🦉Abigaëlle Demarest🦉

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RP dont elle est issue:

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RP dont elle est issue:

Originellement, « RP Harry Potter » de  Loutre_Eau

maintenant « Roleplay maraudeurs », de thousand_night

𝗡𝗼𝗺 : Demarest

𝗣𝗿é𝗻𝗼𝗺 : Abigaëlle

𝗔𝗻𝗰𝗶𝗲𝗻𝗻𝗲 𝗺𝗮𝗶𝘀𝗼𝗻 : Gryffondor (quoique chapeaufloue entre Serdaigle et Gryffondor)

𝗠𝗮𝘁𝗶è𝗿𝗲 𝗲𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻é𝗲 : Étude des Moldus

Â𝗴𝗲 : 43 ans

𝗖𝗮𝗿𝗮𝗰𝘁è𝗿𝗲 : S'il fallait trouver un synonyme en un mot aux termes de « dignité », « maîtrise de soi », « pince-sans-rire », « impassible » et « sens de la répartie », ce serait : « Abigaëlle Demarest ». Cette femme maîtrise un sarcasme à un degré tellement supérieur à 2 que la plupart des gens voient avec horreur le tissu de la société se détruire sous leurs yeux juste en discutant avec elle à la pause café, et le pire, c'est qu'ils ne comprennent pas pourquoi. Dotée d'une intelligence aiguisée et d'un sens de la repartie aussi caustique que brutalement aimable, il en faut beaucoup pour la désarçonner. VRAIMENT beaucoup. — En d'autres termes, sa seule réaction au passage en trombe d'un grizzli en tutu sur un monocycle sponsorisé par Linkin Park en plein milieu de la grande Salle serait à peu de choses près un sourcil haussé et un impassible « Dites-moi, les ursidés volent bas cette année ». On pourrait la croire au premier abord simplement pourvue d'un calme à l'anglaise la propulsant incontestablement en première place dans la liste des potentiels enfants naturels de Sherlock Holmes et de Minerva McGonagall et une professeure toujours en plein contrôle de ses moyens, — mais ce serait sans compter sur un solide sens de l'autodérision, — le souci c'est que personne ne comprend bien ses degrés supérieurs d'humour et ça l'arrange franchement comme ça.

Elle a toujours l'air d'en savoir plus que vous même quand vous-même n'en savez rien et ses émotions semblent fluctuer, autour d'une valeur médiane d' « impassibilité pince-sans-rire », entre la satisfaction fière et un léger agacement. Quoi qu'il arrive, elle donne l'impression de maîtriser la situation. — Et si elle semble très digne, elle n'a clairement rien à faire du protocole. La vérité c'est qu'elle collectionne les tabatières du XIXᵉ siècle, les petites cuillères tordues de la cantine (ça fait une quinzaine d'années qu'elle les chourave discrètement dès qu'elle en reçoit une dont le manche fait un nœud intéressant), — et ne dit pas non à se griller une cigarette ou descendre une petite bouteille. Dans un flegme parfaitement olympien. — Toujours en tout bien tout honneur, évidemment ; l'alcool et les agents addictifs de la nicotine n'ont toujours pas trouvé de prise sur son cerveau. Et la personne qui parviendra à rendre Abigaëlle Demarest ivre n'est pas encore née — et, non, encore une fois il lui faudra plus qu'un ours en tutu. En bref, cette femme est un roc impassible qui sait rembarrer tout organisme un tant soit peu évolué avec un très léger sourire entendu. — Quand il le faut, bien sûr. Jamais elle ne parlerait pour ne rien dire. Tout est méticuleusement calculé.

