𝑫𝒐𝒏'𝒕 𝑭𝒖𝒄𝒌𝒊𝒏𝒈 𝑳𝒆𝒂𝒗𝒆 𝑴𝒆. || 𝑴𝒂𝒙𝒊𝒎𝒆 𝑩𝒊𝒂𝒈𝒈𝒊

𝓜𝓮𝓻𝓿𝓮𝓲𝓵𝓵𝓮𝓾𝔁 𝓽𝓸𝓾𝓻𝓷𝓪𝓰𝓮.

Point de vue Sidjil.

Il avait enfin avoué, pour mon plus grand bonheur. Je savais que Maxime était un bon gars, alors autant être heureux pour lui.

-Par contre les gars c'est bien beau de faire la fête mais Manon elle est en date là on va tout loupé.

On s'installa de nouveau et on se reconcentrait comme on le pouvait.
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Gwendoline : Et toi sinon t'es un peu écolo ?

Manon : Euh bah ouais ouais carrément.
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Lucas : Manon écolo ? Depuis quand ?

Théodore : Depuis jamais frère.
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Gwendoline : Genre tu fais quoi ?

Manon : Bah je fais du tri, je me déplace en vélo tout ça tout ça.
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Maxime : Elle est nerveuse de fou là ?

- Complètement. Dis-je en rigolant.

Le date avait l'air de bien se passer, Manon s'en sortait très bien même si je voyais qu'elle n'était pas du tout à l'aise.
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Gwendoline : Et sinon t'en penses quoi de la tectonique ?

Manon : Bah écoute moi j'aime pas des masses je trouve ça un peu démodée.
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Les lumières de la pièce se changèrent soudainement en rouge. Et on rigolait de la voir perdre. Elle revenait, faisant mine d'être énervée.

Manon : Mais vas-y frère aussi depuis quand elle aime la tectonique ?

Théodore : Je vais pouvoir retrouver ma petite femme c'est bien.

Lucas : Mais mec c'est un jeu...

Théodore : Mais on s'aime !

J'explosa de rire, et les trois autres ne mirent pas longtemps à me rejoindre. Ça faisait du bien de rire à nouveau, je l'avoue.

Ça me faisait du bien de ne pas me sentir seul au moins une fois.

Point de vue Manon.

La suite du tournage se passait vraiment bien, j'avais ris à en pleurer.

Maxime dansant la tectonique, Sidjil caressant des dauphins, Théo prenant son personnage de racaille, Lucas touchant le bol de la troisième comédienne.

Ce tournage était vraiment génial, j'en avais mal au ventre.

Maxime quand à lui continuait ses petits gestes de temps en temps, déplaçant son bras derrière ma nuque, collant son genou contre le mien, passant sa main sur mon poignet tout en regardant la caméra du restaurant...

Mais à vrai dire, je ne m'en plaignais pas, je ne savais pourquoi d'ailleurs, je ne l'avais pas repoussé, bien que d'habitude je n'aurais eu aucune honte à le faire.

Il semblait doux et gentil dans ses gestes, comme si il n'osait pas tellement mais qu'en même temps il voulait me montrer qu'il m'appréciait. Mais je n'étais qu'une amie, sans doute.

Je ne savais trop comment le considérer. Il m'attirait, je l'avoue, mais de là à développer des sentiments, je ne savais pas vraiment pour l'instant.

Je n'avais pas tellement envie de retomber une nouvelle fois amoureuse, je ne voulais pas revivre ce que...

Maxime : Manon ça va ?