CHAPITRE 44

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DAVINA

Avec Enola nous sommes en prison, ils nous sortent encore une fois, pendant 15 min. On commence à tourner en rond comme à chaque fois et deux femmes nous pousse à l'intérieur, toutes ces femmes s'arrête quelques secondes après et elles nous fixent toutes. Enola et moi on se met en position de combat et elles mettent toutes leurs mains sur leurs oreilles. Enola et moi on se regarde avant de faire de même, avant qu'on entende une explosion qui détruit un des murs de la prison. On se retourne pour voir Edith, avec Enola on se met à sourire avant de courir vers elle. On arrive dehors et on voit une calèche.

Edith : monter.

Enola monte en première suivie de moi.

? : surprise !

Je lève la tête et on voit notre mère ce qui nous fait sourire. On s'approche d'elle est elle nous prend dans ces bras.

Mère : je suis si contente de vous revoir.

La calèche se met à bouger.

Mère : accrochez-vous.

Edith : ils nous poursuivent.

Mère : alors que vous reproche-t-ils ? Nous demande-t'elle en sortant un pétard.

Moi : on aidez une jeune fille à retrouver sa sœur. Et on a fait qu'envenimer la chose.

Mère : ridicule. Dit-elle en allumant une allumette. Vous avez jetter un paver dans la mar. Vous avez m'y le doit sur quelque chose.

Edith : tient toi prête !

Mère : pourquoi voudrions vous faite taire ?

Elle allume la mèche du pétard.

Mère : soyez sans crainte, c'est totalement inoffensif.

Enola prend la main de notre mère pour souffler sur l'allumette.

Edith : à gauche !

Mère : ma gauche ou la tienne ?

Edith : la tienne !

Mère ouvre une trappe sur le côté avant de lancer ce pétard.

Mère : cette fabrique d'allumettes qu'est-ce que vous pouvez en dire ?

Enola : c'est une grande réussite. En deux ans, les bénéfices on était multiplier par deux. Mais il y a le typhus.

Mère : le typhus ?

Moi : oui, il frappe les ouvrières, elles meurent.

Mère : c'est le fil à suivre.

Enola : quoi ?

Edith : ils reviennent ! Ils arrivent à notre hauteur ! Ça va secouer !

Enola et moi on s'accroche du mieux qu'on peut. La calèche se met à bouger et notre mère sort encore un pétard.

Mère : on les connait bien ces fabriques. Les filles comme Sarah Chapman non guère d'importance. Elles disparaissent, souvent elles meurent, dans la différence. Mais celle-ci ne laisse pas indifférente bien au contraire. Alors que c'est-t-elle ?

Moi : elle a volé quelque chose, des papiers.

Mère : donc qu'est-ce qu'elle va en faire ? Qu'elle est son plan ? Ce n'est pas une voleuse. Ni un maître-chanteur. Elle c'est une fauteuse de troubles. Elle détient une information, et ça c'est infiniment plus dangereux. Dit-elle en allumant une autre allumette.

Edith : tenez-vous bien ! Attention ! Sur ta droite !

Mère : ça te ferait plaisir ? Me demande-t'elle en me montrant le pétard.

Je le prends et quand Edith me donne le signal je le lance.

Edith : on les a eus ! Dit-elle en rigolant légèrement.

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Davina HolmesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant