Chapitre 22. [Corrigé]

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Alors, bien évidemment je ne pensais pas à une voiture normale... Je songeai plutôt à une voiture de course.

Quand je rentrai dans le magasin, le vendeur en costard, vînt m'aborder, sourire sur les lèvres. Je l'imaginai penser dans sa tête : "ARGENT, ARGENT, ARGENT"

Je lui souris en retour sans relever sa fausseté, et je lançai, sûre de moi :

- Bonjour, je viens vers vous pour acheter une voiture, le genre Mustang.

- Bien sûr, quel modèle ?

- Une Mustang GT.

- Très bon choix, suivez moi.

Il me mena vers les Mustang, et m'en montra une noire. Magnifique. J'étais tombée amoureuse directement en l'ayant vu.

- Je vous la prend, annonçai-je.

- Quoi ? Déjà ? Maintenant ? dit-il, surprit, vous ne voulez pas l'essayer ou voir l'intérieur ?

- Oui maintenant, et non je n'ai pas le temps de l'essayer, ma voiture est morte hier alors il m'en faut une rapidement... et puis, je sais que si jamais elle me déçoit je saurais vers qui me plaindre...

- Bien, je vais vous faire les papiers et vous pourrez partir avec, dit-il en déglutissant bruyamment.

Bien, je lui ai fais peur, tant mieux,

Dix minutes plus tard, j'avais mis mes deux sacs sur le siège passager de ma nouvelle Mustang.

Je partis en vitesse vers l'autoroute, ignorant les feux rouges, et en évitant soigneusement chacune des voitures en passant au milieu des deux files de voitures.

Mon téléphone sonna au moment ou je prenais un virage serré, alors je décrochai.

- Meggy Daniel au téléphone ???!!! m'exclamai-je d'une voix guillerette.

- Meg ! Ou êtes vous ? dit la voix d,Andy au bout du fil.

- Ça ne vous regarde aucunement à ce que je sache ! criai-je, avant de raccrocher.

Une fois devant le portail du manoir d'Andrei, j'arrêtai ma voiture sèchement.

Je décidai de grimper par dessus le fichu portail, et je sautai lorsque je fus arriver en haut, pour me diriger ensuite en courant vers l'entrée de la maison.

Bien sûr je n'avais pas les clés... Tant pis.

J'enfonçai violemment la porte avec mon pied, et je rentrai.

- Toc toc ! Maman Daniel est rentrée ! Dis-je sarcastiquement, sachant pertinemment qu'il n'y avait personne.

Je montai les marches quatre à quatre, et je me dirigeai vers ma chambre.

Je rangeai toute mes affaires après les avoirs décrocher des cintres aussi rapidement que possible, et je fermai tous mes sacs et toutes mes valises, et je les descendis à  l'entrée avec empressement. J'ouvris un des sacs contenant mes armes et j'y pris un Tanglio Force et un poignard que je glissai tout de suite dans mon short.

Je pris alors mes clics et mes clac, et je me dirigeai vers le portail. Je balançai tout de l'autre côté de la grille que j'avais escalader, et je passai par dessus à mon tour.

Après m'être réceptionnée sur les gravier, j'ouvris le coffre de ma voiture, et je mis toutes mes affaires à l'intérieur.

J'entendis soudain une voiture arriver.

Merde ! J'ai sûrement du zappé la sécurité de la maison. Ca devait être Andy et Beck qui se ramenai. Ils savaient tous que c'était moi de toutes manières.

Je montai d'un bond dans ma Mustang, et je démarrai au quart de tour dans l'autre sens.

Je passai quelques instants plus tard à toutes vitesse à côté d'une Audi noire.

Sûrement Andy et Beck bien sûr.

Et soudain, une idée me vint à l'esprit, pour retrouver mon cousin et savoir comment il allait. Et si j'allais rendre une petite visite à Cédric?

Je passai par l'autoroute, et j'arrivai dans la périphérie de New York. J'allais directement vers les quartiers riches, parce que c'était la qu'habitait mon beau père.

Je m'arrêtai devant une grande demeure blanche apres avoir tourné quelques minutes.

Wow.

Je n'avais jamais vu la baraque de mon beau-père avant, mais il m'avait donné son adresse il y a maintenant quelques mois. Il me l'avait déjà décrite à la vas vite, mais je dois dire que je n'étais pas déçu.

Mais je n'était pas la pour admirer sa putain de maison.

Je ne sonnai pas au portail après être sorti de ma voiture, car je voulais lui faire une surprise. La maison était protégée par des murs en béton de trois mètres de haut. Tu m'étonnes, les mafieux faisaient toujours ça.

Mais ces murs ne me faisaient pas peur. Je sautai en montant sur ma voiture, et je m'agrippai au rebord. J'arrivai à me hisser sur le mur, et je sautai par dessus pour atterrir dans l'herbe. Il était trois heure du matin passé, et je voulais le faire chier, j'allais donc en direction de l'entrée, sourire aux lèvres.

Je toquai très fort à la porte en sonnant des dizaines de fois sur la sonnette.

- Ehh Ohhh ! C'est votre belle-fille chérie ! fanfaronnai-je.

La porte s'ouvrit cinq minutes plus tard, sur mon beau-père en peignoir, à moitié endormi.

- Meggy ?! Mais tu devrais être à l'hôpital ! s'exclama t-il.

- Et mon cousin, il est où d'abord ? le coupai-je, avare de savoir l'emplacement de mon cousin.

- A l'hôpital.

- Hum, hum, très drôle, si il fait parti de la mafia, il ne devrait pas être à l'hôpital. 

- Bon t'as gagné, il est au Quartier Général de Belikov.

- Ok, dis-je platement, m'imaginant déjà escalader le bâtiment où l'infiltrer.

Un petite voix derrière lui attira mon attention et me sorti de mes pensées.

- Chérie, qui est-ce ?

Mon visage se décomposa quand je sus à qui appartenait cette voix.

Ma mère apparu donc derrière Cédric.

- Oh ! Meggy, tu m'as manqué ! s'écria t-elle, un grand sourire aux lèvres.

Je recule d'un pas, ne voulant pas qu'elle m'approche.

- Pas toi.

- Je ne t'ai pas manqué ? dit-elle surprise.

- Non. A cause de tous tes stupides stratagèmes pour me faire rentrer dans ta putain de mafia de mes couilles j'ai faillis me faire tuer des dizaines de fois.

- Mais je...

- Tais-toi, j'en ai assez d'entendre ta petite voix essayer de s'expliquer ! Fermes là, dis-je froidement en levant ma main pour lui signifier que je ne voulais plus l'entendre.

Je me retournai en regardant une dernière fois Cédric dans le blanc des yeux, et je partis sans me retourner.

En ayant passé une deuxième fois le mur en béton, j'avais les mains bien écorchées.

Je remontai en vitesse dans mon bolide, et je me dirigeai d'une traite droit dans la gueule du loup. Je serrai mon volant très fort, et les jointures de mes mains devinrent blanche.

Je devais aller au QG de Belikov pour parler à mon cousin.

Love Mafia. [TERMINÉ]On viuen les histories. Descobreix ara