One Shot Football

C'est seulement un au revoir // Marco Reus

Avoir une vie comme celle que j'ai depuis quelques années déjà, jamais je n'y aurais pensé plus jeune.
J'ai  la chance d'être dans l'école de police la plus connue d'Allemagne,  celle de Dortmund. Je suis en dernière année et je passe le concours  pour devenir lieutenant de police dans exactement un mois.

Marco: Alva', tu bouges ou tu restes planté sur le banc?
Moi: Bouger pour aller où?
Marco: Pour que tu viennes voir mon entraînement!
Moi: J'arrive!

Je rattrape Marco qui avait déjà pris de l'avance sur moi et nous partons au stade pour son entraînement.
Comme  à mon habitude, je pars dire bonjour à tous ses coéquipiers puis pars  m'installer dans les gradins pour regarder leur entraînement.
Durant l'entraînement, je vois Marco faire le fou avec certains de ces coéquipiers, ce qui me fait rire.
Après l'entraînement, j'attends Marco pour qu'il me ramène chez moi.
Une  fois la chose faite, je lui fais la bise et pars me préparer pour aller  danser dans le studio de danse où je passe le plus clair du temps libre  que j'ai.
Après avoir préparé mes affaires, je pars au studio qui  est seulement dans la rue d'à côté de celle de mon appartement et  j'avoue que ça m'est bien pratique.

Je suis rentré chez moi et  j'ai directement pris une douche puis je me suis préparé un repas que  j'ai mangé en révisant mes cours pour le concours de police que je vais  bientôt passer.
Tout ça finit, je range un peu mon appartement et pars me coucher.

Lendemain après-midi.

Après  une matinée à l'école de police plus que fatiguante, j'ai rejoins Marco  dans un bar calme, car il veut sois-disant me parler de quelque chose  qui le travaille depuis quelques temps.
Je ne sais pas ce que c'est mais j'espère que ce n'est pas très grave.

Je m'assois à côté de lui tout en le regardant.

Moi: Je suis là. Tu voulais me parler de quoi?
Marco: Depuis quelques temps, je pense beaucoup à se que tu vas faire une fois ton concours passer.
Moi: Oh je vois. Déjà, il faudra que je le réussisse.
Marco: Tu y arriveras, je le sais!
Moi: Comment tu le sais?
Marco: Parce que tu es ma meilleure amie, et je sais que tu es l'une des meilleures de ton école!
Moi: Merci.
Marco: Je dis que la vérité.
Moi: Donc, si je réussis, je sais pas si je resterai à Dortmund, tout dépendra de là où l'on me demandera d'aller.
Marco: Tu me promets que si tu pars, on restera en contact?
Moi: Bien sûr que oui Marco! T'es mon meilleur ami!
Marco: Ah, ça me soulage alors, j'avais peur que si tu pars, tu m'oublis.
Moi: Jamais j'oublierai mon meilleur ami, tu sais très bien que je ne suis pas comme ça!
Marco: Oui, c'est vrai.
Moi: Bah voilà.
Marco: Tu viens au match que je joue demain?
Moi: Oui, je peux prendre mon frère?
Marco: Bah oui, je voudrais pas m'attirer les foudres de ton jumeau moi!
Moi: Dit qu'il est méchant aussi.
Marco: Bah nan, c'est un ami, Milan.
Moi: Je sais, merci de l'information.
Marco: Et mais avec toi, on peut rien dire!
Moi: C'est de l'humour Marco, de l'humour.
Marco: T'as un humour de merde.
Moi: Merci, je te retourne le compliment.

C'est ces rigolades que nous rentrons chacun chez nous.
De  mon côté, pour me reposer car je suis complètement exténué par ma  journée quelque peu mouvementée et lui, pour aller se préparer pour  aller à son entraînement comme tous les jours.

La première chose que je fais, c'est de m'étaler dans mon lit et appeler Milan.

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