Sous l'emprise de mon sauveur ( LEONID voskovish)

Chapitre 6

Chapitre
PDV : leonid

- La société a atteint le sommet en à peine 4 mois de son inauguration dit mon nouvel associé.

- Nous avons bien travaillé et j'espère qu'on va encore aller plus loin dis-je
- Nous aussi monsieur

- Bien vous pouvez vous levez la réunion est finie .

Je leurs salue tous de mains puis nous sortons, au loin je vois mes gardiens de sécurité tenir fermement une femme, celle-ci se débat puis a cours en notre direction, elle a beaucoup de cheveux que je ne distingue pas vraiment son visage .
La femme sans regarder où elle met les pieds elle me fonce dessus.

Je la retiens pour n'est pas qu'elle puisse tomber , mais remarque aussitôt qu'elle est brûlante et très pâle, quand elle relève son visage
Elle est comme figé,en m'observant et à vrai dire moi aussi
Elle se reprend puis dit

- excusez moi dit-elle en se détachant de mon emprise , je veux juste Parler à monsieur leonid , s'il vous plaît dit-elle tout en pleurant et de plus en plus faible.

- Écoutez mad...

- Monsieur cette femme sème le désordre
et vous allons la maîtriser dis l'un de l'homme en la tenant fortement son poignet.

- Lâchez là je connais cette demoiselle, je vais m'entretenir avec elle dans mon bureau et je veux que personne ne me déranges. 

Elle semble surprise mais ne dit Rien, Elle se contante de me suivre quand je lui montre mon bureau quand elle fut rentré , je fais pareil

- pourquoi est-elle si fiévreuse ? Me murmure - je à moi même avant de l'inviter à s'asseoir comme je fait pareil .

- asseyez-vous mademoiselle Perez dis-je simplement

- Écoutez monsieur  , merci de m'avoir défendu mais là maintenant j'ai pas vraiment le temps alors vous savez où je  peux trouver monsieur voskovish s'il vous plaît  m'implore-t-elle

- Je dit asseyez-vous, puis je vais vous répondre une seule chose à la foi
- Mais ...

- Ne me contredisait pas mademoiselle maintenant assis avant que je ne viennes le faire par moi même dis-je impassible

Pour une fois cette ado têtue m'écoute et s'assoie, peut importe c'est qu'il va se passer, je ne dois pas la laisser partir déjà que son état m'inquiète, elle doit se faire soigner avant ça me dis-je intérieurement.

- je suis celui que vous chercher dis-je simplement

Elle s'étonne, on ouvrant sa boucle , mais se reprend après quel seconde

- monsieur voskovish voilà je suis remercie de m'avoir sauvé l'autre soir mais vous avez pris mon sac et c'est mon seul ticket de sortie, je suis poursuivi par un Gand , et la police, je dois rendre le dix milles dollars de paco , et rassembler mes économies pour pouvoir changer de ville le temps de me stabiliser, puis avoir afin la nationalité dit-elle en pleurant.

- Hey ...hey calmez vous okay votre sac se trouve dans le coffre fort de ma voiture je vais vous la donner mais vous devez vous faire soigner enfin regarder vous , vous tenez à peine debout dis-je en colère et soucieux de sa santé

- pouf enfin monsieur soyons réaliste je vais bien okay et sa ne vous regarde en rien , donc donner moi c'est que je veux puis je m'en vais je n'ai pas besoin de votre charité , vous m'avez...

- Vous allez faire c'est que je dis sinon il n'aura plus de sac dis-je en la coulant la parole impassible et en colère.

- vous êtes fou dit-elle en se lavant mais fut vite rattrapée par un vertige.
Au moment où sa tête voulait toucher le sol je la trappe de justesse.

Je ne réfléchis pas trop , je la prends directement dans mes bras direction l'ascenseur, je passe dans le hall sous le regard  curieux de mes employés, mais je ne prêt aucune attention.

Une fois dans l'ascenseur je passe un coup de fil à Xavier pour qu'il amène la voiture dans le parking du sous sol afin d'éviter les journalistes et les gens trop curieux.

Xavier arrive cinq minutes plus tard avec la voiture, je me presse d'entrée dedans avec la douce demoiselle dans mes bras sous le regard inquiet de mon chauffeur.

- dans l'appartement dis-je à mon chauffeur, et appel le docteur montoya dit lui qu'il doit venir très vite chez moi avec toutes les appareil nécessaire, ainsi que son infirmière dis-je presser

- Bien mons...

- Démarre aller vite dis-je en colère

Et quelques secondes plus tard nous étions sur l'autoroute, je regardais la jeune fille qui dors dans mes bras avec fascination,

- comment une petite adolescente d'à  peine dix-neuf ans peut vivre toutes cette injustice putain me murmure-je

Dotée d'une beauté extrême , elle a un visage ovale, avec des lèvres rose , son teint bronzé mais pâle à cause de la fièvre, ses longs cheveux noir , ses sourcils de la même couleur  

- putain elle est tellement belle me murmure-je encore.

Quarante-cinq minutes plus tard nous étions au bat de mon immeuble , au loin je vois
Que le docteur est déjà là avec l'infirmière.
La voiture s'arrête juste devant eux je ne perd pas de temps, que je descend de la voiture avec ammanda dans les bras, quand le docteur me vois son visage est rempli d'incompréhension , Alors il s'approche puis dit

- monsieur mais qu'est-ce vous faite avec mademoiselle Perez  demande-t-il soucieux

- Il n' y'a pas de à poser toutes ses Questions allez venez vite elle doit se faire soigner dis-je le visage en colère

- Bien monsieur dit-il

Alors c'est dans c'est Humer triste que nous entrons dans l'ascenseur.

Les portes de mon appartement s'ouvrent alors sans plus tarder je nous dirige vers une chambre, je la pose , doucement sur le lit puis je laisse le docteur faire son travail, on me demande de sortir c'est que fais .

Une heure plus tard, le docteur n'as pas toujours finis, je commence à perdre patience.

Ce n'est que trente minutes plus tard que le docteur et l'infirmière sortent de la chambre

- alors docteur comment elle va demande-je

- Monsieur, elle a reçu plusieurs coup mais dans les côtes c'est qui cause sa fièvre, mais fort heureusement ses côtes ne sont pas cassé, en plus sa fait plusieurs jours qu'elle n'a ni mangé, ni pris son enciline , alors vous devriez la lui donner une piqûre tous les soirs Pendant une semaine.

- Bien docteur dis-je simplement

- Je l'ai mis sous perfusions, elle ne va pas se réveiller avant des jours pour laisser son corps s se reposer .

- Bien merci docteur , je vous appellerai pour vous informer de la suit dis-je tout en leurs raccompagnant jusqu'à la porte .

C'est comme ça que j'ai pris soins d'elle durant une semaine, j'avais annulé, toutes mes rendez-vous et réunion, je suis resté avec elle sans jamais la quitter des yeux
Je ne sais pas pourquoi je fais ça , mais c'est qui est sur c'est que je ne suis pas prêt à arrêter de le faire.