Entre l'argent et l'amour (jortini)

Chapitre 10

Arrivé à l'hôpital Martina est directement prise en charge, je fais les cents pas à l'accueil, et les infirmières m'ignore. Je vois une femme débarqué avec un homme ensanglanté totalement au niveau de l'abdomen. Je me précipite pour l'aider. Sur le sol je commence à lui faire un massage cardiaque pour réanimer son cœur, dès que j'ai une réaction je commence à deboutonner sa chemise et j'effectue une pression sur la plaie des médecins arrive, il me demande de ne surtout pas enlever ma main de son ventre. Et il se dirige vers le bloc opératoire. Les infirmièrs me mettent une blouse le mieux qu'ils peuvent. Puis les médecins commence à travailler tout en me posant des questions, je leurs répond que je voulais faire médecine chirurgien mais que mon père et ma mère n'était pas d'accord. Mais j'ai fait énormément de stage de secourisme et j'ai même passé une année en fac de médecine.
Doc : vous avez quel âge ?

Jorge : 22 ans.

Doc : seulement et vous êtes déjà diplômé !?

Jorge : j'ai finit mon lycée très jeune.

Doc : ah je comprend mieux vous êtes un petit génie. Voilà c'est terminé vous pouvez retirez votre main. Jorge j'aimerai vous parler dans mon bureau.

Je le suivi sans parler.

Doc : Jorge, vous êtes vraiment incroyable vous n'avez pas stressé une seconde alors que certains internes s'évanouissent et vomissent en assistant aux opérations. Et vous avez mis votre main au parfait endroit pour stoppé l'hémorragie, vous avez du talent.

Une infirmière arriva : excusez moi M. Blanco votre fiancé s'est réveillé.

Jorge : excusez moi.

Je courrais jusqu'à la chambre de Martina, et la trouva avec le médecin.

Elle me sourit, et le médecin demanda à me parler seule à seule.

Doc : M. Blanco, je crois qu'il y'a un problème avec la grossesse de Martina, je vous avez dis qu'il y'avais de grande chance qu'elle soit prématuré, eh bien j'ai peur que si c'est le cas elle ne pourrait pas survivre, elle n'est pas assez développé.

Jorge : à partir de quand Martina pourrait accouché ?

Doc : à partir de son 7 eme mois. Et ce né'est pas suffisant le bébé ne pourrait pas survivre.

Je retenais mes larmes, Martina ne pourrait pas le supporter, elle s'en voudrait et me quitterais pour ne plus me faire souffrir, il faut que je m'occupe d'elle.

Jorge : que peut- on faire docteur ?

Doc : Martina dois manger beaucoup plus, je vais vous faire une liste des repas qu'elle devrait prendre pour essayer de rééquilibrer son alimentation, Martina va être extrêmement fragile, elle n'est pas au courant de tout les détails elle risque d'avoir plus de problème de santé donc ne la prévenait pas de tout. Et si jamais nous avons un problème et qu'il faut choisir entre votre épouse et le bébé, il faut que vous vous mettiez d'accord avec Martina.

Jorge d'accord.

Je rentra dans sa chambre elle était souriante, il fallait que je lui parle.
Je la pris dans mes bras et lui caressa les cheveux doucement.

Jorge : tu m'as fait peur.

Tini : que t'as dis le médecin ?

Jorge : Martina....

Tini : Jorge, ne me dis pas que j'ai perdu le bébé..... dit elle avec des sanglots dans la gorge

Jorge : non, non, Martina elle se calma peu à peu, Martina tu es au courant du risques que le bébé naisse prématuré, elle acquiesça et je pus voir l'inquiétude dans ses yeux, eh bien il est possible que le mois prochain elle naisse dis je en posant ma main sur son ventre, mais elle n'est pas assez développé est si jamais sa arrive les médecins disent qu'elle ne survivra pas, une larme tomba sur ma main, et elle laissa échapper un léger sanglot, mon amour , promet moi que si malheureusement sa arrive, que tu ne fera rien qui te mettes en danger. Nous avons encore toute la vie, devant nous pour avoir un enfant mais il n'existe qu'une seule Martina. Ses larmes coulaient, elle me serra dans ses bras, Tini  il y'a encore de l'espoir, il faut que tu rééquilibrés ton alimentation pour reprendre des forces pour qu'elle puisse grandir.

Tini : tout ça est de ma faute si j'avais mangé correctement et que je n'avais pas fait de crise d'angoisse nous irions bien.

Jorge : non ne dis pas ça tu n'y est pour rien. Ma chérie  le médecin m'a dit qu'il fallait que je fasse un choix au cas où la situation se déroulait.

Tini : je t'écoute.

Jorge : si jamais il fallait que je choisisse entre te sauver toi ou le bébé. Il faut qu'on soit d'accord. Je tiens à te dire que je te choisirais toi.

Tini n'étais pas d'accord mais j'étais sur de mon choix et n'avais pas hésité une seconde.