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Épuisé, Tomio essaya un dernier coup avant que Stiles lui morde la joue avec ses dents chromées caché et que le sang de son ennemi apparaisse sur ses lèvres. Il le jeta ensuite par terre et lui donna un coup sur sa tempe gauche en l'immobilisant.

Tomio: Tu m'a eu, je suis à terre. Oh, mais attend. J'ai une confession à faire.

Stiles grogna mais le laissa continuer.

Tomio: Je sais pour ta mère. Je suis profondément désolé.

L'adolescent baissa son poing.

Tomio: Je suis profondément désolé parce que ta mère n'était qu'une salope, une connasse qui a laissé son petit garçon tout seul avec son père alcoolique qui sais rien faire, même pas arrêter son fils en sachant qu'il est possédé d'un démon et qu'il est dans la mafia.

Il ria et Stiles devint confus et les larmes aux yeux.

Stiles: Comment tu...tu sais que...

Tomio: Oh, on dirait que le débutant fait trop confiance en ses amis?

Stiles leva la tête en se retenant de pleurer.

Tomio: Oh... Tu veux voir ta maman et ton papa n'est ce pas...

L'adolescent le regarda avec un regard désespéré.

Tomio: Va rejoindre ton papa Stiles, allez, retourne chez toi, dans ta ville parfaite, avec tes amis, tes aventures surnaturelles, ta jeunesse, ton innocence.

Stiles: Mon innocence...

Stiles y repensa, il détestait ce mot, l'innocence, il ne voulait plus jamais être relié à ce mot. Il se ressaisi, entendant ce qu'il disait de ses parents, il serra les dents. Cet homme avait failli tuer son ami deux fois, a abuser d'un démon et a tué un nombre incalculable de personne.

Stiles: FERME-LÀ!

Il lui redonna un coup de poing, et un autre, et un autre, et encore. Pendant plusieurs minutes, il lui donnait des coups à la figure. Stiles regardait la face de Tomio se défigurer, en sang, sa mâchoire se déboîter, ses yeux s'écraser, sa peau se déchirer. Il était mort. Plus il frappait, plus son sourire grandissait, un sourire sadique. Les cernes de ses yeux se teintèrent de veines noires. Ses yeux noircirent et il pâlit, des veines noires se tracèrent sur ses mains et ses avant-bras. Mais il n'arrêta pas une seule seconde de frapper. Tout le monde se battait, sauf Lydia, qui regardaient le massacre que faisait Stiles. Mais la Banshee poussa un cri strident pour l'arrêter.

Lydia: STIIIIILES!

Personne ne semblait avoir entendu, sauf Stiles, qui se tourna brusquement vers elle. Il se leva lentement, sa chemise blanche était tachée de sang. Il essuya ses lèvres et ses mains rouge en s'approchant d'elle. Il lui pris le cou et le serra, elle regarda le vide en versant une larme.

Lydia: Tu me fais peur Stiles.

Il resserra son emprise sèchement.

Stiles: Chut... Tu n'as pas à avoir peur...

Il passa sa main sur une mèche de ses cheveux, elle retint sa respiration et ferma les yeux, lui faisant comprendre qu'elle avait peur. Il effleura sa gorge de ses doigts fins et l'empoigna doucement.

Stiles: Ce serait beau d'entendre tes cordes vocales s'éteindre, avoir le bruit de la certitude que tu ne crieras plus... Le même que ton sangs qui coulerait par terre et ton agonie.

Lydia: S... Stiles... tu vas me faire mal...

Il approcha la tête de l'adolescente à la sienne et souffla un vent glacial dans son cou.

L'ombre qui le suit. Onde histórias criam vida. Descubra agora