Ariana, étudiante timide et inexpérimentée en amour, entame son parcours à l' université.
Vivant avec sa mère et son ami d'enfance, elle aborde cette nouvelle étape de la vie avec innocence et curiosité.
Entre son premier amour et un rival énigmatiq...
Mal à l'aise, je m'empresse de rejoindre Zack en semant sur le chemin, ce petit incident.
Je vais à la douche directement et j'en ressors vite. Ce n'est pas chez moi, alors pas de gaspillage d'eau.
Je n'ai plus mes règles. Je suis libérée.
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Zack n'est pas dans le couloir mais allongé dans le canapé. Je me penche au-dessus pour vérifier qu'il s'est endormi.
-Je ne dors pas. Sérieux ? Je regarde ma montre, il est presque une heure du matin. Il nous a laissé 4heures de temps. Il fait de gros progrès...
Je fais le contour du canapé. Prise d'un élan d'amour, je me jette sur lui pour l'embrasser. Il se redresse péniblement, mon poids sur lui et me rend mon baiser ardent.
-Qu'est-ce qui t'arrive ?
-Je t'aime. Je suis désolée si tu ne le comprends pas. Je suis désolée si tu penses que je ne te le montre pas assez mais pour l'instant, c'est tout ce que je suis capable de te montrer. C'est tout ce que je connais. Mais, Zack. Je t'aime.
Je ferme les yeux pour le lui dire une nouvelle fois et il m'embrasse. Il me prend et me renverse. J'atterris sur le dos.
Il m'embrasse et retire la fermeture de mon sweat qu'il fait voler par dessus le canapé. Je glousse et il m'embrasse le cou.
-Hu hum. Les gars. Vous êtes sympas mais euh...dans le lit, ce ne serait pas mieux ? J'ai libéré la chambre.
Oh merde. Zack se redresse et parle à son confrère.
-Ouais. Je pense que ce sera mieux. Bonne nuit Matth.
-Bonne nuit mec. Ariana, pas de goss, dit Math en quittant le séjour.
-Pas de gosse ? Me demande Zack.
Je me triture les doigts.
-Disons que Math m'a donné...quelques conseils.
-Oh. Et tu comptes les appliquer ?
-Oui, ultérieurement.
-Dans longtemps ?
-Le mariage. Tu te souviens ?
-Évidemment. Bon, on y va ?
-Où ?
-Dans la chambre.
-On ne dormira pas ensemble.
Il me donne ses deux mains pour que je les prenne et je m'aide de celles-ci pour me lever.
-S'il te plait, dit-il en me prenant par la taille.
-Ok..., ai-je soufflé.
Il me sourit et m'embrasse le front. Il me tire vers ma chambre et une fois arrivés, verrouille la porte.
