#24 (c)

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Assalam anleykoum, jéjé, akori, 

Bismillah.

[partie 24]

Au bout d'un certains temps à marcher j'en ai marre, je suis maintenant face à la plage. Je vais m'asseoir sur le sable, à regarder les gens bronzer et se baigner. Male est une grande ville, c'est même la plus grande, ce paysage vers et bleu fait rêvé, je vous jure. idéale quoi. Pour moi une lune de miel dois se faire sur une île paradisiaque. Y a pleins de belles petites îles autour c'est sûr.

Mais de quoi je parle pour l'instant mon voyage se passe très mal. Donc je vais me taire.
Je regarde ses familles et couples heureux, dans les rues de cette ville il faut que je m'en aille. je jette un dernier coup d'œil en arrière et je continue de marché, ça me permet d'évacuer si je peux dire. J'ai peut être suréagit à ce qu'il a dit mais la manière dont il m'a parler c'était pas sympa. Et ça dernière phrase... merde, c'est comme si il me dis je t'ai acheté et donc je ne te permet pas de rire ou de te moquer de moi. Je ne suis pas un objet. Et je ne suis pas non plus sa propriété. J'ai recaler le mec, certes j'aurai pas du rire, mais y a des situation qui te donne envie de rire même si c'est pas la chose à faire.

Je n'ai ni sac, ni téléphone, ni argent sur moi, chouette en plus je commence à avoir soif avec cette chaleur. Je m'arrête devant une plage j'admire le paysage, la mer, aussi ce bon monde qui à l'aire heureux. Je dois partir d'ici. Je continue de marcher mais je ne sais pas du tout ou est ce que je suis. Je tourne les yeux de tout les côtés, comme si il y aurai un signe qui montrera le chemin, mais rien.

Je marche, je repars d'où je venait, enfin je crois. Je suis complètement paumé. À trop vouloir fuir, on se perds. Je penses à ma vie avant d'être avec lui, avant tout les embrouille, ma vie chez ma mère. Elle me manque en plus. Je l'appellerai arrivé à l'hôtel, si j'y arrive un jour bien sur.
Je pense à tout et rien. Quand j'entends une voiture, enfin les pneus d'une voiture se crisper sur la route, elle essaie de freiner, je me tourne.... NON !!!!
c'est moi qu'elle va écrasé ? Là je penses à Allah ! Je fais la chahada dans ma tête. Et je ferme les yeux en attendant qu'elle m'écrase....

je me demande si je suis morte en tout cas je n'ai rien ressenti aucune douleur physique 

J'ouvre le yeux la voiture est à quelques centimètres de moi, alhamdoulilah. Je lève les mains au ciel « merci ya rabbi. » je suis resté choquer. J'ai faillis y passer vous vous en rendez compte ? Le chauffeur descends et vient m'engueuler en disant que : je suis inconsciente à déambuler au milieu de la route alors que y a un trottoir pas loin. Qu'il a faillit m'écraser.

La, sans prévenir mes larmes coulent, je suis toujours au milieu de la route, je crois que je crées un embouteillage, mais je suis figé sur place. Le chauffeur me fait sortir de la route, me temps un mouchoir, il me dis qu'il est désolé.

il me dis de prendre soin de moi, et me fais un sourire, puis remonte dans sa voiture et s'en va. Je regarde les voiture défiler devant moi, puis une vielle dame qui a assisté à la scène viens me demander si je vais bien, je lui fait oui de la tête, elle me donne une bouteille d'eau. Elle est aimable quand même. (la majorité des maldiviens* je ne sais pas si ça se dit* sont musulmans)
je la remercie, et elle s'en va. Il faut que je parte. Je marche, un pue je vois un cabinet téléphonique. J'appelle mon conard de mari. J'ai assez traîner dehors.
Je l'appelle au bout de la 2ème fois il répond.

Lui : allo ?

Moi :....

Lui : allo y a quelqu'un ?

Comme une imbécile que je suis, je sanglote. Ça m'a fait du mal quand il m'a crié dessus mais pas que ça...

Lui : habiba c'est toi ?

Kamylah & Momo au delà de différences! (En Correction )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant