CHAPITRE 49

1K 63 3
                                    

DAVINA

Avec Enola on rentre dans la fabrique d'allumette qui est vraiment calme. Enola aller retirer la chaîne qui bloque l'accès à l'escalier mais elle s'arrête avant de se retourner vers un des bacs de phosphore. On s'approche toutes les deux du bac et on entend un bruit sourd. Je prends un marteau avant de commencer à avancer avec ma sœur derrière moi. Quelqu'un pose sa main sur mon épaule et je me retourne avant de donner un coup à cette personne, on commence à ce battre lui et moi avant qu'il ne me mette par terre. Cette personne aller me frapper avec le marteau mais il se stoppe directement quand il me voit.

Sherlock : toi.

Moi : vous.

Il lâche le marteau par terre.

Moi : vous êtes exaspérant Sherlock.

Sherlock : moi exaspérant ? Ne vous avais-je pas demander de faire profil bas. Or vous avez fui la prison et toutes les forces de police sont à votre poursuite.

Enola m'aide à me relever et on le voit toucher sa hanche et je lui dis.

Moi : oh je vous ai fait mal ? Je suis désolée.

Sherlock : je t'ai pas fait mal ?

Moi : il semble que non.

Sherlock : je me demande qui vous a appris à vous battre comme ça. Encore un aspect éducatif de notre mère.

Moi : il semble que nous ayons reçu la même éducation.

Enola : Sherlock que faites-vous ici ? Est-ce notre enquête ou la vôtre ?

Sherlock : les deux. Je sais comment Grail a eu vos empreintes.

Il prend la main d'Enola avant de mettre un de ces doigts sur de la poudre.

Sherlock : de la poudre de phosphore oxydée prélever sur la table et déposer sur le couteau. Dit-il en faisant les empreintes d'Enola sur une feuille. Vous êtes innocente.

Moi : parce que vous en doutiez ?

Sherlock : rien n'est sûr avant d'être prouvé.

Enola : et votre enquête ?

Sherlock : mon adversaire. Sa piste mène ici. Il semblerait que nos enquêtes soient liées. Suivez-moi.

On le suit et on monte dans le bureau. Quand on arrive il est complètement vide mais on voit que quelqu'un à allumer la cheminer. On commence à avancer plus dans la pièce et on voit William mort.

Moi : William Lyon...l'amoureux de Sarah.

Sherlock : et mon voleur portant un chapeau haute forme. Ne céder pas à l'émotion. On ne peut plus rien pour lui à présent. Gardons notre esprit en éveille, et nos regards affuter.

Enola : on l'a saisie brutalement.

Sherlock : oui et fouiller.

Moi : pour trouver le document en sa possession.

On continuer de parler quand Tewkesbury rentre dans le bureau.

Tewkesbury : Davina ? Davina je commençais à m'inquiéter. Vous m'avez laissé seul dans la nuit et j'ai failli...

Il ne finit pas sa phrase et remarque Sherlock.

Tewkesbury : Sherlock Holmes. Enchanté...

Moi : pas maintenant.

Je lui fais un léger signe de tête vers le corps de William.

Tewkesbury : oh mon dieu ! Est-il...

Moi : ne céder par à l'émotion.

Tewkesbury : qui a fait ça ?

Moi : Lord McIntyre.

Sherlock : non.

Enola : mais tous concordent...

Sherlock : personne ne s'est assis sur cette chaise. Aucune marque sur le tapis, pas d'empreinte. Le cigare à bien été fumé mais il est froid. Et regarder.

Il ouvre le cendrier.

Sherlock : pas de cendre.

Je regarde le verre.

Moi : aucune trace de lèvres sur ce verre.

Sherlock : tous à fait. Autant d'indices disposé dans le but précis de nous mener vers la mauvaise personne.

Davina HolmesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant