Chapitre 7 : L'éveil

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Coucou tout le monde. J'écris en musique depuis le début de ce livre. Je vous mets ce morceau en accord avec ce chapitre. J'espère qu'il vous plaira. Biz.



Pendant que Maverick caressait le corps de sa belle endormie, il laissait les souvenirs remonter.

Le tout premier fut lors de la disparition d'Amélia :

Je sortais de la maison de Richard, où nous rassemblions le plus de preuves possibles et passant non loin du portail, j'entendis tout un raffut, je sortis et beuglai :

- Qu'est-ce que c'est que ce vacarme !

La jeune femme qui hurlait, s'interrompit et me fixa la bouche ouverte.

- Madame, pouvez-vous cesser de crier de la sorte? vous nous empêcher de travailler.

- Monsieur l'inspecteur, je ne crie pas par plaisir ! dit-elle sur un ton vindicatif. Je suis ici parce que je devais rencontrer le chargé d'enquêter sur la disparition de mon amie Amélia, et en arrivant je vois tout cet attroupement. La vieille voisine de mon amie me dit qu'un homme qui doit être Richard a été retrouvé dans un bain de sang. Comment voulez-vous que je ne hurle pas! Et qui plus est, on m'empêche de rentrer chez mon amie ! dit-elle tout de go, le souffle court et les yeux lançant des éclairs.

Il sourit en se rappelant qu'il l'avait trouvée adorable, malgré le stress, l'énervement et l'inquiétude qui s'imprégnaient sur son visage fermé, mais ô combien beau.

Son second souvenir fut pour la nuit qu'ils avaient passée ensemble :

Il avait envoyé un message à Kendra après que les tourtereaux se soient tous les deux réveillés de leur coma respectif à l'hôpital.

Maverick : Je vous invite à boire un verre ce soir pour fêter le réveil d'Amélia et Richard. Ne me dites pas non please. Vous avez besoin de vous détendre.

Kendra : Boire un verre n'est pas une si mauvaise idée. J'en ai bien besoin, trop d'émotions en si peu de temps.

Maverick : Voulez-vous que je passe vous chercher ?

Kendra : Vous comptez me saouler, c'est ça ?

Maverick : J'avoue, je suis coupable !

Kendra avait hésité à répondre, pas du tout certaine de la conduire à tenir, car cet homme lui plaisait à coups sûrs et saurait-elle le garder à distance ? Là, était toute la question. Elle le lui avait avoué plusieurs heures plus tard.

Kendra : A vos risques et périls. Je ne suis pas du genre tendre, ni même docile.

Maverick : Même pas peur ! Et je vous rappelle que sans être saoule, vous n'êtes ni docile, ni tendre. Non pas que je vous juge ou que ça me déplaise. Bien au contraire.

Kendra : J'oubliais que vous étiez un franc-tireur. Ça me va, rdv à 19h à l'adresse que je vous envoie.

Maverick : Autoritaire jusqu'au bout !

Kendra : Vous prenez les risques et les périls...les atouts et les défauts également.

Maverick : A 19h donc.

Maverick : Si vous n'êtes pas là, à 19h pétantes, je lance l'avis de recherche !

Kendra : ptdr

Kendra : Je serai là. Ne rameutez pas la Garde nationale.

Elle avait été à l'heure et il l'avait emmenée dans un restaurant-bar d'un grand hôtel. Il avait réservé une table pour dîner également.

MOI...EMMERDEUSE? TOUJOURS!Où les histoires vivent. Découvrez maintenant