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Rendu là bas, il faisait sombre et les lumières de la ville commença à s'allumer, dont celles du casino, ses lumières clignotante et l'odeur de la nourriture donnait envie d'y rentrer (et d'y rester ) à tout le monde sans exclure Stiles, cette rue était isolée vu que la plus part des gens qui s'y promenaient étaient illégaux, comme à l'arrière du bâtiment, où on entendait des gens soûls éclater des bouteilles. Mais l'adolescent ne se laissa pas distraire et garda la tête haute en entrant, il resta surpris du monde qu'il y avait, de toute les origines, mais surtout japonaise évidemment. La lumière était vive mais chaleureuse, des lumières partout, des arcades de jeux d'hasard cordés sur les murs, des Africains, des américains et des asiatiques. Beaucoup de chaise et de table, des énormes bars à chaque coins de la pièce, de la nourriture à profusion... Stiles n'était pas majeur, il devait jouer le jeu et l'aire d'avoir un ans de plus au moins, sa serait facile, il n'a qu'à porter son masque de renard. Il voyait beaucoup de garde du corps, se qui égalait à beaucoup de komicho, mais il fut surpris de voir beaucoup de femme, mais elles n'étaient là que pour faire jolie, elles étaient serveuse, meneuse de jeu ou payé par un komicho pour les massages ou...(vous savez, je veux pas tout censurer et tout dire mais y'a des choses à respecter). Mais Stiles était attiré par la nourriture sur les tables, aux sauces brillantes et sucrées, il pris quelques mets en attendant de croiser son riche ami. Il le vit dans la foule, lui fit signe et Minato le regarda sereinement. Stiles examina le kumicho de New York et vit ses yeux joyeux derrière ses lunettes rose, il avait beaucoup de garde du corp près de lui.

Minato: Hé! Stiles! Content que tu sois venu! Tu es prêt à jouer une partie?

Stiles: Ouais je crois...

Minato: Je te présente mes amis, ils sont vraiment gentil et très bon en jeu et pari.

Le riche s'assis sur une banquette, très à l'aise et Stiles se mis face à lui, essayant de se mettre confortable sur sa banquette à lui aussi, Minato présenta le kumicho de Montréal, Toronto et Vancouver.

Minato: Voici Akihiko(Montréal), Yutaka(Toronto) et Ryota(Vancouver).

Les hommes regardèrent Stiles avec des sourires chaleureux et lui serrèrent la main.

Les gardes du corps autour de la banquette signalaient qu'il y avait une partie entre des komicho dont ils dirent les noms, il y avait une trentaine de personne autour, ils voulaient voir le nouveau komicho de Tokyo, qui semblait si jeune, battre les hommes dans la quarantaine d'années les plus puissant et riche du marché illégal. Les yakuzas les plus courageux (il y en a beaucoup) pariaient et misaient des sommes et des sommes pour voir les joueurs, tous autant que les autres, gagner une partie et ils jouaient à l'argent. Le jeune homme n'avait jamais été aussi stressé, il devait cacher son âge, avoir l'aire à l'aise et confiant, garder la tête haute et serein, être droit et dire les bonnes choses, gagner les parties et paries sur le coup, être bon joueur, s'engager et rester neutre à n'importe quelle situation. En parlant de ça, il devait boire la coupe de vin que Yutaka lui offrit, il appris que Akihiko était un Kitsune de feu qui contrôlait son pouvoir comme personne. Pendant que les spectateurs préparaient et calculaient leur argent, les 5 komicho discutèrent, deux jeunes femmes se mirent derrière Minato et lui massèrent les épaules, celui ci semblait habitué. Une autre fille, très jolie, dans la vingtaine, s'assit à côté de Stiles et celui devint paralysé et gêné, celle ci lui caressait sa joue, qui était rouge et brûlante.

Stiles: Je peux pas, c'est trop gênant, j'ai pas demandé des putes...

Nogitsune: Joue le jeu, tout les gens respecté on des serviteurs à leurs côté, dont des signes de sensualité.

Stiles: Pff... D'accord... Mais je te rappellerai se jour...

La jeune femme lui joua dans les cheveux, elle commença à détacher les premier boutons de la chemise de Stiles, il était en sueur, pour lui, c'était pire que vendre de la drogue, il se demandait comment il pouvait laisser passer ça, mais il ne pouvait pas dire que sa le déplaisait non plus... Il regarda la fille dans les yeux avec envi mais ne se laissa pas prendre par son beau regard, c'est son travaille, lui, il voulait une vrai relation, comme avec Malia, Malia... Il n'y avait pas pensé depuis son voyage, il n'avait pas l'aire de s'en occuper. La femme caressait la parti limmité du torse découvert de la chemise de Stiles, celui ci eu un sursaut, mais encore plus présent quand il l'a regardait détacher sa ceinture tranquillement.

Nogitsune: Jouer le jeu...

Mais c'était trop pour Stiles, il commença donc à placer le jeu pour arrêter la jeune femme, qui s'arrêta. Stiles rougit et rattacha sa ceinture discrètement, même si son côté Nogitsune lui disait de continuer, il lui fit qu'un clin d'œil et lui tira la langue avec un regard plein d'envi qui donna un rire jouissif à la fille. Il retourna à sa conversation avec les kumicho.

Ryota: Alors comme ça tu es bon au poker?

Stiles: Eh bien... J'ai battu Satô, trois fois, mais à pars ça...

Akihito: C'est très bien! Je n'ai pas vu meilleur joueur de poker depuis que je le connais! Pour première parties, et gagnées en plus, c'est très bon.

Les gens applaudissait à chaque mouvement impressionnant de Stiles, comme brasser les cartes ou faire un tour très bien joué. L'adolescent voulait les impressioner, plus il gagnait de parti, toute les parties, plus il aimait jouer et voulait rester, il avait gagné beaucoup d'argent. Le Nogitsune se réjouissant du succès de Stiles en voyant l'argent couler dans ses poches. Il battu le komicho d'Iran, Hong Kong et quelques autres. Les gens arrêtait de miser mais était toujours aussi enthousiasme. Stiles fit sa signature de jeu, son masque de renard noir, il le mettait à chaque parti. Il avait fait des vingtaine de parties, il allait prendre une pause à une arcade de hasard avec son verre d'alcool, il ne pouvait pas se souler, c'était donc facile.

Nogitsune: On a remporté tellement d'argent! Et on a mangé pour au moins deux jours!

Stiles:Oui, je crois que je vais revenir plus souvent...

L'ombre qui le suit. Where stories live. Discover now