Un nouveau souvenir.

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J’avais retrouvés dans mes affaires encore emballé, une pochette que l’orphelinat m’avait donnée. Je ne l’ai jamais ouverte. Je sais que tout cela concerné mes parents, j’avais peur, de quoi je ne sais pas, j’avais tout simplement peur. Je pris alors mon courage à deux mains et décidai de l’ouvrir. Je trouvais à l’intérieur, un journal intime, je l’ouvris et vis écrit en première page, « De Elizabeth Hander ». Je ressentis des frisons dans tout mon corps, l’écriture de ma mère était magnifique, majestueuse. Je tournais donc la page et vis écrit un poème, de Paul Eluard, mon poète préféré. Je commençai donc à la lire à haute voix.

Justine : La nuit n’est jamais complète

Il y a toujours, puisque je le dis

Puisque je l’affirme

Au bout du chagrin une fenêtre ouverte

Une fenêtre éclairée

Il y a toujours un rêve qui veille,

Désir à combler, faim à satisfaire,

Un cœur généreux

Une main tendue, une main ouverte,

Des yeux attentifs

Une vie,

La vie

A se partager.

Ce poème était merveilleux, je ne le connaissais pas, mais il était merveilleux. Je continuai à feuilleté le journal de ma mère, j’étais arrivé au 16 juin  1982.

« Aujourd’hui j’ai étais avec Marie, ma meilleure amie, à la piscine de l’hôtel Morelia. J’y ai rencontré quelqu’un, il se prénomme Charlie.  Je suis tombé sous son charme au premier regard. »

Alors voilà comment mon père et ma mère ce sont rencontré ! Je suis heureuse d’apprendre des choses sur eux, ce que je pensais qu’il n’arriverait jamais !

« Je viens d’apprendre que je suis enceinte, je vais enfin être mère, pouvoir chouchouter mon enfant et le protéger de tout mon être. Savoir qu’il grandit peu à peu en moi je remplis de joie, avec Charlie, nous l’avons décidé, notre bébé s’appellera Justine pour une fille ou Pierre pour un garçon. »

J’étais heureuse de lire les quelques phrases écrite par ma mère à mon sujet. Depuis ce moment, le temps à passer, cela fait maintenant 1 moi, trois semaines et 2 jours que les garçons sont partit. Ne plus entendre tous leurs crie dans la maison, leurs rires me manquait terriblement. Pendant qu’ils étaient tournés j’avais passé mes examens que j’avais d’ailleurs réussis, j’avais également passés mon permis de conduire et m’étais acheté une petite voiture. J’avais d’ailleurs entendu la rumeur que Louis et Eleanor c’était remis ensemble mais je décidai de ne pas croire c’est rumeur. J’avais passé beaucoup de temps avec les filles (Sarah, Marina, Daniel, Kelly et Laura) mais aujourd’hui je décidai de rester tranquille à la maison avec Sarah, Marina et Daniel. On était toute dans le salon.

Daniel : Oh les filles j’ai un message de Harry !

Sarah : Il dit quoi ?

Daniel : « Salut les filles ! Voilà nous sommes arrivés en Australie pour notre dernier concert. Les garçons sont tous sur excité de rentrer pour vous revoir ! J’ai donc décidé de leurs faire une surprise ! Je sais que cela n’enchantera pas Michael mais je m’en fou ! Voilà en pièce jointe quatre billets d’avions pour Sydney, je vous attendrais à l’aéroport de Sydney à votre arrivé ! Bisous a vous quatre <3 »

Marina : Les billets sont pour quand ?

Daniel ouvrit alors la pièce jointe.

Daniel : Dans deux heures !

Daniel imprima alors en vitesse nos billets puis on partit faire nos valises en vitesse. Un fois prêtes on partit en direction de l’aéroport. On embarqua directement puis 24 heures plus tard nous étions arrivés à Sydney. On ne connaissait pas l’aéroport, on c’était quelque peu perdu, mais après un petit moment, on trouverait Harry, assis sur un banc à regarder sa montre.

Justine : Coucou mon chou !

Harry releva la tête, sa petite tête bouclée m’avait tellement manqué ! Je lui sautai au cou.

Harry : Mes femmes ! Vous m’avez tellement manqué !!!

Harry sera tout le monde dans ses bras.

Harry : Bon on y va !

Marina : Allons y Let’s go !

Sarah : C’est partit les amis !

On arriva à la salle de concert ou les garçons répétés.

Justine : Comment tu as fait pour échapper à la répétition ?

Harry : J’ai dit que j’allais chercher à manger !

On arrivait devant la porte, ont les entendaient répéter, à ce moment-là cette vois que je reconnaitrais entre mille ce mit à chanter, Louis, sa voix, qui m’avait tellement manqué me fit frissonner.

Jusqu'à ce que la mort nous sépare &quot; tome 1''Where stories live. Discover now