Chapitre 5. [Corrigé]

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L'un des plus puissant chef mafieux d'Ukraine. Mon beau-père, Cédric, était donc un mafieux, et il avait voulu me faire rentré dans ses affaires et en même temps, avoir la main sur une des plus grande maisons d'édition de New York. 

J'avais refusée, et il m'avait alors dit de n'en parler à personne, sinon j'allais signer mon arrêt de mort. Il avait d'ailleurs été vexé, mais, comme étant sa seule et unique fille, même si c'était du côté de ma mère, il n'avait pas eu envie qu'on se dispute. 

Mais bordel ! Qui l'eu cru ? Mon beau-père, un des chefs de la mafia Ukrainienne ?

Personnellement, en ayant appris cela il y à à peine quelque mois, je n'y avait pas cru et n'y croyais toujours pas. 

Je décidai de le rappeler afin de savoir ce qu'il voulait : 

- Allô? répondit une voix grave que je connaissais depuis mon enfance. 

- Allô Cédric, c'est Meggy.

- Oh Meg ! Ca fait plaisir de t'entendre.

- Pourquoi tu m'as appelé ?

- Pour prendre de tes nouvelles voilà tout. Ton entreprise se porte bien ?

- Oui je ne vais pas travailler demain.

- Oh ? Tu as pris un jour de congés ?

- On peut dire ça comme ça.

- Comment va Maria ? demanda t-il l'air de rien. 

- Aucunes idées, depuis hier soir elle ne m'as pas appelée.

- Tu devrais l'appeler.

A ce moment j'eu un double appel.

- Attends Cédric, j'ai un double appel, je te laisse, bisous, prends soin de toi.

- Toi aussi Meg, bisous.

Alors je pu prendre l'appel.

- Allô ? dis-je. 

- Meggy ! c'est moi, Maria, désolée de ne pas avoir appeler plus tôt, j'étais... occupée.

- Avec qui ? soupirai-je, sachant son trait de caractère frivole. 

- Le gars d'hier bien sûr. 

- Tu ne changeras jamais ! m'exclamai-je, en souriant. 

Nous rigolons.

- Quoi de neuf depuis tout à l'heure ? 

- Je ne vais pas au travail demain, j'ai attrapé un vieux truc, j'ai pas envie de contaminer tout le monde, mentis-je en me massant inconsciemment les pieds. 

- Bon alors bon rétablissement ! me lança t-elle. 

- Merci ! bisous.

- Bisous !

Nous raccrochons, et je m'affalai sur un des deux sofas en cuir blanc, disposés vers mon canapé.

Quelle belle journée pour aller faire un footing ! songeai-je en frappant dans mes mains, motivée. 

Je filai à mon dressing pour en sortir des baskets Nike, puis une brassière de sport et un jogging de la même marque. J'attachai mes cheveux en un chignon rapide, et avant de sortir, je pris un sweat noir à capuche. Je mis mon téléphone dans ma brassière et je m'en allais ainsi, faisant abstraction de la douleur à mes pieds. 

Je courus pendant environ 2 heures sans m'arrêter, et en rentrant, je ne regrettai pas cette petite sortie, libérées de toute la pression accumulée depuis quelque jours. 

Love Mafia. [TERMINÉ]Where stories live. Discover now