Chronique de Aïda : Le seul qui a su me faire sentir aimé

Fin

As Salam Aleykoum,

Flashback

                                                 Point de vue omniscient

Aïda et Jihane, deux jeunes filles agées de 8 ans sont au parc en train de jouer au toboggan. C'était leur lieu de rencontre, elles adoraient jouer là-bas et se raconter leurs vies malgré leurs différentes personnalités... sans savoir que ces deux jeunes filles allaient traverser beaucoup d'épreuves ensemble.

Jihane : Aïda tu veux te marier plus tard ?

Aïda : Pourquoi faire ? J'ai déjà les hommes de ma vie à la maison.

Jihane : rigole moi mon mariage je vais faire une grande fête, avec ma robe de princesse !

Aïda : Ça sert a rien les grandes fête,  les gens peuvent te porter l'oeil comme dit ma mère.

Jihane : Ça veut dire quoi ? Ils vont arracher mon oeil ? HO NON

Aïda : rigole t'es trop bête Jihane ! Ça veut dire il vont t'apporter du malheur à ton mariage après.

Jihane : Ah ok j'ai eu peur.

Aïda : Moi je veux quelques chose de simple avec l'homme que j'aime surtout.

Jihane : Je me demande qui va être nos maris ? En tout cas j'espère que il sera beau comme Brandon (les winx , laisser tomber on était matrixées)

Aïda : Brandon il est pour moi !

Jihane : Je te parle plus

Aïda : Mais non ! Au pire on le partage ?

Jihane : Oui, elles se partagent tous les meilleurs amies pour la vie, j'ai intérêt à être à ton mariage sinon je te pardonne jamais !

FIN DU FLASHBACK

J'entre dans cette salle avec mes tantes autour de moi, les regards des invités posés sur moi...

Djey : Wesh pourquoi il te regardent tous ?

Moi : Je suis belle c'est normal, en plus je suis la petite française.

J'me dirige vers le buffet et je mange bien comme il faut j'étais contente.

Je vois le marié, j'ai faillit m'étouffer c'était MOUSSA !

(Je rigole)

C'était un homme il devait avoir 30 ans ? Il était tout skinny, moi je voulais voir la mariée elle veut grave pas faire son entrée.

Mon père et ma belle-mère viennent vers moi.

Papa : Aïda... félicitations !

Comment ça ? Je suis libre c'est bon ?

Belle-mère : Il est pas moche ton mari enfaite.

Et là j'ai compris... c'était moi la mariée, mon coeur a failli lâcher.

Moi : Comment ça ?