Chapitre 25. [Corrigé]

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~Ok alors je préviens, il y a une scène un peu olé olé pendant le chapitre~

Andy et Meggy en média :)

Je fronçai les sourcils, mais je ne pus m'empêcher de sourire. Ses cheveux en bataille étaient ébène, je n'avais jamais remarquer. Son regard vert émeraude était posé sur moi. Il était vêtu d'un t-shirt noir et d'un jean noir serré. J'avais soudain l'eau à la bouche. Il portait à ses pieds des grosses boots noir délacer. Tous ses muscles étaient mis en valeurs avec ce putain de t-shirt, et une douce chaleur s'insinua dans mon bas ventre.

Je me redressai puis me relevai, et je m'approchai de lui, reprenant peu à peu mes esprits.

- Comment... comment m'as-tu retrouvé ?!

- J'ai mes sources.

- Si tu as fais du mal à qui que ce soit je... m'exclamai-je en fonçant sur lui.

Il me pris les poignets, me plaqua contre le mur et me coupa accessoirement la parole. Son bassin appuyait contre le miens, et nos visages étaient à quelques centimètres l'un de l'autre.

- Qu'est-ce que tu vas faire ? Hein Meggy, dis moi ? 

Je le repousse, lui pris les poignets à mon tour, et le plaquai au mur exactement comme il venait de le faire avec moi.

- Fais gaffe Andy... lui sifflai-je, un œil mauvais.

Il faisait une bonne dizaine de centimètres de plus que moi, et semblait calme à ma menace.

- On passe donc définitivement au tutoiement ? Plus de vouvoiement ma chère ?

J'appuyai encore plus mon bassin contre le sien, en me frottant, pour le faire taire et le torturer.

- Meggy... souffla-t-il.

- Hum hum ? je dis, en souriant de toutes mes dents.

Un frisson le parcouru quand j'accentuai le mouvement de mon bassin.

- Putain, jura-t-il, alors que son érection grandissait.

Je ris narquoisement, et je me décollai de lui. A peine avais-je atteint le canapé, que des bras puissant m'entourèrent et me poussèrent violemment sur le canapé. Il grimpa sur moi, mis ses deux genoux de chaque côté de mes cuisses pour les coincer, et ses deux bras de part et d'autre de mes avant bras. Je pouvais sentir son souffle sur mon visage.

Je me cambrai contre sa poitrine, et sa respiration s'accéléra. Ses yeux scrutait mon visage, alors je plaquai mes mains contre ses fesses rebondit et je l'attirai à moi. Son bassin s'écrasa contre le mien, mes bras s'enroulèrent autour de sa nuque, et nos lèvre s'écrasèrent l'une sur l'autre, en un baiser dévastateur.

Sa langue pénétra ma bouche doucement, et rentra en contact avec la mienne. Il mis ses mains en bas de mes fesses, et nous redressa tout deux. Il me souleva et se releva, et j'enroulai mes jambes autour de sa taille, sans cesser notre baiser langoureux. Il me plaqua contre un mur, et je lui murmurai, consciente de ce qui allait se passer :

- Dernière porte à droite.

Il ne se fit pas prier. Il marcha jusqu'à ma chambre, et quand il ouvrit la porte, il me jeta sur le lit.
Je ne sais pas quand il eu le temps d'enlever son froc, mais en tout cas, il l'avait enlever. Je sentis immédiatement sa puissante érection contre mon entrejambe. Je déchirai son t-shirt car je n'eus pas la patience d'attendre, et il parut étonné.

Je grognai sans pour autant lui fournir une réponse.

Je le retournai, et je me retrouvai a califourchon sur lui. J'ondulai sur lui, à travers son boxer. Sa mâchoire se contracta et j'eus un sourire satisfait. Des râles roques sortait de sa bouche parfaite, tandis que je continuais ma torture. Il posa ses grandes paumes de mains sur mes hanches, et j'en eus assez. Je lui baissai son caleçons aussi vite que je pus, et je jouai des pieds pour lui enlever complètement.

- Aide moi à enlever ton caleçon m'impatientai-je.

Il l'envoya valser à l'autre bout de la pièce sans se faire prier et je pus prendre sa bite dans ma main. Bordel de merde, elle était grosse !

- Oh putain Meggy tu es tellement belle... gémit-il.

