quarante-trois.

2K 184 391
                                    

Her own story. N.
_

_

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou télécharger une autre image.

_

Les passages marqués par des «•» contiennent un contenu sensible.

_


• J'ai senti ses bras encercler mes cuisses davantage,

• de sorte à pouvoir mieux atteindre mon postérieur.

• Je l'ai ensuite senti les serrer dans ses mains juste avant de les écarter pour laisser place à ses jeux de langue.

• Je me suis mordue la lèvre en détachant son pénis de mes lèvres, puis je me suis cambrée davantage en agitant doucement mon postérieur contre son visage.

• Ses jeux de langue se sont intensifiés, alors j'ai progressivement cessé de mordre ma lèvre pour de nouveau laisser la place à de petits gémissements.

• Chose qui n'a pas l'air de lui avoir plu on dirait, puisqu'il a ramené mes fesses contre son visage pour y enfoncer sa langue.

• Je me suis sentie l'humidifier en quelques secondes à peine, tout juste avant qu'un gémissement plus fort ne m'échappe

• et tous ceux qui ont suivi étaient encore plus forts, plus rapides et plus sensuels.

• Il s'amusait à me frôler du bout de la langue, chose qui me poussait à palper mon propre sein.

• Il sait pertinemment que cela ne me suffit pas, et il en joue. Comme pour me faire perdre mes moyens puisque plus il continuait,

• plus je mouillais

• et plus je tremblais.

• Hayden - Mes fellations se font seules ?

• J'ai de nouveau posé ma seconde main toute tremblante sur son entrejambe,

• ai fait passer ma chevelure en arrière, et l'ai remis en bouche.

• Je m'assurais que ma langue le touche parfaitement et à ce qu'elle soit suffisamment humide pour l'exciter.

• J'y dépose des baisers réguliers et plus je le lèche, plus loin encore je le mets.

• Jusqu'à ce que je lui fasse des gorges profondes, et qu'il ne se remette à me bouffer l'entrejambe correctement.

• Ses grognements et mes gémissements se mélangeaient. Et plus je le constatais, plus cela m'excitait

«Forteresse de l'absurde»Où les histoires vivent. Découvrez maintenant