoi ?

- Tobio, ne pose pas de questions.

- Mais pourquoi bordel ! Il se passe quoi en ce moment ? C'est quoi ces histoires de familles hein ? Pourquoi bordel Tadashi et Shoyo sont embarqués dedans ?

Il me regarda dans les yeux, l'air désolé.

- Je suis tenu au secret professionnel.

Il m'énervait plus que tout.

- Ma sœur à quelque chose à voir avec ton travail merdique peut-être ?

- Oui, et plus que ce que je pensais, donc s'il te plaît laisse moi entrer dans sa chambre. Ne me dis pas qu'elle n'est pas rangée ou sale, je sais que tu y fais le ménage toutes les semaines.

Grognant, je l'amenai vers la porte en bois que je détestais et adorais à la fois passer. Il entra et je le suivis.

Montant sur le lit, il ouvrit une latte du plafond en bois et y ressortit une mallette.

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Les deux amoureux étaient allongés sur le canapé du salon. Leurs lèvres se rencontraient et s'éloignaient pour se prouver leur amour.

La jeune femme se redressa et regarda son amant dans les yeux, elle lui souriait tendrement. Ses mèches noires tombaient le long de son visage, sa bouche pulpeuse et rose ricanait et ses yeux étaient semi-fermés.

Elle était heureuse, ils l'étaient.

L'amant se redressa à son tour et passa sa main sur la joue de sa compagne pour la ré embrasser, elle le coupa dans son élan pour lui parler.

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⏰ Last updated: May 11, 2022 ⏰

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Son araignée - Spiderman VerseWhere stories live. Discover now