hyungwonho.

Shin Hoseok.

Chapitre 21. ( yas, ça devient dur d'écrire les gens )

Le week-end ne m'a jamais semblé être si long et si ennuyant, j'ai été impatient durant ces deux jours car je voulais le revoir. Chae Hyungwon me rendait un peu plus envieux, je le voulais tout de suite, mais il me faisait patienter, je n'ai pas envie d'être seul. Je veux seulement le revoir et pouvoir avoir ce que je veux, il est tout ce que je veux. Je suis vite prêt pour partir de chez moi, fermant à clé derrière moi et faisant mon chemin vers l'établissement, je suis réellement impatient. Je veux revoir son visage, revoir son sourire, je ne veux plus voir ses larmes. Je ne dirais pas que tout est finit, je sais que pour lui ce n'est pas le cas, pour lui nous sommes encore dans le jeux tant que l'un de nous n'a pas décidé de faire le premier pas. Celui qui le fera, perdra. Je compte bien être celui qui perdra, je veux seulement que l'on puisse se rapprocher, encore plus, je veux seulement pouvoir encore une fois poser mes mains sur lui et pouvoir me dire que je l'ai enfin, je pourrais lui dire qu'il est à moi.

Je dois avouer que je ne me reconnais plus, pas avec lui. Il y a de cela quelques temps, je voulais qu'il soit par terre, devant moi, me suppliant de le laisser tranquille. Tout as commencé après mon heure de colle, cette heure dont je me rappellerais toujours grâce à lui. Notre première réelle discussion et je le haïssais plus que tout. Il avait cet air hautain, il pensait être au-dessus de toute le monde, quelque chose que je ne supportais décidément pas du tout.

_ Tu penses être différent des autres ?

_ Je le suis, n'en doute pas Hyungwon.

Aujourd'hui, je suis maintenant sûr d'avoir réussis à le lui prouver, je sais qu'il me considère comme une personne bien plus importante que les autres et j'en suis heureux. Je l'ai toujours considéré comme quelqu'un de plus, comme une personne qui se démarquait par son style, par son allure et par sa façon d'être. Il m'a toujours fasciné.

_ Je veux seulement avoir des amis.

_ C'est faux, tu ne pourra pas me berner, je ne suis pas comme les autres.

_ Je sais.

_ Alors pourquoi est-ce que tu continu de me suivre ?

_ Je veux en savoir plus.

Je me rend compte d'avoir eut de la chance qu'il ne m'est pas lâché, je ne l'aurais pas suivit, je n'aurais jamais essayé d'en savoir plus. Je lui suis reconnaissant de m'avoir proposé de jouer, seulement, je n'avais pas encore compris ma chance avant. Je voulais seulement qu'il souffre beaucoup, je voulais qu'il se rende compte du mal qu'il faisait aux autres, à moi.

_ Je n'ai besoin de personne, il est juste une personne que je garde auprès de moi pour passer le temps.

_ Ce n'est pas ce que tu penses réellement.

_ Il a sans doute ma confiance, mais je suis capable de le lâcher n'importe quand. Je ne suis pas aussi faible que toi, c'est sans doute la seule différence que nous avons.

_ Aimer une personne n'est pas une faiblesse, c'est même être plus fort.

_ J'y est cru à cela. Mais regarde toi, Changkyun t'aime, n'est-ce pas ? Cependant, je pense qu'il est devenu bien plus faible qu'il ne l'était déjà, il est même au bord de la dépression Hoseok et seulement par ta faute. J'y est cru à ces histoires bidons sur l'amour et l'amitié, mais regarde autour de toi, regarde ce que tu es devenu. Je doute que cela t'es rendu plus fort.

Je crois que je le détestais encore plus quand je voyais qu'il avait raison, que je savais qu'il avait tout bon et que je marchais dans le mauvais sens. Je voulais lui montrer que je pouvais aussi avoir raison, que je pouvais aussi prédire ce qui allait arriver, mais il a toujours eut le coup d'avance, il était toujours au-dessus de moi et cela quoi que je fasse. Je pense qu'au plus que je le haïssais, mon admiration augmentait, car je voulais pouvoir en faire autant. Avant je ne le comprenais pas, mais je tombé pour lui en même temps que ma haine diminuait. On pourrait me prendre pour un malade de vouloir sortir avec une personne qui aurait voulu me voir par terre en train de pleurer, une personne qui as fait du mal à plusieurs autres personnes et qui n'aurait pas hésité à les détruire pour avoir ce qu'il voulait. Je suis malade, je suis un fou, tout ce que vous voulez, mais je crois que c'est comme ça. Je lui est déjà dit, ce sont bien nos sentiments qui choisissent, pas nous.