Jusqu'à ce que la mort nous sépare " tome 1''

Sa famille.

On était arrivé à Doncaster vers midi. Je vis un sourire immense se former sur le visage de Louis, il lâcha ma main et prit dans ses bras une femme de la quarantaine d’années.

Louis : Justine, je te présente ma mère !

Justine : Enchanté madame !

Sa mère : Je t’en prie appelle-moi Johanna !

Justine : D’accord !

Johanna : Je suis vraiment heureuse de rencontrer la fille dont mon fils est amoureux !

Justine : Moi de même !

Johanna : Et toi mon fils tu es toujours aussi beau ! Tu m’as tellement manqué !

Elle sera fort Louis dans ses bras, j’étais à la fois très heureuse pour lui, mais une part de moi était jalouse de la chance qu’il avait d’avoir une famille. Louis rattrapa ma main et on se dirigea vers la voiture de sa mère. On arriva, une trentaine de minutes plus tard devant une grande maison blanche. Quand on passa la porte d’entrée, je vis quatre petites filles courir vers Louis et lui sauter dessus. Louis avait l’air très heureux il les embrassa chacune leurs tours, leurs visage était illuminés par de grands sourires.

Une de ses sœur : Louis c’est qui ?

Louis : C’est ma chérie !

Justine : Bonjours moi c’est Justine !

… : Moi c’est Charlotte ! Elle s’est Félicite et elles se sont Daisy et Phoebe !

Justine : Ravie de vous rencontrer enfin !

Félicite : Nous aussi !

Louis me fit visiter la maison avec l’aide de ses petites sœurs puis on passa à table. Il passa ensuite l’après-midi à me montrer des photos de lui enfant.

Justine : Oh tu es trop chou !

Louis : Oui je sais !

Justine : ça va les chevilles ?

Louis : Oui merci !

Je lui donnai un léger coup de coude et on rigola tous les deux. Je feuilletai encore les photos de lui, il y en avait où il était à une comédie musical de son école, cela me fit beaucoup rire. On passa toute la journée comme ça, on mangea avec sa mère et ses sœurs le soir puis on alla se coucher. Le lendemain matin à 9 heures je me réveillai avant Louis. Je me mis en califourchon sur lui et l’embrassa tendrement dans le cou. Il se réveillait peu à peu et je me penchai vers lui.

Justine : Joyeux anniversaire mon cœur !

Louis : Merci ma puce !

Je l’embrassai tendrement, l’embrassai dans le coup quand soudain ses quatre petites sœur entrèrent dans la chambre. Je me jetai sur le côté pour me glisser sous la couette et elles sautèrent sur le lit tout en chantait joyeux anniversaire à leur frère. Il les embrassa et on descendit prendre le petit déjeuné. Sa mère était assise sur un fauteuil à lire le journal, quand elle vit son fils elle le prit immédiatement dans ses bras.

Johanna : Joyeux anniversaire mon grand !

Louis : Merci maman !

Le petit déjeuné était déjà près, on déjeuna tous ensemble dans la bonne humeur. La journée se passa bien puis vint le soir, avec Louis on avait tout décoré, on avait préparé le diner de Noël, tout était parfais. On se réunissait autour du dîner puis une fois celui-ci fini on alla s’installer dans le salon. Chacun ouvrit ses cadeaux, ils étaient tous content de ce que je leurs avais offert. Louis m’offrit une paire de chaussure à talons magnifique que j’avais vus dans une vitrine mais je ne n’avais pas pu acheter. Sa maman elle m’offrir une chaine de bracelet en argent. Je les remerciai tous les deux puis après avoir beaucoup parlé et rigolé on alla se coucher. J’étais dans les bras de Louis que demander de plus ? Il m’embrassa une dernière fois avant de nous endormir. Le lendemain matin je réveillai Louis à 8 heures, car nous avions un train à prendre à 16 heure et je voulais qui me face visiter la ville où il avait grandi. On se prépara alors et accompagné de sa petite sœur Charlotte on partit. On marchait tous les trois dans des petites ruelles, il me montrait là où il passait la majorité de son temps avec Stan, son meilleur ami d’enfance. Puis on arriva devant une école, le collège Hall Cross. Il voulut rentrer saluer ses anciens professeurs et surtout son professeur de chant grâce à qui il avait vécu sa passion à fond. Une fois dans les couloirs du lycée, tout le monde nous dévisagé, ou plutôt Louis. Certaine le prenait en photo et d’autre lui demandait tout simplement un autographe. On se dirigea donc vers une salle situé au 2 ème étage, c’était la salle de musique. Louis tapa à la porte et une voix lui demanda d’entrer.