Quant à Babwoon ! Partenaires dans le crime. La tranquillité un peu ironique d'Abigaëlle aurait pu contraster avec ce qu'on pourrait appeler la fluorescence toute particulière du professeur de DCFDM. La vérité, c'est qu'ils sont BFF à VIE. Sans aucune ambiguïté (j'vous jure) ; un peu comme Florence Zimmerman et l'oncle Jonathan (ui, personne a la ref probablement mais je voulais coller ça là UωU) — bon, pour être parfaitement honnête, leur complicité se traduit par pas mal de piques et de private jokes, — Abigaëlle n'est pas plus démonstrative avec ses propres amis. Mais ils ont fondé le club des célib', ce qui a permis à la professeure Demarest d'obtenir un incroyable mug édition collector (dans lequel elle boit devant tout le monde à la pause café avec un p'tit sourire en coin satisfait à en porter des lunettes de soleil sur la musique des experts) dont il existe seulement deux exemplaires sur cette terre, et je vous laisse deviner à qui ils appartiennent. Au fond, ce sont les deux seuls professeurs de l'établissement à faire VRAIMENT partie des meubles et ils en discutent comme de vieux vétérans de guerre. Elle a probablement plus foi en l'humanité que n'importe qui — c'est juste que par dignité elle ne le fait pas savoir à la susdite humanité. Son pire défaut, c'est d'avoir du mal à dire merci. (N.B. : préférait se mettre un pied dans un découpe-jambon plutôt que se marier.) Ah oui : et elle est immensément fan d'Eluveitie. (C'est important.) Et, puisqu'ils jouent visiblement tous d'un instrument, disons qu'elle touche sa bille en saxophone.

𝗣𝗵𝘆𝘀𝗶𝗾𝘂𝗲 : Invariable. Qu'il pleuve, qu'il neige, qu'il vente, — que Poudlard parte en fumée dans une gerbe de flammes, — Abigaëlle Demarest porte encore et toujours la même chemise blanche, par-dessus le même pull anglais sans manches à carreaux losanges, vert et noir, — et le même éternel nœud papillon rouge. Le tout dans un pantalon ocre agrémenté de chaussures de randonnée (qu'est-ce que ça fait là ? Aucune idée, mais Abigaëlle Demarest préfère l'utile à l'agréable). Quant au physique, taille moyenne, les cheveux plus marron que réellement châtains (la nuance est révélatrice) à jamais ramassés en chignon victorien sans fioritures, — et des yeux presque d'ambre, — un brun presque orange d'une clarté qui vous sonde, du regard. Sinon, son physique en lui-même respire une rigueur scientifique et à la fois un fuck ironique et un peu impalpable à la susdite rigueur scientifique qui pourtant ne semble pas assez efficace pour pallier au caractère assez...fort d'Abigaëlle. Elle porte la plupart du temps des petites lunettes rectangulaires à monture métallique. C'est tout ? Elle n'aime pas qu'on s'appesantisse sur les apparences. De toutes façons, tout ce qui compte, c'est la façon dont elle hausse toujours un seul sourcil.

𝗙𝗮𝗺𝗶𝗹𝗹𝗲 : Abigaëlle est née-moldue et a pris l'information avec une certaine philosophie lorsqu'elle a fait (par accident) léviter l'intégralité de sa classe en CM2 lors d'un contrôle de mathématiques où son professeur avant argué que « je suis certain que tu as triché, personne ne calcule aussi vite ». D'aucuns racontent que ça n'avait rien d'un accident, — mais ce ne sont que des mauvaises langues. Née dans le Calvados, en Normandie, Abigaëlle est la fille d'un général de l'armée de terre et d'une écrivaine bien trop tourmentée pour s'occuper correctement de son enfant unique. Son départ à Poudlard fut loin d'être une déchirure — elle aurait dû rejoindre Beauxbâtons mais une énième mutation de son père, impliquant un déménagement dans le Somerset, lui a permis de rejoindre l'établissement. C'est donc de loin qu'elle apprit au fil de ses études la séparation de ses parents, puis la naissance d'une petite demi-sœur par sa mère alors qu'elle était âgée de 28 ans. Tout cela, Abigaëlle l'a pris avec la même tranquillité. Par la suite, un peu déçue par le cursus éducatif sorcier, elle a quitté le système pour poursuivre des études Moldues un peu partout dans le monde, — décrochant un doctorat en algèbre linéaire, en chimie organique, puis en mécanique des fluides. Finalement, juste par esprit de contradiction, elle a décidé de rejoindre l'équipe pédagogique de Poudlard. Personne ne sait bien pourquoi. Probablement juste pour casser les pieds de sa mère, — mais elle ne l'admettra jamais.

𝗣𝗹𝗮𝘆𝗹𝗶𝘀𝘁 : missionary man d'Eurythmics, Back to Black d'Amy Winehouse, uptown funk de Bruno Mars, Bad Guy de Billie Eilish, thousandfold d'Eluveitie >B3 (...Et elle a son brevet de pilote juste pour le fun du truc même si ça lui sert à rien :,))

Recueil d'OCsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant