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Ce chapitre contient un contenu sensible.
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L'entendre hurler,
l'entendre pleurer.
La sentir trembler.
Elle éveille en moi quelque chose que je n'avais encore jamais ressenti jusque-là.
Aussi bien physiquement que psychologiquement. Le plaisir,
et l'excitation se font ressentir dans les deux cas.
Ce qui m'étonne en revanche est sa capacité à tenter de se défendre, de se protéger.
Ses tentatives de me repousser.
Je ne pensais pas qu'elle en était capable, au vu de son état.
Mais cela ne me dérange en rien. C'est toujours plus excitant de se faire repousser que lorsqu'on nous laisse faire.
Là, je sens que je fais quelque chose.
Je sens qu'elle me hait. Que sa seule volonté en ce moment est de s'enfuir.
Mais je la tiens dans le creux de ma main.
Elle pourra même me bouffer le chibre. Tout ce qu'il y a de plus kiffant.
Balader ma langue en elle, atteindre ses points sensibles et ajouter ma main entière en l'enfonçant toujours de plus en plus loin jusqu'à taper le fond,
avoir le visage inondé et la queue en feu.
C'est cette dose qu'il me fallait.
Caresser ses tétons du bout de mes doigts, palper ses seins de la même manière dont j'aimerai me malaxer moi-même lorsqu'elle me tient tête.
Je pourrai dire que je suis en extase.
Je lui ai infligé un coup dans la mâchoire après qu'elle ait tenté de se redresser,
et j'ai mordu ses seins aussi fort que je le peux après qu'elle m'ait griffé le visage.
Sous ses hurlements.
Je me suis amusé à cogner sa tête contre le sol pendant qu'elle essayait de repousser mon visage,
et j'ai même pris plaisir à essayer de lui rentrer toute sorte d'objet qui me passait sous la main.
Je pense qu'elle a kiffé les vibrations de mon téléphone en elle.
C'est sûrement l'objet qu'elle a préféré sentir et de loin.
Car elle a hurlé comme la pauvre pécheresse qu'elle est, et mes rires à moi se sont multipliés.
