Sous l'emprise de mon sauveur ( LEONID voskovish)

Chapitre 5

PDV: Amanda

Je me réveille avec une fièvre atroce, bien que j'ai des médicaments pour mon diabète, mais je n'ai pas grand chose pour diminuer la douleur que les hommes de paco , et reiley m'ont fait .

Sans plus tarder je bouge vers ma salle de bain pour une douche , une fois finis je m'habille d'un gros t-shirt gris est d'un short en jins noir je met mes bottes , je lâche mes cheveux tomber jusqu'au bat du dos .

Je sors de mon appartement et comme d'habitude je croise Tony , qui d'ailleurs me demande le visage inquiète si ça va
Je lui répond que oui , puis m'en vais presqu'en courant pour ne pas qu'il me retienne .

J'arrive en bat de l'hôpital, puis je me précipite vers la salle de réception

Je vois l'infirmière qui m'avais aidé passer , je l'attrape subitement dans son poignet, elle sursaute mais se retienne de crier en M'apercevant

- mademoiselle Perez mais que faites-vous ici dit-elle en se Massant le poignet , toute rouge

- Désolé dis-je simplement avant de reprendre, - écoutez je sais que vous étiez de service le soir ou on m'a ramené ici , alors vous avez bien pu voir la personne qui m'a amené ici ?

- Mais mademoiselle Perez pourquoi cherchez-vous cet homme.

- Ça ne vous regarde pas okay j'ai juste besoin de son nom et de son adresse dis- je presser

- Désolé mais non mademoiselle Perez , cet homme est bien trop importante le mieux c'est que vous ne sachiez rien dit-elle en faisant un pat pour partir. Mais étant plus rapide qu'elle je l'a retient encore une seconde fois par le poignet, je la tire dans une pièce, qui semble être une pharmacie , et je nous enferme.

- Vous allez très bien m'écouter infirmière dis-je en sortant un petit couteau dans ma poche arrière et la pointe près de son coup . - je n'ai pas de temps pour t'écouter faire des éloges sur un beau mec ,alors tu vas l'ouvrir ou pas dis-je encore en la faisant peur avec mon couteau.

- il s'appelle leonid voskovish dit-elle en tremblant, il dirige le business voskovish c'est au centre ville.

- C'est ça ouais, écoute tu vas sortir tout doucement et tu vas rien dire à personne, prends un médicament pour faire diversion dis-je.
Une fois qu'elle fut sortie, je sors à mon tour .

Une heure plus tard j'arrive en bat de l'immeuble, j'essaye d'arranger un peu mes cheveux qui sont en dessus-dessous , je me sens de plus en plus faible, car la fièvre n'as pas toujours baissé .

Avec un peu de chance j'arrive à entrer dans l'ascenseur sans que personne ne puisse me voir , une fois au dernier étage les portes s'ouvrent, et je tombe sur une réception, alors voyant que je n'ai plus d'issue de secours , j'arrive chez la réceptionniste qui en me voyant fronce déjà les sourcils, je ne perd pas de temps puis je dis

- euh... bonjour

- Oui bonjour que puis-je faire pour
vous ?dit- elle en me dévisageant méchamment

- je veux voir votre patron , euh ... il s'appelle leonid

- Désolé mademoiselle mais , c'est n'est pas comme ça , qu'on fait si vous n'Avez pas de rendez-vous avec lui alors vous ne le verrez pas dit-elle

- Putain , écoutez je n'ai pas de temps à perdre, votre patron a quelque chose qui m'appartient, et je dois la récupérer à tout prix .

- désolé mais si vous n'avez pas de rendez-vous alors sortez dit- elle sécurité ?... sécurité ! Appelle-t-elle

Je regarde l'heure 16 h putain je n'ai plus beaucoup de temps, si je ne récupère pas mon sac je suis morte me dis-je apeurée.
- écouter pitié il Faut que je lui vois dis-je

les larmes aux yeux encore plus faible à cause de la fièvre.

- Mademoiselle veillez nous suivre, sans faire des drames dit-l'un des hommes de sécurité

Puis l'autre sans aménagement me prends fortement le poignet, en me tirant vers l'ascenseur de sortie, je me débat comme je peux, j'aperçois aux loin des silhouettes sortir de c'est qui semble une salle de réunion, alors avec mes dernières forces qui me reste , je tire plus fort , puis je me détache de l'emprise de l'homme, je me met à courir vers les silhouettes , qui s'avance , et sans faire attention je cogne sur un mur ... ou plutôt sur un torse dure.