Je me positionnai au dessus de lui, et je descendis doucement, pour m'empaler sur sa virilité.

Il lâcha un grognement, tandis que j'embrassai tendrement son cou. Il inversa les rôles, moi en dessous de lui, et il commença des va-et-vient frénétique. Je rentrai la tête dans son cou, et j'agrippai ses puissantes épaules. J'enfonçai mes ongles dans ses omoplates, et je mordillai la fine peau de sa clavicule. Ses mains caressèrent mes hanches, jusqu'au moment ou il enfonça ses doigts dans ma peau. Il haleta, et je sus qu'il allait jouir. Moi aussi d'ailleurs.

Je sentais son souffle saccadé sur ma gorge, et j'empoignai les mèches de ses cheveux noir pour tirer dessus. Nous crions en même temps, quand l'orgasme nous emporta.

Nos respirations saccadées allaient au même rythme, tandis que nous reprenions nos forces.

- Merde, j'ai oublier de mettre une... me dit-il soudainement.

- Je prend la pilule, dis-je, fatiguée, en ayant posé mon doigt sur sa bouche pour l'interrompre.

- Ah, d'accord.

Il m'enveloppa dans ses bras, et j'entourai sa taille de mes petits bras. Il enfouit sa tête dans mon cou, et soupira d'aise.

Je m'endormis aussitôt bercée par sa respiration.

***

J'hurlai comme une possédée en me redressant dans mon lit, et je sortis du lit précipitamment. Je prend ma culotte au passage et je l'enfilai, alors que l'angoisse tordait mon ventre. Je sortis de ma cabine précipitamment, laissant derrière moi Andy qui s'était sans aucun doute réveillé avec mes cris. La respiration saccadées, j'avais l'impression d'être couverte de sang, et que les murs en étaient tapissés. Je me frottai les yeux, mais la vision ne voulait pas disparaître.

Celle de mon cousin mort. Chaque nuits, ce cauchemar venait me hanter.

Je courus à la salle de bain, et je fis couler l'eau froide à fond. Je me recroquevillai dans un coin de la douche, tandis que l'eau fraîche rassemblait mes idées.

La lumière de la salle de bain s'alluma, et la silhouette imposante d'Andy apparu dans l'encadrement de la porte. Je tremblai violemment, alors il s'approcha vivement de moi, et me prit dans ses bras en rentrant sous l'eau froide avec moi.

Je bougeai et lui dit :

- Non ! Je suis couverte de sang!

- Ou ? m'interrogea t-il, la voix dure, qui trahissait son inquiétude.

- Mais tu ne vois pas? J'en ai partout !

Il soupira, et me serra plus fort dans ses bras. Je mis ma tête dans son cou, et je respirai l'odeur que dégageait son corps.

- Mes parents veulent que je rentre dans la mafia, lâchai-je.

Il me fixa longuement, comme si pour lui c'était parfaitement normal, et dit :

- Mais toi tu ne veux pas c'est ça ?

- Oui, je ne peux plus les saquer. Je n'ai aucunes relations avec eux. Mon père ma mère et mon beau père sont dans des mafias différentes, et ils veulent tous que je rentre dans la leur, mais je ne veux rentré dans aucunes d'elles ! Et ça ils ne veulent pas comprendre ! J'ai faillit tuer mon cousin, lui aussi à faillit me tuer, et je viens d'apprendre que mes parents se sont foutus de ma gueule en me disant que leur mafia étaient ennemis, car j'ai atterris dans une de leurs réunions lorsque je suis aller parler à mon cousin dans le quartier général de Belikov !

- Mais...

- Qu'est-ce que je suis censé faire ?! Tous les tuer un par un ? Ou rentrée effectivement dans une des mafias ?

- J'ai moi aussi quelque chose à te dire...

Quoi? Il va me dire qu'il fait aussi parti de la mafia ?! Laissez moi rire, ça serait le comble du comble. 

Je levai un sourcil en attendant sa déclaration.

- Je suis Kiaranova, je t'ai mentis, et j'ai fais partir Michael et Jared avant qu'ils ne te disent qui j'étais vraiment. Je t'ai mentis sur toute la ligne.

C'était définitif, j'étais maudite. Bordel de couilles.

Love Mafia. [TERMINÉ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant