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« Dans son coeur je fais un carton. »

Smail - 9h04

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Smail - 9h04

Je m'étais réveillé avec un mal de crâne pas possible, j'avais jamais autant eu mal à la tête comme ça. Je me suis réveillé avec de la peur aussi, je sais comment est le père d'Emy, j'ai vu la peur dans ses yeux, je me demande comment elle a passé sa soirée. Je me suis réveillé frustré aussi, on allait tout faire bien, j'allais allée voir son père et travailler avec lui mais il a fallut que mon ex soit une folle, je me suis réveillé avec un mail aussi, envoyée à 8h du matin.

Un mail qui disait que j'étais convoqué dans le bureau du directeur à mon arrivé, d'ailleurs je l'attendais la. D'un coup, j'ai entendu la porte s'ouvrir et j'ai entendu son soupire.

Directeur : Bon.

Il est venu devant moi et à soupirer à nouveau, wAllah si il soupire encore une fois je lui en met une.

Moi : Bonjour.

Directeur : Bonjour Smail, je vais pas passer par quatre chemin, surtout que je supposes que tu sais pourquoi tu es ici au lieu de faire cours.

Moi : _ arque un sourcil, Ouais, abrégeons.

Directeur : Ce matin, j'ai eu la visite de votre ex copine et du père d'une de vos élèves qui est venu pour retirer son inscription de l'école et votre ex est venu appuyé sur votre relation avec la jeune Emyldaa. De ce fait, ne voulant pas perdre une élève et encore moins perdre en notoriété j'ai décidé de vous suspendre de vos fonctions pour éviter de propager les rumeurs et surtout pour garder  Emyldaa.

Il me regardait pour voir une réaction, avoir une réponse mais je restait neutre, j'avais la rage parce que Lina est en train de tout détruire mais je préfères ne pas
réagir parce que je le jure, si je réagis y'en a qui vont finir dans le coma.

Directeur : T'es pas viré parce que t'es un bon prof et surtout parce que la relation était consentante mais malheureusement tu ne peux plus travailler ici, il faudrait que tu partes, maintenant.

Moi : Bien.

Je me suis levé en vitesse et je me
suis cassé, j'ai trop la rage. Si je peux plus enseigner dans ma vie je lui en voudrai jusqu'à ma mort, c'est le métier de mes rêves.

J'ai bombardé jusqu'à chez moi et quand j'ai ouvert la porte, j'ai vu la chose la plus culottée du monde, il y avait Lina, chez moi.

Lina : Je peux savoir où tu étais Smail? Surtout qu-

Je l'ai pris par le cou et je l'ai plaqué contre le mur en serrant de plus en plus.

Moi : Tu ne va plus jamais mettre les pieds ici Lina, que ce soit dans le jardin ou dans la maison ou bien même a 3 kilomètres, je veux pas te voir rôder ici parce que sinon j'te jure que la prochaine fois que je te vois dans les alentours de chez moi ou bien de chez Emy, je te retire la vie. Compris?

Elle a hoché la tête du mieux qu'elle peut pendant qu'elle devenait rouge par manque de souffle, je l'ai relâchée par terre comme une merde.

Moi : Maintenant casse toi et ne viens même pas récupérer tes affaires, je vais les donner aux défavorisés, ils en n'auront besoin plus que toi et façon je fais ce que je veux parce que c'est moi qui payais tout tes habilles.

Elle n'a même pas pris la peine de parler et est parti directement, là si elle revient c'est qu'elle est suicidaire, je pourrai plus rien faire pour elle.

Suite à ça, j'ai enfin appelé un serrurier qui est venu s'occuper de à porte pour y changer les serrures, quand je lui ai dis que c'était à cause de mon ex folle il ne semblait pas choqué, il en a rit même. Apparement je ne suis pas le seule à souffrir d'une salope.

J'ai ensuite envoyé un nouveau message à Emy et ce fut sans répondre une nouvelle fois, c'était le 8e messages qui était sans réponse, sah j'espère qu'elle va bien.

J'ai ensuite entendu quelqu'un toqué à la porte, je suis donc aller ouvrir en vitesse sachant très vite qui j'attendais.

Lorsque j'ai ouvert la porte un sourire triste s'est affiché sur son visage, sourire que je lui ai répondu.

Ibrahim : Ça va s'arranger mon reuf, ça s'arrange toujours.

Hm, j'y crois moyen, sah.

On finira par y arriver.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant