vingt-six.

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Her own story. N.
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Je l'ai vu passer devant moi en passant ses mains dans les poches de son pantalon, sans qu'Hayden ne le quitte du regard.

Il regardait autour de lui comme pour visualiser la pièce.

J'ai puis j'ai pu lire un petit «pas mal» sur ses lèvres après qu'il ait détaillé chaque meuble,

puis il a jeté un coup d'œil vers Hayden pour terminer par moi.

Il a regardé mes bras, mon visage.

Puis son attention s'est attardée sur mon teeshirt. Ou du moins le teeshirt d'Hayden que je porte actuellement.

Je l'ai vu légèrement hausser les sourcils.

Puis il s'est adossé contre un meuble.

Maël - On se tape la meilleure amie de son patron ?

Je lève les yeux au ciel à l'entente de ces mots.

Hayden a préféré ne rien répondre. Il a l'air plutôt agacé.

Tu m'étonnes.

Ce genre de parasites laisse tomber.

Donc un être humain sensé qui possède une cervelle va s'introduire dans la maison d'autrui simplement pour faire chier le monde et on va me dire que dans sa tête ça va ?

Il est pas tout seul là-dedans.

Maël - Mh ?

Hayden a continué de maintenir le silence.

Maël - Je te paye pas assez bien ? Tu veux plus que des liasses par heure ?

Je me retiens d'ouvrir la bouche.

Maël - Réponds-moi quand je te parle.

Hayden - Non.

Alors je fronce légèrement les sourcils.

Vu le ton qu'il emploie Hayden n'aurait même pas dû lui répondre.

Maël - Qu'est-ce que tu fous ici alors ?

Hayden - Ça ne regarde que moi.

Maël le foudroie du regard.

Maël - Je suis ton employeur. Je dois un minimum être mis au courant de ce qu'il se passe dans ta vie.

«Forteresse de l'absurde»Where stories live. Discover now