Chapitre 8

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PDV: leonid

Je sors de mon appartement frustré de c'est qui viens de se passer avec amanda .
Je ne sais pas vraiment c'est qui m'a pris , enfaite depuis ma sortie de prison je n'ai pas touché une femme, ni même discuter avec plus d'une heure mise à part ma mère. Mais cette petite m'attire comme un aimant , je n'ai plus des idées clair quand je suis proche d'elle, j'ai toujours eu le contrôle de tout , même quand je ressentais le besoin d'une femme même pour un soir je trouvais toujours un moyen de tué cette soif , soit en fendant du sport, soit en redoublant de travail.

- Mais qu'est-ce que tu me fait amanda me dis-je une fois dans la voiture, Xavier mon Fidel chauffeur me salut que je réponds simplement de la tête.

Noyer dans me penser tout au long du trajet , j'attends mon téléphone vibrer dans ma poche , je la prends puis vois que c'est nul autre que mon père , il est comme mon meilleur ami je suis fils unique donc voilà pourquoi.

- fiston tu ne pense plus à ton pauvre père ? Dit-il à l'autre bout de fils

- Hum dis juste c'est que tu veux me dire au lieu de jouer les vieux papy Stan dis-je simplement

- Hum je vois t'es toujours aussi lunatique , bon j'ai entendu dire que tu serais devenue un éros tu sauve des demoiselles ? Dit-il avec une pointe d'ironie

-  Pas faut mais en aucun cas je suis un éros je suis peut-être pire que l'agresseur dis-je avec le même ironie

- Hum je vois elle est où sinon ?
- En ce moment elle se trouve dans mon appartement.

- Hum pourquoi donc est -elle aussi précieuse à tes yeux pour qu'elle nécessite autant d'attention d'au près du grand leonid voskovish ?

- Papa je ne sais pas me contrôler avec elle dis-je enfin

- Développe dit-il sérieusement

- je veux dire j'ai toujours eu le contrôle sur ma vie et tout le reste , puis mes années en prison aussi m'ont encore plus forgé, mais là je ne sais plus. Quand je l'avais sauvé je n'avais pas vraiment réfléchi à c'est que je faisais , ma la seconde fois quand elle est venue me voir elle était encore plus pire elle s'est évanouie dans mes bras, puis je l'ai amené chez moi , elle y vie depuis une semaine.

- Mais qu'est-ce qu'elle a bien pu avoir comme ennuie dit-il ?

- C'est une mexicaine orpheline qui c'est immigrée ici aux état unis , elle a commencé à dealer de la drogue pour un certain paco  , celui-ci lui traque car depuis la nuit où je l'ai sauvé elle ne l'a plus remit son argent et sa drogue

- Et ça s'est trouve où la drogue ? Demande -il ?

- Dans le coffre de ma voiture dis-je simplement.

- Mais comment ? Je vois pourquoi tu la garde chez toi

- Ouais papa je veux régler toutes ses problèmes, je ne sais pas pourquoi je veux à ce point l'aider mais il l'est faut

- Moi je sais pourquoi, c'est peut-être elle qui sait

- Non papa dit pas de bêtises, elle n'as que dix-neuf ans et moi trente en plus tu sais très bien mon opinion vis à vis des femmes ?

- Si tu le dit en tout cas moi je dis ça je dit rien dit-il en soufflant.

- En faite trouve moi c'est paco je veux trouve son fournisseur, je veux lui parler moi même en tête à tête dis-je simplement

- Bien fiston .
Je raccroche quand j'arrive devant l'entreprise.

J'entre je vois que tous mes associés sont là pour la réunion, mais je pars voir mon assistant dans son bureau, mais quand j'ouvre la porte, je suis étonné de lui voir entrain d'embrasser langoureusement ma secrétaire qui est assise sur son bureau.
Quand il m'aperçoit , il sursaute de peur
Je lui lance un regard noir

- Luc dans mon bureau dis-je sévèrement

- Mademoiselle anabel l'appele-je

- Oui monsieur dit-elle toute tremblotante

- Vous ferez en sorte que je ne vous vois plus pendant deux semaine et Luc si tu finis ton affaire tu feras pareil et vous n'aurez rien c'est mois si d'accord ? Les amoureux ? Dis-je simplement
- Bien monsieur dit-ils

Une fois dans mon bureau je dis à Luc de s'asseoir.

- Monsieur vous savez je...

- Il n'y pas de je dis-je en lui coupant la
parole, je ne suis pas contre votre amourette avec ma secrétaire ça ne regarde que vous , mais je ne tolère pas ça dans mon entreprise , c'est la dernière fois que l'on parle de ce sujet d'accord ? Dis-je simplement en colère

- Bien monsieur

- je veux que tu appelle le juge et l'ambassade du Mexique, je veux entamer une procédure, pour qu'une personne puisse obtenir la nationalité américaine le plus tôt possible dis-je simplement

- Bien monsieur mais excusez moi puis-je savoir s'il s'agit de qui ? Me demande-t'il .
Je lui lance un bref regarde pour lui faire comprendre de fermer sa bouche .

Une fois seul je me sert un verre de vodka pour me réchauffer le corps, tout en pensant à c'est que fait ma chère mademoiselle Perez.

Sous l'emprise de mon sauveur   ( LEONID voskovish)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant