Chapitre 31 s2

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Pedri González
Paris 📍

Nous descendons de l'avion, les premières sont nos copines car nous allons être filmé.

Après être descendu de l'avion nous suivons le coach pour nous emmener au bus qui nous emmènera à l'entrée de l'hôtel.

Installer confortablement dans le bus aux côtés de mon meilleur ami. Félix ma permis d'être le parrain de son enfant, et je pensais pas imaginer d'être parrain un jour. Peut être celui de Pablo plus tard mais j'aurais pas pensé celui de Félix et pour ça je le remercie.

Époustouflé part cette nouvelle, je joue aux cartes avec Félix, Ferran, Fermín et Pablo. Et vous savez tous que Pablo est tout de même mauvais perdant à des jeux comme ça.

Pablo: je vous en veux, sachez le ! nous sort-il en rejoignant Mona.

Ferran: mauvais perdant, Pablito.

Moi: c'est pour ça, que nous t'aimons. dit-je en rigolant.

Pablo: ah ah très drôle les gars.

Fermín: on en refait une ?

Moi: sans moi les gars, je vais voir mes enfants.

Ferran: notre petit papa Pedro.

Moi: tu devrais être humoriste, au lieu d'être footballeur pro.

Félix: il réussira pas dedans.

Ferran: et beh simpa un, l'esprit d'équipe n'est pas présente.

Moi: ah la la.

Je me lève de mon siège, on était installé perso moi sur un fauteuil auprès de Ferran. Contrairement à Pablo et Félix sur les sièges de devant a genoux dessus.

Je me lève en laissant la place à l'un de deux, puis rejoins ma petite famille qui était aux côtés des filles au fonds du bus.

Eden: papa !

Moi: coucou mon chat.

Eden: tu reste avec nous ?

Moi: si mon fils me le demande, je dis pas non.

Eden: ouiii !

J'embrasse le front de madame González, Mona me laissa sa place pour me mettre à leurs côtés. Et elle part rejoindre Pablo pour savoir comment il va.

En voyant ma fille, complètement endormie sur ma cariña, les jambes de ma fille sur chaque côté de sa cuisse à ma cariña. Et sa tête contre sa poitrine, mon fils s'installe sur moi.

Lisa: vous voulez qu'on vous laisse tranquille ?

Moi: non t'inquiètes, vous pouvez rester.

Laila: perso moi je vais voir le miens comment il va.

Il reste plus que Lisa avec nous, je lui demanderai jamais de partir car elle nous dérange pas et puis ce n'est pas gênant. On a toujours une conversation avec elle, et c'est ça qu'on aime chez elle on s'ennuie jamais.

En regardant part la fenêtre, je vois déjà des supporters de notre équipe mais aussi du PSG en nous lançant des choses sur notre bus. Très risqué de rester ici, peur qu'il arrive quelque chose à un membre de ma famille.

Les portes s'ouvrent ce qui veut dire nous devons descendre du bus, je laisse mes coéquipiers sortir du bus les premiers. Je préfère attendre que tous le monde sortent pour sortir avec mes enfants et ma femme.

In the LoveWhere stories live. Discover now