41: Panama.

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Point de vue : Nicolas











Les bruits des claviers d'ordinateurs alimentaient la pièce. Assis à mon bureau, il devait être 15 heures. J'étais en train d'écrire l'article qui sortira demain dans le journal. Je me suis stoppai et je m'étirai. La fatigue me dominait déjà. La télévision qui se trouvait au milieu de la pièce captivait l'attention de tous.

La guerre entre Ricardo Perralta et Miguel Llara est en train de ravager un pays tout entier. Et que fait le gouvernement face à ça ? Rien du tout. Le président n'a pris aucune charge pour arrêter ses narcos qui instaurent la terreur.

Je posa une main sur ma joue et je me concentra sur la télévision. La tour du Perralta Compagny venait de s'effondrer quelques heures avant. Cet acte avait causé la mort de plus de 200 personnes et 300 blessés. Toute la Colombie sait que c'est un coup de Miguel Pablo Llara.

J'ai passé mes mains sur mon visage en soufflant d'agacement. J'ai continué d'écrire mon article qui était basé sur la dernière visière du président Arroyo à Medellin dans la communa 13.

Une main se posa sur mon épaule et je me suis tourné.

- Tu es loin d'avoir fini ton article à ce que je vois, rétorque Enrique Mora.

Enrique Mora est le directeur de notre quotidien « Mundo Real ». Ce journal existe depuis plus de 30 ans et il était l'un des concurrents de « El Espectador » le quotidien dont le directeur a été assassiné le 17 décembre 1986 à la suite de la publication des articles contre les barons de la drogue colombien.

Aujourd'hui, le monde a changé mais parler des barons de la drogue est encore délicat pour certains quotidiens. Dans le nôtre personne n'avait eu encore l'audace jusqu'à aujourd'hui.

- Monsieur, donnez-moi la permission d'écrire un article sur cette guerre.

Il m'a regardé avec son cigare en pleine bouche. Il exhibât sa fumée.

- Chaque journaliste qui prend l'audace d'écrire un article sur ses gens-là finit souvent si pied sous terre, il soupira avant d'écraser son cigare dans le cendrier qui tenait dans son autre main.

- Je suis prêt en a assumer les responsabilités. Vous le voyez-vous même le gouvernement du président Arroyo n'a jamais déployé l'armée face à ses narcos.

- Je sais... je sais, dit-il d'une voix tendue. Je veux que ce que tu es en train d'écrire soit prêt pour demain 6 heures, ordonne-t-il en s'en allant.

- Et pour l'article sur les barons ? Dis-je en le suivant jusqu'à son bureau.

- De quoi veux-tu parler exactement ? Demande-t-il en s'asseyant à son bureau.

- Je veux parler de cette guerre, des ravages qu'elles causent et pourquoi est-ce que le gouvernement ne réagit pas.

- Hum, je vois ça peut-être une bonne chose mais pour que cet article soit encore plus captivant, essaye d'aller chercher des informations.

- Des informations ? Demandais-je en arquant un sourcil.

- Oui, je veux que tu prennes des photos de chaque dégât. Je veux que tu me fasses un article sorti ton droit de ton imagination. Je veux qu'il soit unique.

VALDEZ Where stories live. Discover now