Chapitre 29. [Corrigé]

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Mais au dernier moment je me rétractai. Je ne pouvais pas crier, sinon les araignées allaient prendre peur et me piquer. Ca devait être des mygales ou des arachnides du même genre.

J'étais tellement mal de ne pas pouvoir crier, que la tête me tournait. Mon corps tremblait violemment et tous mes muscles étaient tendu, de peur d'être piquer. Oh mon dieu. Je les sentais bouger et marcher, c'était horrible.

- Les arachnides de ce genre ne sont pas venimeuses, mais si elles vous piquent, vous pouvez être sûr que ça va être très douloureux, me dit l'homme.

- Allez... Vous.... Faire....Foutre ! sifflai-je.

Il sorti soudain un couteau, et l'approcha de ma mâchoire gauche.

- Faites attention à ce que vous dites mademoiselle...

- Morte. De. Rire. Allez y, et si je m'en sors, je vous torturerez comme vous m'avez torturez espèce de fumier ! lançais-je.

Il m'entailla toute la mâchoire gauche, et ricana.

- Abîmer un si joli visage, quel dommage.

- Quel dommage que je ne sois pas détacher pour vous faire la peau !

Il s'approcha des araignées, et gesticula dans leur direction.

Le geste était si drôle qu'il me fit éclater de rire. Sauf que les dizaines de piqûres que m'infligèrent les arachnides me coupèrent le souffle. Je serrai les points, et mon corps sursauta à chaque assauts de ces bestioles absolument moche et hideuse.

- Mais c'est qu'elle résiste ! N'hésite surtout pas à crier ma jolie, ça m'excite tellement !

- Vous avez une femme ?

- Non pourquoi cette question ? s'étonna-t-il.

- En même temps, qui voudrait d'un mec comme vous ! Vous savez, les délires sado maso, c'est pas mon truc, alors au lieu de me torturer, allez torturez quelqu'un d'autre !

Il souleva mon t-shirt, et appuya sa lame de couteau contre mon ventre.

- Eh oh ! Vous auriez pu me couper à travers, pas la peine de violer mon intimité espèce de psychopathe ! m'écriai-je, dégoûtée qu'il me tripote ainsi.

- Non, ça aurait être moins drôle...

Il fit glisser doucement le canif sur mon ventre, et la brûlure de la coupure était insupportable.

- Aller ! Pour que se soit plus drôle, on va rajouter des cafards !

- QUOI ?!

Je ne sais pas d'ou il sortait ses cafards, mais ceux qui firent apparition sur mon ventre étaient bien réels.

J'ai une phobie affreuse des cafards ! Je ne pu m'empêcher de hurler et de gesticuler dans tout les sens. J'étais dans un tel état émotionnel, que mes nerfs lâchèrent et je fis une syncope.

Point de vu de Andy.

Ils avaient emmener Meggy depuis maintenant au moins une heure, et je l'avais entendu crier et parler à son "tortionnaire", puis elle avait hurler et je n'avais plus rien entendu. 

Je m'inquiétais beaucoup, et je me demandais ce qu'ils lui avaient fait. Mes yeux habitués a l'obscurité scrutaient la pièce, quand la porte s'ouvrit brusquement.

Je vis deux hommes jetés dans la pièce une masse chevelue en plein milieu de la pièce. Elle tomba au sol avec un bruit sourd, mais elle n'émit aucun bruits, aucunes protestations. Le corps roula sur le côté, et j'aperçu la tête de Meggy. J'allais à quatre pattes vers elle, et je pris son corps inerte. La porte se referma, et j'approchai son visage du rayon qu'émettait la lune à travers la minuscule fenêtre. 

Elle avait une entaille sur la mâchoire, et une autre sur son ventre. Rien que de penser qu'on l'avait toucher je serrais les mâchoire et me retenais de défoncer la porte et d'aller frapper à mort ce batard de mes deux. Je vis ensuite un gros bleu en dessous de ses seins, et des dizaines de petits trous ornaient son corps.

Elle gigota légèrement, et enfouis son nez dans la paume de ma main. Ses bras s'enroulèrent comme du lierre autour de ma taille, et elle mis sa tête sur mes genoux.

- Meg ? tentais-je pour la réveiller.

- Andy... chuchota-t-elle. C'est toi Andy ? J'aimerais tellement que tu sois là... repris-t-elle.

- Mais je suis là !

- gdcnavojcczbdck, marmonna-t-elle.

Quelque minutes plus tard, alors que je lui caressais les cheveux, elle se redressa et hurla. J'eus peur, parce qu'elle se leva d'un bond. Je l'imite, et je l'attrapai par les épaules.

- Meggy !

- Oh ! cria-t-elle en me voyant.

Elle me sauta dessus, et nous tombons à la renverse ensemble. Elle entoura ma taille de ses jambes, et mon cou de ses bras. Elle me serra aussi fort qu'elle pu. Son odeur sucré vînt chatouiller mes narines, et je plongeai la tête dans son cou.

Retour point de vue de Meggy.

J'avais fais un rêve horrible, ou je voyais Andy mourir sous mes yeux, à cause de moi. Il avançait vers moi avec un grand sourire qui faisait ressortir ses fossettes, et Beck était apparu de nul part, et avait dit :

"Tout ça c'est à cause de toi".

Puis il avait tirer sur Andy avec un magnum.

Je tremblai dans ses bras, rien qu'en pensant à ce souvenir. Mais pourquoi j'avais eus si peur ? Ce n'est même pas mon mari ! Je ne ressentais rien à son égard ! Enfin normalement...

- Qu'est-ce qui se passe Meg ? me demanda Andy après plusieurs minutes de silence.

- Rien j'ai... fais un mauvais rêve.

Après ça, il ne dit plus rien, mais me serra plus fort dans ses grands bras. Je m'enlevai de son emprise et je me relevai. Un plan avait germer dans ma tête à la seconde ou je m'étais réveiller. 

Je me dirigeai vers la porte blindée, et je frappai.

- Excusez moi, j'ai envie d'aller au toilette !

La porte s'ouvrit, sur un garde maigrichon, qui me lançai :

- Je vous emmène au toilette, mais pas plus de 5 minutes !

Il me prit l'avant bras, et je regardai autour de moi. Aucuns gardes, aucunes caméras. Mauvaise idée. 

Je décochai un coup de poing dans la mâchoire du garde, et je lui assénai un coup de tête. Il s'écroula, évanouis. 

Nous allions nous enfuir d'ici.

Love Mafia. [TERMINÉ]Where stories live. Discover now