CHAPITRE 29

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DAVINA

1 semaines plus tard

Avec Enola on arrive à la chambre des Lords et on voit Tewkesbury avec sa mère et son oncle. Il tourne la tête vers nous et Enola me pousse légèrement.

Enola : vas-y.

Je souris à ma sœur et je me mets à avancer près de la grille et Tewkesbury arrive lui aussi.

Moi : félicitations. Vous avez l'allure du nigaud, pour lequel vous étiez pré destiner.

Il sourit légèrement.

Moi : non. Vous avez fière allure. C'est...correcte.

Tewkesbury : le vote à lieu dans une heure. C'est historique.

Moi : je ne dois tout de même pas m'incliner, dite-moi, a présent que vous êtes Lord ?

Tewkesbury : eh bien vous auriez toujours du vous inclinez mais vous avez choisi de ne pas le faire.

Je souris légèrement et je remets une mèche de mes cheveux derrière mon oreille.

Tewkesbury : maintenant, êtes-vous toutes les deux en sécurité ? Dit-il en regardant Enola derrière nous. Vous logez convenablement ?

Je regarde ma sœur pendant plusieurs secondes avant de le regarder.

Tewkesbury : j'espère que vous n'êtes plus dans cette horrible chambre ?

Moi : non. Grâce à l'argent de la récompense que votre mère nous a donner...

Tewkesbury : que vous avez accepté à contre cœur.

Moi : ...on a pu trouver autre chose.

Tewkesbury : eh bien, a se propos mère dit que vous auriez toujours votre chambre chez nous.

Moi : votre mère, n'ai jamais bien rester très longtemps en notre compagnie.

Tewkesbury : et si c'était moi dans ce cas qui vous le proposez ?

Je sens mon cœur rater un battement. Je crois que je suis vraiment tombée amoureuse de lui...

Moi : c'est aimable à vous, mais je suis obligée de refuser.

Je baisse la tête pendant plusieurs secondes avant de le regarder encore une fois, et je pose ma main sur la sienne et il regarde nos mains avant de me regarder moi à nouveau.

Tewkesbury : quand est-ce que...quand est-ce que je vous reverrai ?

Moi : vous n'en avez pas encore fini avec moi, Vicomte Tewkesbury, Marquis de Basilwether.

Il prend ma main avant d'embrasser le dos de celle-ci et je me mets légèrement à rougir. Je lui souris légèrement avant de retirer ma main et je rejoins ma sœur, Enola lui fais un signe de la main et on part toutes les deux. On passe devant un marchant de journaux et Enola en prend un avant qu'on le regarde toutes les deux. On voit un message codé et on se dépêche de le décoder. ''Retrouvez-moi à l'académie royale, à 17h ce soir, signé mère''. Je regarde Enola qui me regarde aussi.

Moi : c'est bizarre mère, signe toujours avec le mot ''chrysanthème''. Mais là elle a signé ''mère''.

Enola : tu veux dire que c'est pas elle ?

Moi : je sais pas vraiment...Et puis l'académie n'autorise pas les femmes. Et il se pourrait que j'aie éveiller les soupçons de Sherlock quand je lui ai pris le journal quand il est venue me voir au pensionnat.

Enola : alors que fait-on ?

Moi : on va y aller, mais déguisez bien sûr.

...

J'avais raison Mycroft et Sherlock nous attendait à l'académie, mais on ne sait pas fait avoir, on est parti quand ils sont eux aussi partie. On arrive à l'endroit où nous logons et notre hôte nous dit.

? : bonjour les filles.

Enola et moi : bonjour.

? : vous avez de la visite.

Moi : merci.

Elle s'en va et avec Enola on monte dans notre chambre, quand j'ouvre la porte je vois notre mère. Enola et autant choquée que moi.

Mère : c'est une chambre tout à fait ravissante. J'aime beaucoup la touche finale. Nous dit-elle en pointant nos fleurs. Je ne peux pas rester longtemps.

Enola ferme la porte.

Mère : je suis peut-être surveillée. Où diable avez-vous trouvé ça ? Dit-elle en voyant Dash et Iris.

Moi : c'est Sherlock, pas nous.

Mère : je croyais que vous les avez oubliées. Vous ne pouviez pas vous en séparer quand vous étiez petites. Vous le trainiez derrière vous...

Enola : Sherlock nous à dit ça. Lui dit-elle en la coupant dans sa phrase.

Mère : saviez-vous que la reine Victoria...

Enola : Sherlock nous l'a dit aussi.

Mère : Sherlock. Je suis ravi que vous vous êtes entendue. Je suis désolée. Vraiment désolée. Je voulais vous dire, où j'avais l'attention d'aller, mais ce n'étais pas sans danger.

Moi : et vous n'êtes plus en danger ?

Mère : si je suis partie sans rien dire ce n'est pas parce que je vous aimez pas les filles. Je suis partie pour vous je ne pouvais pas supporter que ce monde soit celui de votre avenir. Je devais combattre. Il faut parfois faire beaucoup de bruit qi on veut se faire entendre. Quelle folie. Je croyais...que je serais celle qui aller changeais le monde. La loi de réforme, c'est grâce à votre aide, qu'elle à était voter.

Je sens quelques larmes couler le long de mes joues.

Mère : qu'elles femmes magnifiques vous êtes devenue.

Enola et moi on s'approche d'elle et on l'a prend dans nos bras. On se sépare d'elle et elle nous regarde.

Mère : je vous remercie pour les iris. Et si à l'avenir vous m'envoyez d'autre messages, je vous promais que je serrais les trouver.

Enola : vous devez partir.

Mère : oui, mais...restons encore un peu comme ça. Nous dit-elle en nous prenant encore dans ces bras.

On reste comme ça pendant plusieurs secondes et elle s'en va.

...

Bon comment conclure. Je m'appelle Davina Holmes. Tout Holmes qui se respecte doit trouver sa propre voie. Mes frères l'ont trouver, ma mère aussi, alors au tour de ma sœur et moi. Mère ne voulait jamais nous abandonner. Elle voulait simplement, qu'on trouve notre liberté, notre avenir, notre raison d'être. Nous sommes des détectives, on déchiffre les codes et on se porte au secoue des brebis égarer. Notre vie nous appartient. Et l'avenir nous appartient.

Fin.

Davina HolmesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant